"Ce sont, répondit-il, le polythéisme, la sorcellerie ; le meurtre qu'Allah a interdit sauf à bon droit ; l'usurpation des biens de l'orphelin ; l'usure ; la fuite du front au jour du djihad et la fausse accusation (de fornication) des femmes vertueuses, chastes et croyantes". »
l'idolâtrie (shirk) ou polythéisme demeure le premier péché : « le péché absolu ». Il s'agit de l'adoration d'autres dieux qu'Allah (sourate 4.48,137 ; sourate 47.34). Ce péché est impardonnable (plus précisément, il ne faut pas mourir dans cet état de péché).
On sait que parmi ceux-ci, une tradition prophétique en avait cité 7 ensemble : le polythéisme, la sorcellerie, le meurtre, la consommation des biens de l'orphelin, l'usage de l'intérêt, la fuite lors de la confrontation avec les ennemis et la diffamation contre les chastes croyantes.
l'acédie, l'envie, l'avarice, la vaine gloire, la gourmandise, la luxure, la colère désordonnée.
De huit, les passions majeures passent à sept, chiffre symbolique s'il en est. Six siècles plus tard, Thomas d'Aquin arrête la nomenclature définitive des sept péchés capitaux qui représentent aussi bien désormais sept vices fondamentaux : l'orgueil, l'avarice, la luxure, l'envie, la gourmandise, la colère, la paresse.
le péché mortel, dont la matière est grave (ex. violence, adultère, vol important...) et qui est commis en pleine conscience et de propos délibéré. Cet acte coupe totalement celui qui le commet de la grâce divine, plaçant ainsi l'âme en état de mort (c'est-à-dire séparée de Dieu) jusqu'à son absolution.
Jacobus Arminius a défini le péché impardonnable comme le rejet et le refus de Jésus-Christ par une méchanceté et une haine déterminées contre le Christ.
Car Allâh pardonne tous les. Oui, c'est Lui le Pardonneur, le Très Miséricordieux ». (Coran 39/53) « Crains Allah où que tu sois! Fais suivre la mauvaise action par une bonne action, celle-ci l'effacera.
La fornication est un rapport sexuel entre deux personnes qui ne sont ni mariées ni liées par un vœu, et plus généralement la pratique des plaisirs sexuels. Cette pratique est considérée comme un péché de la chair par le christianisme, le judaïsme et l'islam.
En résumé, dans la réalité, l'adultère s'entend donc le plus souvent des rapports sexuels volon- taires impliquant une femme mariée et un autre homme que son mari.
Dans la législation islamique, l'usure est définie par le terme « Riba ». En arabe, le terme « ribâ an-nasî'ati » signifie le surplus exigé du débiteur par rapport au délai de remboursement qui lui a été accordé. Son usage est interdit aux musulmans.
Relations sexuelles hors mariage, péché de chair. 2. Familier. Relations sexuelles en général ; coït.
Abdennour Bidar nous présente cette voie de libération du regard à travers les cinq piliers fondamentaux de l'islam auquel tout musulman dans le monde se réfère : le témoignage de foi, la prière, l'aumône, le jeûne et le pèlerinage.
Récitez Astaghfirullah constamment. Dites-le trois fois après chaque prière et un minimum de 100 fois par jour. Cela signifie « je demande pardon à Allah ».
Le seul péché qui ne sera pas remis est le péché contre l'Esprit, et cela signifie que si un pécheur ne peut pas recevoir l'absolution dans le sacrement de réconciliation, c'est qu'il lui manque des dispositions au pardon.
Pardonner 70 fois 7 fois ce n'est plus seulement accorder des pardons ponctuels et répétés, c'est entrer dans un nouveau regard sur nos frères. C'est vivre à leurs côtés enveloppés de la miséricorde du Père qui nous restaure dans notre liberté d'enfants bien-aimés capables d'aimer malgré tout.
Le Seigneur a enseigné : « C'est pourquoi je vous dis que vous devez vous pardonner les uns aux autres ; car celui qui ne pardonne pas à son frère ses offenses est condamné devant le Seigneur, car c'est en lui que reste le plus grand péché.
Suivant le catéchisme de l'Église catholique, un péché est mortel s'il a pour objet une « matière grave » et s'il est commis en pleine conscience et avec un entier consentement, à la différence du péché véniel qui affaiblit la grâce divine sans la supprimer.
Le péché originel est une doctrine de la théologie chrétienne qui décrit l'état dégradé de l'humanité depuis la Chute, c'est-à-dire la désobéissance d'Adam et Ève, premiers êtres humains créés par Dieu : dans le Livre de la Genèse, ils mangent le fruit défendu de l'arbre de la connaissance du bien et du mal.
L'Église catholique romaine indique sept péchés capitaux, desquels découlent tous les autres : l'acédie (la paresse), l'orgueil, la gourmandise, la luxure, l'avarice, la colère, et l'envie.