- éviter la consommation d'anguille, d'espadon, de marlin, de siki, de requin et de lamproie. Pour les poissons d'eau douce, ces populations sensibles doivent limiter leur consommation de barbeaux, brèmes, carpes ou silures à 1 fois tous les 2 mois.
Privilégier les poissons gras
Un pourcentage en dessous de certaines viandes qui peuvent dépasser la limite de 20% de graisse totale. Parmi ces poissons gras excellents pour la santé, les chercheurs mettent en avant : le saumon rose sauvage, le saumon rouge, les sardines, les anchois et le hareng.
Les poissons les plus pollués sont : espadon, marlin, requin, lamproie, brochet, anguille… Les poissons moyennement contaminés sont : lotte, bonite, flétan, dorade, bar, saumon, thon… Les poissons les moins contaminés sont : colin, merlan, sole, cabillaud, hareng, truite, anchois, maquereau, sardine…
Mais la consommation de poissons et autres produits de la mer influence les concentrations en arsenic, cadmium, chrome et mercure dans l'organisme, un risque fréquemment évoqué dans la littérature scientifique et même par Santé Publique France, lorsque celle-ci a publié en juillet 2021 résultats de l'étude ESTEBAN.
De nombreux polluants organiques persistants se retrouve dans les saumons. En effet, ces polluants s'accumulent dans les tissus gras, et les poissons gras, comme le saumon – qui sont en plus nourris avec de l'huile de poisson – sont donc particulièrement affectés.
Les poissons prédateurs (en haut de la chaîne alimentaire) comme le requin, l'espadon et le marlin, le siki, les lamproies et, à un moindre degré, le thon, le brochet ou le barracuda, sont les poissons qui contiennent les concentrations les plus élevées de métaux lourds.
Sa haute teneur en acides gras oméga-3 et en protéines font du saumon un des meilleurs poissons pour votre santé, note Lauri Wright, nutritionniste et professeure à la University of South Florida College of Public Health.
Il vaut mieux privilégier les petits poissons type sardines, maquereaux, harengs. On peut sans problème les consommer tous les jours car outre une teneur en protéines, ils sont riches en omega 3, excellent pour le cœur. Attention au saumon et au thon.
Les poissons les moins touchés sont les petits poissons en début de chaîne alimentaire (anchois, sardine, hareng, maquereau).
Néanmoins, il est recommandé de n'en consommer qu'une fois par semaine, soit un peu moins souvent que le hareng, la morue ou le maquereau tacheté qu'il est possible de consommer sans risque deux fois par semaine selon l'OMS. Enfin, le saumon, la truite et l'aiglefin figurent parmi les espèces les moins contaminées.
Le Merlu fait partie des poissons blancs les plus connus et réputés. Pêché dans les eaux de la Manche, il mesure de 27 cm à 1 m de long. Si vous cherchez un moyen pour que vos enfants mangent du poisson, il est idéal. Le dos de merlu est une excellente alternative au dos de Cabillaud.
Les poissons panés surgelés qui arrivent en tête de notre classement sont de la marque Picard. Notés 90/10 sur Yuka, ils sont garantis 100 % filet, et sans substance à risque. Nutri-score A, les cabillauds panés MSC Picard sont peu caloriques (154 kcal pour 100 g), peu sucrés et peu salés.
Une norme de 1,0 ppm de mercure total a été établie pour le thon, le requin, l'espadon, l'escolier, le marlin et l'hoposplète orange et ces poissons font également l'objet d'une consigne de consommation.
Les parasites, les maladies et les évasions potentielles des fermes piscicoles à filets ouverts mettent en danger tous les saumons sauvages du Pacifique, y compris le saumon chinook, qui constitue l'aliment principal des orques résidentes du Sud, une espèce menacée.
Parmi ceux-ci, on peut citer la traditionnelle sardine, crue ou cuite, le maquereau, le merluchon, le merlan, le tacaud, la vieille, le lieu noir, la carpe ou l'aile de raie.
Manger des sardines est bon pour la santé. Elles sont en effet remarquablement riches en Oméga 3 (EPA et DHA), en vitamine D mais aussi en calcium, en phosphore et en vitamine B12. La consommation de 100 g de sardines couvre de 1 à 6 fois le besoin quotidien en la majorité de ces éléments nutritionnels très importants.
Très riches en graisses saturées et en sel, les charcuteries sont très caloriques et favorisent la rétention d'eau et les problèmes cardiovasculaires. Pour garder la ligne et rester en bonne santé, la charcuterie est un aliment à bannir le soir et à consommer avec grande modération.
Manger du poisson régulièrement est donc un excellent moyen de fournir au corps des adultes et des enfants l'apport nécessaire en protéines d'origine animale, plus riches en acides aminés que les protéines végétales.
Certains poissons tels que le saumon, le maquereau, le thon ou la sardine sont recommandés lors du repas. Ils sont riches en protéines, essentielles à nos besoins nutritionnels. De plus, ils nous apportent des oméga 3, les bonnes matières grasses, ce qui favorise le sommeil en agissant sur les cellules du cerveau.
On peut donc citer, dans une liste non exhaustive : le saumon, le bar de ligne ou d'élevage, le turbot, la sole, le flétan, le barbue, le Saint-Pierre, la lotte ou encore la dorade royale qui, elle porte bien son titre de noblesse.
Le merlu fournit des protéines de qualité, bien assimilées et utilisées par l'organisme. Des vitamines. Le merlu apporte des vitamines de la famille du groupe B, mais aussi des vitamines A, E et D qui participent au bon fonctionnement de l'organisme.
En conserve, il fournit autant de nutriments que frais. Les vitamines, minéraux et oméga 3 sont bien préservés. En revanche, évitez les maquereaux cuisinés à l'huile de tournesol (trop riches en oméga 6) et ceux à la moutarde ou à la mayonnaise (souvent chargés de sulfites).
Les boissons riches en phyto-éléments reconnus pour leurs propriétés antioxydantes, comme le thé et le café, ont également eu pour effet de diminuer fortement la bioaccessibilité du méthyl-mercure présent dans le poisson.