Avantages de dormir dans le froid Cela est dû au fait que la température corporelle diminue naturellement pendant le sommeil, et un environnement plus frais peut soutenir ce processus. Veillez cependant à ce que la chambre ne soit pas trop froide, car cela perturberait le rythme du sommeil.
Le froid est bon pour le moral
C'est d'ailleurs confirmé avec le pic de froid actuel puisque la majeure partie du territoire connaît un bel ensoleillement. La production de mélatonine, de sérotonine, d'endorphine et de dopamine, est de nouveau stimulée, et votre humeur s'améliore.
La raison principale est le manque de lumière ; notre corps produit alors davantage de mélatonine, l'hormone du sommeil. Conséquence : notre envie de dormir augmente. Les basses températures peuvent aussi augmenter la sensation de fatigue ; votre corps consomme en effet plus d'énergie pour se réchauffer.
L'air froid irrite les muqueuses des voies respiratoires, ce qui tend à inhiber les mécanismes de lutte contre les infections. Par conséquent, lors d'une exposition au froid, les personnes souffrant d'insuffisance respiratoire sont plus sensibles aux infections.
En effet, le froid provoque une vasoconstriction (diminution du diamètre des petits vaisseaux), une diminution de la conduction de l'influx nerveux (donc moins de douleur ressentie), un abaissement de la température corporelle provoquant un effet anti-inflammatoire et une stimulation des récepteurs thermiques de la ...
Le froid améliore la qualité du sommeil
L'hiver est donc particulièrement propice à un sommeil sain puisqu'il baisse les températures de nos chambres et favorise un endormissement dans de bonnes conditions. Bon à savoir : il est recommandé de dormir dans une pièce dont la température se situe entre 15 et 19 degrés.
Résultat : Les personnes vivant dans le froid chez eux seraient deux fois plus enclins à souffrir de détresse mentale grave, et ce même si elles ne souffraient pas de troubles psychiques à la base. Pour les personnes ayant des antécédents de maladies mentales, ce risque va même jusqu'à tripler.
Le froid puise toute notre énergie
Une baisse, voire un manque, d'énergie est tout à fait normal lors d'un changement de saison. Ajouté à cela, le froid aggrave cette épreuve, notre organisme déployant toute son énergie pour ne pas subir ces conditions difficiles de façon trop brutale.
L'hiver peut aussi être synonyme de manque de sommeil.
C'est également un puissant antioxydant qui contribue à la réponse immunitaire. Enfin, il ne faut pas négliger la fatigue générée par notre mental.
D'après l'institut nationale du Sommeil une pièce à 18° favorise la régulation naturelle de la température de notre corps. Lorsque la chambre est à une température située entre 16 et 18°C, le sommeil et la respiration sont de meilleure qualité.
Problème de santé, surmenage, infection, troubles du sommeil, Covid-19, maladies, stress... De nombreuses causes peuvent expliquer l'apparition d'une asthénie, communément appelée fatigue. Un état "d'épuisement" qui peut s'avérer anormal lorsqu'il perdure malgré le sommeil et le repos.
Lorsqu'on dort plus de 9 heures par nuit et que l'on est tout de même fatigué durant la journée, ou que cela s'accompagne de difficultés à se lever et de somnolences, il peut s'agir d'hypersomnie ou d'une autre pathologie. Dans ce cas, il est fortement conseillé de consulter un spécialiste.
En hiver, nous pouvons toutefois avoir besoin de plus de sommeil, car le corps dépense plus d'énergie pour lutter contre les changements hivernaux (froid, virus…).
En conclusion. Si le froid seul n'est jamais à l'origine d'une maladie respiratoire, il semble désormais possible que son effet négatif sur l'immunité locale des muqueuses respiratoires puisse agir en favorisant les virus dans leur combat contre nos défenses.
Il peut avoir des effets directs sur la santé, comme les engelures et l'hypothermie. Le froid peut aussi affecter la santé de façon indirecte, en aggravant certaines maladies. L'intoxication au monoxyde de carbone est aussi un effet indirect du froid sur la santé.
L'une des explications repose sur la présence plus ou moins importante dans notre organisme d'une hormone : la testostérone. Cette hormone est impliquée, entre autres, dans la régulation des molécules réceptrices du froid.
Une réponse directe du corps au froid
Le corps se thermorégule alors et privilégie l'apport en sang vers les organes internes essentiels comme les reins. Un afflux sanguin plus important, que les reins doivent filtrer, ce qui augmente le taux d'urine sécrétée.
Sommeil et régulation thermique : un lien subtil
En effet, plusieurs études montrent que le manque de sommeil est une cause de dérèglement de la thermorégulation de même que la fatigue chronique. Durant la nuit, notre corps passe par plusieurs cycles de sommeil, pendant lesquels la température corporelle varie.
Lorsqu'il fait froid, il t conserver la chaleur à l'intérieur du corps. La circulation sanguine cutanée est donc fortement limitée (vasoconstriction) et la tension artérielle augmente. Le coeur doit pomper le sang dans les veines en faisant davantage d'efforts, ce qui peut stresser le muscle cardiaque et les artères.
La combinaison du froid et de l'exercice augmente davantage le stress sur le système cardiovasculaire. Les températures froides sont associées à une augmentation des symptômes cardiaques (angine, arythmies) et à une incidence accrue d'infarctus du myocarde et de mort subite d'origine cardiaque.
Le froid provoque de façon directe des crises d'angine de poitrine chez les patients ischémiques (angor stable), des crises d'asthme liés au froid (dues à la bronchoconstriction provoquée par l'inhalation d'air froid), des gelures ou des engelures, des hypothermies, des syndromes de Raynaud et des crises de ...
Lorsqu'une personne est exposée au froid trop longtemps, son corps peut devenir incapable de garder une température adéquate pour bien fonctionner. Si sa température buccale descend en dessous de 35 °C, la personne est en hypothermie. Lorsqu'il est en hypothermie, le corps humain ne peut plus fonctionner normalement.
Les risques pour la maison
Les risques pour la santé prévalent bien sûr sur les risques encourus par la maison. Mais ne pas allumer le chauffage et vivre dans des températures intérieures basses au quotidien n'est pas sans conséquences pour la maison. Le gel des canalisations peut entraîner un dégât des eaux.
Outre le gel des canalisations qui peut déboucher sur des dégâts des eaux importants, ne pas chauffer son logement engendre irrémédiablement l'accumulation d'humidité à l'intérieur du logement.