Certains anxiolytiques et somnifères, comme le Lexomil ou encore le Xanax qui comprennent du benzodiazépine, ont aussi été pointés du doigt en septembre 2014 dans une étude du British medical journal. À partir de trois mois de prise, ces médicaments augmenteraient le risque de développer la maladie d'Alzheimer.
hypnotiques, certains antidépresseurs, neuroleptiques, L-Dopa (prescrit en cas de maladie de Parkinson).
le faible niveau d'instruction ; Les facteurs de risques cardiovasculaires: l'hypertension artérielle non traitée, les accidents vasculaires cérébraux, l'hypercholestérolémie, le diabète, le surpoids, l'obésité ; le sexe féminin ; les facteurs environnementaux (tabac, alcool, pollution, certains médicaments…)
Selon le magazine dans son numéro d'octobre, chaque année, en France, 16 000 à 31 000 cas d'Alzheimer seraient ainsi attribuables à ces traitements par benzodiazépines (BZD) ou apparentés, et à leurs génériques : Valium, Témesta, Xanax, Lexomil, Stilnox, Mogadon, Tranxène, etc.
Les médicaments qui agissent sur le cerveau, comme les anxiolytiques, les antidépresseurs, mais aussi les somnifères. En modifiant la manière dont les neurones communiquent, ils perturbent la mémoire et la concentration. Le stress.
Des effets secondaires reconnus
Ainsi, leur usage peut entraîner : Une amnésie antérograde (perte de la mémoire des faits récents) qui augmente proportionnellement avec la dose.
A quel âge peut-on avoir la maladie d'Alzheimer ? La maladie d'Alzheimer apparaît le plus souvent après l'âge de 65 ans où elle concerne environ 3 % de cette tranche d'âge. Elle augmente rapidement pour atteindre plus de 20 % de la population âgée de plus de 80 ans.
La maladie touche 23% de la population après 80 ans. Après 65 ans, elle concerne environ deux fois plus de femmes que d'hommes.
On distingue souvent trois stades de démence : déclin cognitif léger, déclin modéré, déclin sévère.
Le ginseng qui est souvent considéré comme un stimulant de la mémoire et de la concentration. Proche du ginseng, l'éleuthérocoque qui aurait une action sur la mémoire mais ses effets sont plutôt considérés comme des effets anti-fatigue.
Demandez à la personne d'écrire les chiffres aux bons endroits. Demandez-lui ensuite de tracer les aiguilles de l'horloge pour qu'elles indiquent 21 h 15. (Si la personne n'est pas familière avec le système 24 h, dites-lui plutôt « 9 heures et quart ».)
En tant qu'adulte, il vous est certainement déjà arrivé, à un moment ou à un autre, de chercher vos mots. Lorsque cela se manifeste, on dit communément qu'on a «le mot sur le bout de la langue». Un trou de mémoire peut survenir n'importe quand, mais en particulier lorsque l'on est très fatigué.
R : La dépression n'est pas une maladie de la mémoire, comme la maladie d'Alzheimer, souvent considérée comme le prototype de ces maladies. Les troubles de l'humeur vont toutefois entraîner des troubles de la mémoire du fait des difficultés de concentration et du ralentissement idéomoteur.
Il n'existe, à l'heure actuelle, aucun traitement capable de guérir la maladie d'Alzheimer ou de ralentir son évolution dans le cerveau. Néanmoins, quatre médicaments sont actuellement sur le marché : le Donépézil (Aricept) la Rivastigmine (Exelon)
Ces troubles peuvent survenir à cause d'une maladie affectant la mémoire. Ils peuvent également être d'origine émotionnelle. Stress, fatigue, anxiété peuvent altérer la capacité à mémoriser, de même qu'une alimentation carencée, un problème d'alcoolisme, un excès de médicaments ou une fatigue excessive.
Chez les personnes atteintes, on constate cependant l'accumulation de deux protéines : la Tau et la β amyloïde. Des chercheurs américains, de l'université Mayo, ont constaté qu'il existe un lien entre l'accumulation de cette dernière et un excès de sommeil dans la journée.
La personne malade peut ainsi trouver des choses drôles qui ne le sont pas ou avoir tendance à rire de façon inappropriée. Tristesse, pessimisme, dévalorisation… Le patient se décourage, pleure, pense qu'elle n'a pas d'avenir, qu'elle est un fardeau pour ses proches et évoque même parfois le désir de mourir.
L'agressivité fait partie de ces symptômes neuropsychiatriques et constitue un trouble du comportement fréquent chez les sujets présentant une démence. Les personnes âgées atteintes de la maladie d'Alzheimer ont tendance à se faire des illusions. Elles peuvent imaginer, par exemple, que leur famille les vole.
Des troubles du sommeil croissants avec le temps
Ainsi, les personnes touchées se plaignent volontiers d'une altération de la qualité de leur sommeil, d'insomnie, de désorganisation du rythme veille/sommeil, voire de déambulation nocturne au point de rendre la vie au domicile impossible.
Stade 1 : Aucune déficience(fonctions normales)
La personne ne présente aucun trouble de la mémoire.
Le test de l'horloge est utilisé pour la détection précoce et le suivi d'une démence. Sa publication originale par Shulman et al. date de 1993. [1] Il teste la visuoconstruction, la mémoire, la perception spatiale, les fonctions exécutives et la résolution de problèmes.
Ce médicament peut induire une somnolence, parfois intense chez certaines personnes. Cette somnolence peut être augmentée par la prise d'alcool ou d'autres médicaments sédatifs. La conduite et l'utilisation de machines dangereuses sont fortement déconseillées, surtout dans les heures qui suivent la prise du médicament.
La prise d'un antidépresseur courant en dose unique peut modifier les connexions du cerveau en quelques heures seulement. C'est ce que montre le scanner cérébral de sujets ayant absorbé sous forme de pilule un inhibiteur de recapture de la sérotonine.
Un surdosage de Lexomil® n'engage pas le pronostic vital du sujet s'il est pris seul. Néanmoins, il peut provoquer des signes de confusion mentale, une apnée, des troubles de l'élocution, une hypotension, une hypotonie, une dépression cardio-respiratoire, un coma et de façon exceptionnelle un décès.