En raison de leur forte teneur en mercure, les espèces à consommer moins d'une fois par semaine sont : l'espadon, l'empereur, le thon, l'anguille, le poulpe et le crabe. Pour les autres métaux lourds, attention au carrelet, à la sole, au rouget, à la raie, à la limande, au colin et au flétan.
Le gras qui est bon dans les poissons avec les oméga 3 et que l'on veut avoir dans notre alimentation. Les petits poissons de début de chaîne comme la sardine, comme l'anchois ou le maquereau sont moins contaminés… Les métaux lourds concernent essentiellement le mercure.
Espadon, requin, marlin, thon, daurade, lamproie comptent parmi les poissons prédateurs qui contiennent le plus de mercure, susceptibles d'endommager le système nerveux central, tandis que les poissons à chaîne courte comme les sardines ou les maquereaux ont des niveaux inférieurs.
Les poissons les moins contaminés sont : colin, merlan, sole, cabillaud, hareng, truite, anchois, maquereau, sardine…
Les poissons et les mollusques et crustacés qui contiennent des concentrations plus élevées de ces acides gras tout en présentant une faible concentration de mercure sont les suivants : anchois, capelan, omble, merlu, hareng, maquereau, meunier noir, goberge, saumon, éperlan, truite arc-en-ciel, corégone, crabe, ...
Les poissons gras, comme le saumon, le maquereau et le hareng, sont riches en oméga-3 et vous aident à vous protéger contre les maladies cardio-vasculaires.
Les espèces les plus contaminées par le mercure sont le marlin, le requin, le thon rouge, le maquereau roi et l'espadon ; ils figurent parmi les poissons à éviter ou à ne consommer qu'occasionnellement.
Il est riche en phosphore et en vitamine D, deux éléments essentiels qui contribuent au maintien d'une ossature normale. Donc, en plus des muscles, le thon contribue à la bonne santé des os. Il est riche en sélénium, un oligoélément au pouvoir anti oxydant qui protège les cellules contre le stress oxydatif.
Les poissons gras tels que le saumon, les sardines ou le maquereau, sont riches en Omega-3. Ces acides gras naturels aident à prévenir les maladies cardio-vasculaires et sont nécessaires au bon fonctionnement du système nerveux.
Le cabillaud est riche en acides gras poly-insaturés, oméga 3 notamment, dont l'effet protecteur sur la santé a largement été démontré. Dans le cadre d'une alimentation variée et équilibrée, la consommation régulière de ce poisson diminuerait le risque d'infarctus du myocarde et d'accidents cardiaques graves1.
Bonne pour le cœur : La sardine est remplie d'oméga 3 et de vitamine B12. Elle prévient le risque de maladies cardio-vasculaires. Renforce les os avec sa vitamine D, son phosphore et son calcium. Elle contribue à lutter contre l'ostéoporose qu'elle soit fraîche ou en conserve.
Pour des raisons pratiques, le maquereau est plus souvent dégusté en conserve que frais. C'est également un poisson gras merveilleux. Il est quasiment aussi riche en oméga 3 (EPA et DHA) que les sardines. Une portion de 100 g de maquereau couvre 5 à 6 fois le besoin quotidien en EPA et DHA !
Les experts disent que le saumon sauvage du Pacifique est votre meilleur choix. «Sauvage signifie une moins grande accumulation de mercure, moins d'antibiotiques et d'hormones, et aussi que le poisson peut nager librement», explique la diététiste-nutritionniste Monica Auslander Moreno chez Essence Nutrition.
Les poissons qui peuvent être consommés sans restriction
Selon le rapport, l'aiglefin et le saumon sont les deux espèces de poisson qui présentent le moins de mercure et peuvent donc être consommés librement.
Les poissons ingèrent ces toxiques qui, très peu éliminés par leur organisme, se stockent mois après mois dans leurs graisses. C'est pourquoi plus un poisson vit vieux, plus il peut présenter des niveaux de PCB élevés.
Le saumon d'Alaska est celui qui s'en sort le mieux car la mer est moins polluée. C'est donc celui qui permet de bénéficier des bienfaits du saumon sauvage en limitant les méfaits liés à la contamination des océans.
Il est recommandé de privilégier le thon blanc - ou thon germon (comme les produits de la Belle-Îloise et d'Auchan) - pêchés au trolling (traîne légère) et à la canne à pêche en Atlantique ainsi qu'en Méditerranée (comme le thon de Capitaine Nat') qui pratiquent une pêche plus durable.
BONNES PRATIQUES POUR CONSOMMER SEREINEMENT DU POISSON Consommez du poisson deux fois par semaine, dont un gras. Évitez les prédateurs comme l'espadon, le marlin, le requin... Vérifiez les avis locaux sur la sécurité des poissons issus de la pêche de loisir dans vos lacs, rivières et zones côtières.
Co-aliments
Les boissons riches en phyto-éléments reconnus pour leurs propriétés antioxydantes, comme le thé et le café, ont également eu pour effet de diminuer fortement la bioaccessibilité du méthyl-mercure présent dans le poisson.
Généralement, la concentration de mercure présent dans tous les produits de thon en conserve, y compris le thon blanc, est inférieure à la norme canadienne de 0,5 ppm de mercure total. Cependant, certaines personnes consomment du thon en conserve aussi fréquemment que quotidiennement.
Manger du poisson cru augmente considérablement l'absorption du mercure par notre organisme. Cependant, sachez que si vous accompagnez votre repas d'une tasse de café ou thé, l'exposition au mercure peut être réduite de 60%.
En revanche, préférez les poissons de petite taille : sardine, maquereau, anchois, hareng, sole etc.). Le saumon sauvage, souvent dans le collimateur, est toutefois moins pollué que le saumon d'élevage, même bio.
Les poissons crus, ou marinés peuvent contenir des bactéries que seule la cuisson peut détruire. Pour éviter tout risque de toxi-infections, les femmes enceintes jeunes enfants et les personnes dont le système immunitaire est affaibli doivent éviter d'en consommer.