biseautés : pour réaliser des traits fins et précis ; éventail : pour la réalisation de fondus et glacis (couche transparente en fin de travail pour faire vibrer les couleurs) ; langue de chat ou usés bombés : pour les fondus, l'estompage, les contours arrondis, les glacis, les reliefs.
Pour de la précision et des détails
Il vous faut un poil souple, doux, et un manche court. La taille du manche est importante car elle joue sur la maniabilité et l'habileté. Plus le manche est court, plus vous êtes proche de votre support et plus le pinceau est léger.
Pour les plus fins, on trouvera cette numérotation: 10/0 puis 6/0, 5/0 ou 00000, 4/0 ou 0000, ... 0... Pour les pinceaux plats très large, la taille est directement donnée par la largeur en mm. Les pinceaux pour la peinture à l'huile.
On peut positionner la couleur du côté qu'on souhaite avec l'arête du couteau. Avec le pinceau biseauté, on obtient une belle précision. Après avoir trempé les poils dans la peinture, on arrive à faire un trait précis.
Assurez-vous de peindre la deuxième couleur en débordant légèrement sur la ligne de ruban adhésif : cela créera une ligne nette sous le ruban adhésif. Pour empêcher que de la peinture ne glisse sous le ruban et endommage votre ligne droite, ne mettez sur votre pinceau qu'une petite quantité de peinture à la fois.
Le pinceau pointu, ou “à rechampir”, se décline en de nombreuses tailles différentes et est particulièrement apprécié pour “dégager les angles” lorsque l'on peint un mur complet. Sa tête légèrement pointue permet de gagner en précision pour délimiter la surface à peindre.
Le spalter est un pinceau qui entre dans la catégorie des pinceaux plats. Il est plutôt défini comme une brosse large surmontée d'une virole et d'un manche. La touffe de la garniture est confectionnée à partir de fibres de soies naturelles comme la soie de porc ou en fibres synthétiques.
Un ensemble de 4 pinceaux Rigger, adaptés à l'aquarelle et à la peinture acrylique. Les pinceaux gréeurs créent des lignes fines et uniformes et sont traditionnellement utilisés pour peindre des branches sur les arbres, les mâts de bateau et les moustaches d'animaux. Ils sont également utilisés pour la signalisation.
Un pinceau de 6,5cm est la solution passe-partout, mais pour des zones vraiment petites telles que les plinthes, il vaudra mieux utiliser un pinceau de 2,5cm. Pour les grandes zones planes comme les murs et plafonds, il convient plutôt d'utiliser un pinceau de 12,5 cm pour couvrir la surface rapidement.
C'est un pinceau plat et large qui est utilisé pour lisser les vernis et lasures après application, afin d'éviter l'effet « peau d'orange » que l'on obtient parfois après une application au rouleau, et obtenir un rendu parfait.
Les pinceaux en poils naturels, soie de porc ou blaireau, sont au contraire très durs. Ils vont permettre d'accrocher la peinture et de créer des petites nuances.
Réponse : utiliser du scotch de peintre, à retirer avant séchage à l'aide d'un sèche-cheveux pour éviter les bavures.
Pour réaliser des travaux de peinture de précision ou procéder aux finitions d'un chantier, enrouler un élastique autour des poils du pinceau permet un rendu plus net. Les poils du pinceau ne s'échappent ainsi pas dans tous les sens et l'on obtient des finitions plus précises sans risquer les bavures.
Le pinceau rond est composé d'un manche, plus ou moins long, et d'une virole métallique qui vient enserrer la touffe comprenant les poils. Ces poils peuvent êtres issus d'espèces animales comme la mangouste, le blaireau, le petit-gris ( une espèce d'écureuil), de chevaux ou de poneys ou même de bovins ou de porcins.
La gouache se travaille au pinceau, de préférence souple et hydrophile comme le sont les pinceaux pour l'aquarelle (martre, petit gris, synthétiques spéciaux), mais l'on peut également utiliser des pinceaux plus durs, tels que ceux en soie de porc, pour faire des effets, créer des accidents, etc.
Les poils synthétiques : Ils permettent de très bien travailler à l'acrylique. Les pinceaux synthétiques ont en général une excellente pointe et ont une très bonne capacité de charge de la couleur.
Tenez le pinceau par le bout de son manche. Ce geste demande un peu de pratique mais permet de peindre en souplesse ou de réaliser de jolis veinages (faux bois, faux marbre) mais aussi de tracer avec une règle. Un geste ample et souple pour un trait non appuyé.
Utilisez un pinceau adapté : une brosse ronde pour les surfaces à relief et difficiles ou un pinceau plat à la bonne dimension pour les surfaces planes. Dans certains cas, vous pouvez utiliser un rouleau laqueur ou bien un pistolet à peinture.
Posez le ruban de masquage
Pour réaliser un travail propre lors de cette première étape, utilisez le ruban de masquage classique. Posez-le proprement dans l'angle sur le mur mitoyen et peignez en utilisant une brosse à réchampir avant de passer le reste du mur au rouleau. Enlevez le ruban dès que la peinture est sèche.
le scotch de peintre, également connu sous le nom de ruban de masquage. Son utilisation est très simple : il suffit de le coller le long de l'arête du mur que l'on ne souhaite pas peindre (ou peindre dans une couleur différente), et la bande d'adhésif sépare les deux couleurs et vous évite de déborder.
Le pinceau plat est idéal pour la laque, la lasure et le vernis. Pour peindre des surfaces plus grandes, le pinceau plat est un meilleur choix que le pinceau rond qui est principalement utilisé pour les travaux de précision ou de finition.