Les médicaments comme l'acétaminophène et/ou l'ibuprofène peuvent être pris pendant 3 à 5 jours au besoin. L'ibuprofène ne doit pas être pris dans les premières 24 heures qui suivent la blessure, à moins d'avis contraire de votre médecin.
Le traitement d'une commotion cérébrale impose généralement entre un et trois jours de repos au lit. Pendant les 24 heures qui suivent l'accident, il est nécessaire d'être accompagné par un proche, qui vérifiera régulièrement l'évolution de la situation.
Que faire en cas de commotion cérébrale
Forcez-le à arrêter ce qu'il est en train de faire. Restez avec lui. Amenez-le chez le médecin dès que possible.
La douleur est traitée selon les besoins. Les personnes peuvent avoir besoin d'une sédation, car une trop forte activité musculaire peut augmenter la pression dans le cerveau et altérer encore plus la fonction cérébrale. La fièvre est traitée. Si des crises convulsives surviennent, on administre des anticonvulsivants.
Il n'est pas nécessaire que quelqu'un vous réveille pendant la nuit après une commotion. Pendant les premières 24-72 heures, reposez-vous au besoin. Après la phase initiale, il est important de maintenir une routine de sommeil saine.
La majorité des commotions cérébrales évoluent favorablement dans un délai de 2 à 4 semaines.
Quels sont les signes et les symptômes d'une commotion cérébrale? Consultez immédiatement un médecin si un étudiant présente des « signes d'alarme » comme une douleur au cou, des vomissements répétés, une confusion grandissante, des convulsions, ou une faiblesse ou un fourmillement dans ses bras ou ses jambes.
Un repos et un traitement des symptômes peuvent aider à cette normalisation. Dans 20% des cas, les troubles persistent au-delà d'un mois. Une consultation spécialisée avec un neurologue ou un médecin de rééducation devient nécessaire.
La majorité des traumatismes crâniens n'auront pas besoin d'examen complémentaire, il suffira d'une surveillance au domicile ou à l'hôpital en fonction de la gravité pendant 48h. En cas de traumatisme important ou de facteur de risque, un scanner cérébral est indiqué.
Le traumatisme crânien désigne une blessure ou la lésion du cerveau suite à un coup ou un choc violent à la tête. Une commotion cérébrale est une forme atténuée de traumatisme crânien. Le cerveau est généralement bien protégé à l'intérieur de la boîte crânienne.
Une commotion cérébrale est une lésion cérébrale causée par un choc qui peut perturber le fonctionnement du cerveau. Les maux de tête, la difficulté à se concentrer, les pertes de mémoire, la sensibilité à la lumière et les problèmes d'équilibre ou de coordination sont au nombre des symptômes.
Les troubles de l'attention, la migraine, les pupilles dilatées et des pertes de sang ou de liquide peuvent signaler un risque grave pour la santé. N'importe quelle personne ayant subi un choc au niveau de la tête, suite à un coup ou à un secouement vigoureux, devrait consulter un médecin.
Il s'agit de maux de tête, de vertiges, troubles de la vue, de l'audition, du gout ou de l'odorat, une fatigue, des troubles du sommeil. Le patient peut se plaindre de pertes de mémoire et de difficultés de concentration.
« Mettez-vous debout, pieds joints, mains sur les hanches et les yeux fermés. Vous devez vous maintenir dans cette position pendant 20 secondes.
De mauvaises nuits néfastes au nettoyage du cerveau
"Le sommeil jouerait un rôle important dans le nettoyage des déchets dans le cerveau après un traumatisme crânien, si vous ne dormez pas bien, vous ne pourrez pas nettoyer votre cerveau correctement", résume Juan Piantino, auteur principal de cette recherche.
Lorsqu'ils sont heurtés ou secoués, les tissus mous du cerveau peuvent se déplacer à l'intérieur du crâne et se cogner contre les os durs. Il peut s'ensuivre des ecchymoses, de même que la rupture de vaisseaux sanguins et certaines lésions aux cellules nerveuses.
Les symptômes sont notamment un mal de tête persistant, de la somnolence, de la confusion, des troubles de la mémoire, une paralysie du côté opposé du corps, des troubles de la parole ou du langage et d'autres symptômes qui dépendent de la région cérébrale lésée.
commotion cérébrale , aussi connue sous le nom de traumatisme crânien léger, résulte d'un coup à la tête, d'une chute ou d'un impact important, créant une collision entre le cerveau et les parois de la boîte crânienne.
Le traumatisme crânien grave constitue de ce fait un handicap invisible, dont la prise de conscience peut être difficile pour l'entourage, mais aussi pour l'enfant lui-même.
Un traumatisme crânien léger peut se caractériser par des maux de tête et des vertiges, parfois des nausées. Chez les enfants, on retrouve plus fréquemment des vomissements. Après une commotion, des amnésies transitoires ou des signes de confusion peuvent être présent.
Concrètement, un choc à la tête peut entraîner deux types d'atteinte cérébrale: soit le cerveau a heurté la boîte crânienne (la cavité osseuse qui le protège) soit il s'est déplacé à l'intérieur de celle-ci à la suite d'un freinage brutal (phénomène d'accélération-décélération) ou d'une forte secousse (bébé secoué).
Les vomissements : attention, ils peuvent être fréquents après un traumatisme crânien. Dans le cerveau, il existe une zone appelée « Trigger zone » ou « zone du vomissement ». Stimulée au moment du choc, cette zone peut faire vomir l'enfant. Un vomissement simple n'est donc pas exceptionnel.
Après un choc à la tête (ou après un processus d'accélération-décélération brutale type « coup du lapin ») on parle de traumatisme crânien léger (TCL) quand certains signes sont en faveur d' un ébranlement discret mais réel du cerveau.
- Si le choc est violent et a entraîné un traumatisme grave (accident de voiture, objet très lourd sur la tête, chute en hauteur,...), il est indispensable de consulter le médecin. - Si le choc est moins violent, vous pouvez attendre quelques heures avant d'aller consulter tout en surveillant la victime.