Travailler permet de se réaliser. C'est une obligation envers soi-même. Mais travailler est un devoir moral, non seulement envers autrui mais aussi envers soi-même. En effet, travailler n'est pas seulement répondre à ses besoins vitaux, c'est aussi réaliser ce qu'il y a de plus humain en l'homme.
Pour conclure, le travail ne peut guère être uniquement considéré comme une simple contrainte même si il est imposé à l'Homme par d'autres individus. En effet, il s'agit aussi d'une obligation, une fin en soi, qui lui permet en quelque sorte de s'émanciper la nature qui est en lui ainsi que de sa condition humaine.
Si le refus du travail a un sens, c'est que le travail en lui même est insensé ou absurde. Le problème soulevé par cette question est donc celui du sens du travail que l'on peut interpréter comme étant le problème de la valeur du travail. Mais ce qui fait l'originalité de la question posée c'est le terme sens.
Le travail est une nécessité. En effet, l'Homme n'a pas le choix, il est obligé de travailler, car s'il ne travaille pas, il meurt. La nature, spontanément, ne lui fournit pas de quoi survivre. Donc plutôt que de parler d'obligation, on peut dire que le travail est une contrainte.
La réponse tient en quelques mots. On travaille pour gagner sa vie, pour exister socialement (être connu et reconnu), voir des gens et enfin pour faire des choses qui nous intéressent : soigner, enseigner, construire ou réparer, faire la cuisine, écrire, etc.
Le travail est une nécessité. En effet, l'Homme n'a pas le choix, il est obligé de travailler, car s'il ne travaille pas, il meurt. La nature, spontanément, ne lui fournit pas de quoi survivre. Donc plutôt que de parler d'obligation, on peut dire que le travail est une contrainte.
Non, il ne faut pas renoncer à faire du travail une valeur
Le travail exige un effort et une tension de la volonté: par lui, l'homme exploite ses capacités individuelles et canalise l'énergie de ses passions (son ambition, son désir d'acquérir ou d'être reconnu par exemple), dans un but d'utilité commune.
le travail est un moyen de vivre rien de plus. certe le travail est nécessaire a la vie par le seul fait qu'il apporte un salaire qui lui est nécessaire a la survie.
Il est important de savoir que le travail rend libre comme il peut également aliéner l'homme. Tout dépend donc de nous. Le travail a permis à l'homme de se libérer de la nature, de se sociabiliser et d'emmagasiner des connaissances, donc de devenir quelqu'un de meilleur.
Pour se libérer de la pression au travail, il faut parfois sortir de sa zone de confort. Arrêter de subir ce qui ne nous convient plus et abandonner certains avantages pour se recentrer sur ce qui est important pour soi et retrouver une autre qualité de vie au travail.
En philosophie, on considère que le travail est ce qui transforme la nature pour satisfaire les besoins de l'être humain. La notion de travail est aujourd'hui intrinsèquement liée à l'idée de production et de rémunération. Le travail, c'est produire un effort et percevoir une rémunération en échange.
Il éloigne l'ennui, le vice et le besoin. Il humanise par le lien social qu'il crée et maintient nos capacités intellectuelles en éveil. Il redresse le perverti, moralise le dévoyé, rend l'homme vertueux. Ceux qui choisissent délibérément de ne pas travailler subissent l'opprobre de leurs contemporains.
Par une conversion dialectique exemplaire, le travail servile lui rend alors sa liberté car il sait comment s'y prendre pour dominer la nature tandis que le maître, qui ne sait plus travailler, a de plus en plus besoin de son esclave et devient en quelque sorte esclave de l'esclave.
Le droit du travail est un droit en constante évolution car il comprend des enjeux sociaux, économiques et politiques forts.
Moins de sécurité – Vous devrez assumer la responsabilité de toujours trouver du travail à faire. Cela signifie que vous serez parfois sans travail et, par conséquent, sans revenu.
Hommes et femmes y sont confrontés sans distinction, et font face à d'autres conséquences que l'augmentation du risque d'AVC : dépression, hypertension et difficultés relationnelles sont régulièrement observées auprès des salariés qui travaillent le plus.
Le travail nous fait perdre notre liberté
Visant essentiellement la libération à l'égard de la nature et de sa nécessité, le travail perd alors son but initial : il avait pour but de satisfaire nos besoins ; son but devient la production elle-même.
1Le travail occupe une place essentielle dans nos sociétés, même par son absence. C'est une des bases de l'économie. C'est la source principale des revenus qui autorise l'accès à la consommation. C'est aussi la voie principale de l'insertion sociale.
Outre le fait que le travail fournit un revenu et permet de subvenir à ses besoins et à ceux de sa famille, il donne la possibilité de s'accomplir, procure le sentiment d'être utile, contribue à la valorisation et favorise le développement de l'estime de soi.
Selon les actifs français (72%), le travail permet effectivement de se sentir heureux de manière générale. Ils sont aussi 44% à se rendre chaque jour « avec plaisir au travail ».
L'Australie. L'Australie est le paradis des backpackers : on peut y partir pour deux ans (avec le visa qu'il faut), il est facile d'y trouver du travail (des petits boulots, mais peu importe), et la vie là-bas est particulièrement agréable.
Pensée de Mamadou Aliou Diallo sur Travail
Le travail libère l'homme.
Le travail n'est pas seulement une punition mais une possibilité de rachat du péché originel. Le travail constitue une réhabilitation sociale et morale et religieuse.