Seigneur Jésus, toi qui durant ta vie sur la terre as été pris de compassion devant les souffrances des hommes, tu as redonné la santé aux malades et fait la joie de leur famille. Nous te prions pour N. en proie à la maladie.
Le psaume 35 (34 selon la numérotation grecque) est un psaume qui exprime la prière d'une personne persécutée.
O N les appelle les saints guérisseurs (1). Célestes patrons, invoqués, suppliés, implorés au long des siècles, de saint Acaire contre le mauvais caractère à saint Mathurin contre la démence, ils peuvent, aux dires des croyants, nous délivrer de tous nos maux.
Le texte du Psaume 90 a une portée rhétorique. Comme on peut le voir, au v. 13, le même verbe shûb du v. 3, qui sert pour inviter l'homme à revenir auprès de Dieu, est utilisé comme une prière pour demander à Dieu de revenir auprès de son peuple.
Le psaume 67 (66 selon la numérotation grecque) exprime l'universalité de la louange due à Dieu. Il a les mêmes indications que le psaume 68, et on peut le ranger dans le groupe des psaumes 65 à 68, qui sont destinés à la louange et à l'action de grâce, avec les instruments à cordes.
Il aurait été écrit par le roi David, qui demandait pardon auprès de Dieu après qu'il eut séduit Bethsabée, la femme d'un de ses officiers, Urie le Hittite, en profitant d'une de ses absences.
Origène a exploité la notion d'alphabet en la croisant avec le thème du respect de la Loi, thème central dans le psaume 119 : selon lui, de la même manière que l'alphabet est le commencement de l'apprentissage humain, le respect de la Loi est le point de départ de tout enseignement religieux.
Le psaume 34 est un diptyque : la première partie jusqu'au verset 11 est constituée d'une hymne et d'un développement de l'expérience du psalmiste, tandis que la seconde partie prend un ton sapientiel. Trois thèmes sont abordés : celui de la rétribution, du bonheur, et enfin de la pauvreté spirituelle.
Le psaume 23 (22 dans la numérotation grecque) est un psaume de la Bible hébraïque, donc de l'Ancien Testament, attribué au Roi David, qui décrit Dieu comme le Berger. Il est appelé en latin Dominus pascit, « Le Seigneur est mon berger. »
Ce psaume est chanté pour demander de l'aide à celui qui a créé la vie, pour être protégé durant le voyage souvent long, pénible et potentiellement dangereux. 4- Voici ! Il ne sommeille ni ne dort, celui qui garde Israël.
Résumé Il est considéré comme l'ange gardien de l'humanité, Raphaël est le médecin divin, l'archange de la santé et de la guérison, et l'ange de l'abondance et de la créativité.
Saint Luc, saint patron des Services de santé
Malade, je crie vers le médecin ; aveugle, je me précipite vers la lumière ; mort, je soupire vers la vie. Or, c'est Vous, Seigneur, qui êtes le Médecin, c'est Vous qui êtes la Lumière, c'est Vous qui êtes la Vie ; Jésus de Nazareth, fils de David, Source de Miséricorde, ayez pitié de moi.
Le psaume 103 (102 selon la numérotation grecque) est attribué à David. C'est une hymne à la bonté de Dieu, difficile à classer, et de datation probablement tardive car on y trouve des mots araméens.
Pour prier ce psaume, on peut suivre plusieurs pistes. Il invite à rejoindre la prière du Christ qui met sa confiance en son Père. Les versets 22-23 résument ce passage de la mort à la vie : 'La pierre rejetée des bâtisseurs est devenue pierre d'angle. C'est là l'œuvre du Seigneur, une merveille à nos yeux'.
Jésus, par cette parole en exergue du psaume, entend rappeler dans son râle de mourant non pas un terrible doute envers Dieu mais au contraire l'immense espoir de la résurrection.
Le psaume associe l'homme à la gloire de Dieu. Sous le firmament, l'homme est à l'abri des forces du mal. La relation privilégiée entre l'homme et Dieu se décline sous trois thèmes : le souvenir, la prise en charge et l'exaltation.
Ce psaume montre que cet amour fraternel est à la fois ce qui est "bon", c'est le bien par excellence, et aussi, que "c'est là que l'Eternel donne la bénédiction et la Vie éternelle", ce qui n'est pas rien.
Le psaume 5 est attribué à David. Il exprime la plainte du juste contre les impies.
Le psaume 25 (24 dans la numérotation grecque) est une supplication à l'Éternel attribuée à David. C'est un acrostiche : les premières lettres de chaque verset lues verticalement forment l'alphabet hébreu.
Dans le psaume 37, le psalmiste invite plutôt le juste fidèle à mettre sa confiance dans le Seigneur, et il le réconforte en répétant que Dieu aime à faire justice, qu'il accordera le salut aux justes, et que les impies qui s'acharnent contre les justes seront extirpés de la terre.
Le psaume 24 présente ces attributs divins dans un contexte liturgique ou Israël reconnaît la souveraineté divine dans l'acte de la création et dans le combat. Le peuple adore le Seigneur sur sa montagne sainte. Et vers ce lieu saint convergent les pèlerins à la rencontre de Dieu, résidant dans le sanctuaire.
Mon Dieu, je vous offre mon cœur, mon esprit, mes pensées, mes paroles, mes actions, tout moi-même, pour ne servir que votre gloire. Je renouvelle les promesses de mon baptême. Mon Ange gardien, je vous remercie de m'avoir gardé pendant ce jour ; offrez à Dieu tous les battements de mon cœur pendant que je dormirai.
Matin après matin, le psaume 95 (94) invite à prendre pied sur la communion, l'émerveillement, la confiance et la responsabilisation, et à entrer ainsi dans sa journée par la porte étroite qui conduit à la vie.
Éternel, je t'invoque : viens en hâte auprès de moi ! Prête l'oreille à ma voix, quand je t'invoque ! Que ma prière monte devant ta face comme l'encens, Et l'élévation de mes mains comme l'offrande du soir !