Vous n'avez pas besoin d'être à jeun et vous pouvez prendre vos médicaments habituels si vous avez un traitement en cours. Comment se déroule l'examen ? Il se déroule en deux temps.
PREPARATION : Il n'est pas nécessaire d'être à jeun, cependant il ne faut pas manger de chocolat ou boire du thé et du café le matin de l'examen (prendre un petit déjeuner léger).
Durant les 24 heures qui précèdent l'examen, il ne faut pas prendre de café, de chocolat, de thé (ni théophylline). Selon le cas, le cardiologue traitant peut demander l'arrêt de certains médicaments 24 à 48 heures avant l'examen (comme par exemple les bêta-bloquants qui ralentissent le cœur).
Il ne faut pas être à jeun et vous pouvez prendre vos médicaments habituels. Après l'injection du produit, on vous demandera de boire au moins 1 litre d'eau afin d'améliorer la qualité des images d'une part et d'éliminer par les reins l'excès de produit non fixé au niveau osseux d'autre part.
Jeûn : Il est nécessaire d'être à jeun de nourriture 6 à 8 heures avant l'examen. Ne pas consommer de café, de thé, de coca, de chocolat ni de banane depuis la veille. 2. Médicaments : Ne prenez pas vos médi- caments habituels 24h avant l'examen, sauf avis contraire de votre médecin traitant.
Le plus souvent, vous pouvez manger et boire comme d'habitude avant de venir, entre l'injection et la prise des images, et après l'examen. Boire de l'eau augmente même la qualité des images. Si vous êtes enceinte ou si vous avez un retard de règles, vous devez le signaler avant l'injection.
Indications osseuses/ostéoarticulaires :
Par exemple, en cas de douleur articulaire, la scintigraphie peut faire la différence entre une arthrite ou une arthrose ou de même identifier une lésion traumatique compliquée ou non par une algoneurodystrophie.
Votre examen nécessite un traitement informatique des images enregistrées et une interprétation par le médecin nucléaire. Le résultat vous sera remis à l'issue de l'examen ou sera envoyé au médecin qui a demandé la scintigraphie. La durée totale de l'examen (avec attente du compte-rendu) est de 4 à 5 heures.
Pour information, le prix d'un examen scintigraphique (qui est donc pris en charge directement par votre centre) varie entre 176 et 495 € en fonction de l'examen demandé. Pensez à amener votre carte vitale et attestation pour justifier de vos droits. Une borne vous permettra de mettre à jour votre carte.
De même, vous ne devez consommer ni COLA, ni BANANE. Ces différents aliments ne permettent en effet pas au dipyridamole d'agir correctement.
Quels sont les inconvénients de l'examen ? L'injection du produit radioactif administré en très faible quantité n'entraîne aucun effet indésirable. La position dorsale et l'absence de mouvement durant la durée de l'enregistrement des images sont indispensables.
Boire abondamment (sauf en cas de contre-indication médicale) et uriner fréquemment pour faciliter l'élimination urinaire du traceur.
La scintigraphie osseuse nécessite une injection dans le sang d'un produit faiblement radioactif. Après un temps d'attente, ce produit va se déposer sur les os, de façon plus ou moins marquée, en fonction de l'activité des cellules à l'origine de la formation osseuse.
Bien manger au petit-déjeuner avant un examen
Au menu : Privilégie les glucides à distribution lente : du muesli sans sucre ajouté ou des céréales complètes. Évite les céréales trop sucrées, chocolatées, au miel ; ou grasses et sucrées comme les céréales fourrées.
Une alimentation pauvre en résidus est nécessaire afin de vous préparer à un examen radiologique prévu prochainement. Ce régime est à appliquer trois jours avant. Tous les aliments suivants, riches en résidus seront totalement supprimés pendant cette période : Fruits crus et fruits cuits.
Dans ce contexte, cet examen permet de dépister des fractures de fatigue, une algodystrophie, un descellement de prothèse, etc... mais il est utile aussi pour la recherche de foyers osseux dans le bilan de certains cancers.
Quelles sont les complications et effets secondaires possibles d'une scintigraphie osseuse ? Une scintigraphie osseuse ne comporte pas d'effets secondaires et ne nécessite aucun suivi spécifique.
Radiographie. Lors d'une radiographie, on emploie des radiations de faible dose pour produire des images de parties du corps sur film. C'est habituellement le premier examen qu'on fait pour savoir s'il y a un cancer des os. La plupart des tumeurs osseuses apparaissent clairement à la radiographie.
Pour la scintigraphie myocardique, il est nécessaire de prévoir un règlement (chèque ou espèces) de 76.80 € pour l'épreuve d'effort qui est réalisée par un cardiologue extérieur à la clinique, sauf en cas d'hospitalisation, prise en charge par la CMU, ou d'invalidité.
Elle utilise un traceur radioactif spécifique de l'os. En cas d'activité anormale des cellules osseuses, des points scintillants mettent en évidence les zones où les métastases se sont accumulées.
CT scanner et résonance magnétique
Le CT scanner et la résonance magnétique permettent d'obtenir des images plus précises des métastases, d'en déterminer le volume et de voir quelle est l'importance de la destruction osseuse.
L'imagerie médicale permet l'examen des organes à travers l'utilisation de rayons X (radiographie et scanner), d'ultrasons (échographie), d'ondes magnétiques (IRM) ou de radioactivité (médecine nucléaire).
Le diagnostic d'une tendinite
Le diagnostic repose actuellement sur le bilan clinique expérimenté de votre médecin, associé à des examens d'une grande pertinence en traumatologie du sport comme l'échographie, l'IRM, l'arthroscanner ou la scintigraphie osseuse.
Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) peuvent aider à soulager la douleur et l'inflammation. La famille des AINS comprend l'ibuprofène (par exemple, Advil® et Motrin®), le kétoprofène (par exemple, Actron® et Orudis®) et le naproxène (par exemple, Anaprox® et Naproxen®).
Les articulations les plus souvent atteintes par l'arthrose sont celles des mains (dans 35 à 45 % des cas), du rachis (dans 45 à 50 % des cas), des genoux (dans 30 % des cas, on parle alors de « gonarthrose ») et des hanches (dans 10 % des cas, c'est ce que l'on nomme la « coxarthrose »).