La Suède recycle 99 % de ses déchets, loin devant ses pays voisins.
La Lituanie, la Bulgarie et la République tchèque en tête
A l'inverse, Malte (11,1 %) se trouve à la dernière place du classement. Ce chiffre concorde avec celui de son taux de recyclage des emballages tous types confondus, qui est également le plus faible de l'UE.
En valeur absolue, c'est la Chine qui produit le plus de déchets municipaux parmi tous les pays figurant dans la base de données de la Banque mondiale, avec 395 millions de tonnes par an, suivie par les États-Unis (265 millions de tonnes).
Derrière ces chiffres se cachent toutefois de fortes disparités : le Danemark par exemple, est le pays qui a produit le plus de déchets par habitant en 2019 avec 844 kg, contre 280 kg en Roumanie. La France se situe juste au-dessus de la moyenne européenne avec 546 kg par habitant contre 502 kg au sein de l'Union.
La Roumanie est le pays de l'UE qui produit le moins de déchets pas habitant (272 kg), contrairement au Danemark qui est le plus gros producteur (781 kg par habitant). La France se situe au dessus de la moyenne européenne, avec 514 kg de déchets ménagers par habitant.
L'immense majorité, soit 79 %, est en train de s'amonceler sur les sites d'enfouissement des déchets ou se répand dans la nature sous forme de détritus. À un certain moment, la plupart d'entre eux finiront inéluctablement dans nos océans, sorte de dernier récipient.
Des décharges sauvages apparaissent et plusieurs pays, dont l'Éthiopie, le Congo, le Burkina Faso, le Mozambique, le Mali ou le Niger voient leurs décharges déborder d'ordures ménagères mais aussi de matériaux toxiques ou d'équipements électroniques, venus de pays développés.
La Belgique est le pays européen qui a obtenu les meilleurs résultats en matière de gestion des déchets en 2013. En réduisant sa production de déchets et en atteignant un bon taux de recyclage, les Belges parviennent à envoyer seulement 197 kg de déchets par habitant en décharge ou en incinération.
Les États-Unis sont les plus gros producteurs de déchets plastiques au monde, loin devant les autres. Les États-Unis sont de loin le pays contribuant le plus à la pollution plastique dans le monde, selon un nouveau rapport publié mercredi, qui appelle à développer une stratégie nationale pour y remédier.
Les États possédant les taux de recyclage les plus élevés du monde sont Singapour, la Corée du Sud, la Slovénie, l'Allemagne, et la Belgique. Les pays ayant les plus faibles taux de recyclage des déchets sont – entre autres – l'Uruguay, la Macédoine du Nord, Madagascar, le Cap-Vert, et l'Azerbaïdjan.
L'UE s'engage en faveur du recyclage et du réemploi
Près de 25 % ont été mis en décharge ou éliminés/incinérés sans valorisation, moins de 27 % ont été valorisés en énergie (via l'incinération) et 48,6 % ont été recyclés.
Si la grande majorité des emballages plastique français est recyclée dans l'Hexagone, 27 % sont envoyés en Europe et 2 % ailleurs dans le monde, affirme Citeo, l'organisme chargé de subventionner les collectivités à la tonne de déchets envoyés au recyclage.
L'Islande arrive en tête, avec une note de 6.45/10. Suivent juste derrière deux autres pays nordiques : le Danemark (6.44) et la Norvège (6.2). La France figure en très bonne position, à la 4e place.
Le top 5 compte ainsi 4 pays du Nord de l'Europe (FInlande, Islande, Suède et Danemark), suivis de la Slovénie, avec chacun des scores proches de 90/100.
Les 3 premières places reviennent à 3 pays scandinaves avec en tête la Suède pour la quatrième année consécutive, suivie de la Norvège et du Danemark.
Près de la moitié des déchets collectés par le SIMER (bacs jaunes, colonnes de tri, verre et déchets collectés en déchèteries) est recyclée, l'autre partie (bacs noirs, colonnes à ordures ménagères, benne tout-venant de déchèterie) est enfouie directement en centre d'enfouissement (sans tri préalable).
Il existe trois différents types de valorisation : la valorisation matière qui consiste à utiliser la matière du déchet pour un nouveau processus de production ; la valorisation organique qui repose sur le compostage et la méthanisation ; la valorisation énergétique qui est faite via l'incinération de déchets et permet ...
Le continent, qui réceptionne déjà des produits toxiques au rebut venus d'ailleurs, deviendra-t-il en plus «la poubelle du monde» des déchets plastiques ? A l'Assemblée de l'ONU pour l'environnement qui s'ouvre lundi 28 février à Nairobi, les pays du continent tenteront de s'unir pour l'éviter.
En moyenne, chaque Américain génère 130 kilos de déchets plastiques par an. (Washington) Les États-Unis sont de loin le pays contribuant le plus à la pollution plastique dans le monde, selon un nouveau rapport publié mercredi, qui appelle à développer une stratégie nationale pour y remédier.
La majorité de cette pollution est produite par les véhicules à moteur et les gaz d'échappement industriels. Le mode de vie actuel génère de tels sous-produits. Les déchets toxiques proviennent de diverses sources, notamment le plastique, les métaux lourds et les nitrates.
20% des déchets plastiques des océans sont générés par la flotte maritime. Les 80% restants proviennent d'activité terrestre. La grande majorité des déchets plastiques sont des emballages, soit 146 millions de tonnes. Les pays riches sont à l'origine de près de 40% de ces déchets.
Il fait 3,5 millions de km2 (soit 6 fois la France) et est composé de plastiques à 90%... On l'appelle « le 7ème continent ». Découvert en 1997 par l'océanographe américain Charles Moore, il ne constitue pas une masse solide mais une zone où la mer est saturée par les débris plastiques.
Dans certains pays, les déchets plastiques mis à la poubelle sont stockés dans des décharges à ciel ouvert. Et ces déchets s'envolent ! Ils atterrissent dans des rivières, qui les emportent jusque dans les océans. Dans une moindre mesure, la pollution plastique des océans est aussi causée par la pêche.