Les chiens nordiques tels que le malamute de l'Alaska, le chien du Groenland et le husky de Sibérie en sont un bon exemple : ils ont de bonnes relations entre eux et apprécient la vie en groupe. Ce sont des chiens de meute qui peuvent cohabiter avec leurs congénères de races similaires.
Le samoyède
Toujours souriant, le samoyède partage quelques similarités avec le husky de Sibérie, dont sa forte carrure et son pelage épais. Ces deux types de chiens sont originaires de la Sibérie, où ils avaient pour habitude de travailler en tant que chiens de traîneau.
Le Husky est avant tout un chien primitif. Utilisé pour tirer les traineaux, il nécessite d'être énormément dépensé pour satisfaire ses besoins. Ce chien exige par conséquent un maître conscient et surtout très sportif, qui saura lui accorder du temps chaque jour pour réaliser des activités sportives.
C'est un chien très intelligent, gentil, affectueux et jovial qui se veut indépendant par instinct. Il est fidèle à ses maîtres, sans être ni possessif ni solitaire. D'un tempérament joueur et doux, il s'entend particulièrement bien avec les enfants.
Est-ce une bonne idée de prendre un deuxième chien ? Prendre un deuxième chien est un acte généreux car vous offrez une famille à un animal qui n'en a pas. L'avantage d'avoir deux chiens est qu'ils disposeront tous 2 d'un compagnon de jeu. La stimulation physique ne cessera alors plus lorsque vous vous absentez.
Gardez les deux chiens en laisse jusqu'à ce que le chiot se soit bien familiarisé avec les lieux et que votre autre chien l'accepte tranquillement sans réagir. Continuez à récompensez les signes d'acceptation et de tolérance avec des félicitations en douceur et des petites caresses pour votre chien et votre chiot.
Présentez-les l'un à l'autre dans un environnement neutre. Laissez-les sortir de leur panier s'ils le souhaitent. Nourrissez-les dans des pièces séparées. Passez du temps avec vos chiens, l'un après l'autre.
Alors on va commencer par la plus belle : le Husky est un chien fugueur. Donc, comme il est fugueur, on ne le détache pas quand il est chiot. Comme on ne le détache pas chiot, on détachera quand il sera adulte. Chiot, c'est justement le moment où il faut lui apprendre à vivre détaché.
Commencez par laisser votre chien seul pour de courtes périodes, puis augmentez progressivement le temps que vous passez loin de lui. Il est également important de le laisser avec des jouets pour s'occuper et de lui donner suffisamment d'exercicev avant de le laisser seul.
Le Husky doit se dépenser chaque jour pour être parfaitement équilibré. Ce chien ne saurait passer des heures sans rien faire au fond d'un jardin : il aime courir et découvrir de nouvelles choses. Emmenez-le chaque jour se promener pendant au moins deux heures.
Avec une espérance de vie moyenne de 12 à 13 ans, le siberian husky est un chien robuste.
La sieste est souvent l'occasion, pour le Husky, d'adopter des positions parfois grotesques, parfois impudiques... mais toujours attendrissantes ! Jugez-en par vous-même. Bon, la boule n'est pas parfaite... mais Fanouk était encore bébé, à l'époque ! Idem pour Foenwick du Songe d'une Nuit Polaire...
Pour bien fatiguer son chien, rien ne vaut une bonne dose de complicité chaque jour. Faites le courir, jouer, et apprenez à le socialiser avec d'autres chiens et d'autres humains. Si vous êtes sportif, pensez par exemple au canicross. Vous pourrez courir avec votre chien et vous dépensez en même temps.
2) Le husky a un très fort instinct de chasse
Le chat est une proie pour lui, c'est un fait. Cet instinct peut être court-circuité vis-à-vis du chat de la maison avec beaucoup d'éducation qui démarre le plus jeune possible. Mais il sera toujours présent et peut refaire surface à des occasions imprévues.
Pour une cohabitation réussie entre plusieurs chiens, préférez des chiens de même race ou de même gabarit et, si possible, des mâles castrés pour éviter des problèmes de territoire et de domination.
Des diffuseurs de phéromones synthétiques que vous utiliserez dans l'environnement. Cela peut habituer graduellement les deux chiens à accepter la présence de l'autre puis vivre ensemble; Des accessoires pur chacun des chiens. Chaque chien doit avoir ses propres effets : un bol d'eau, un bol de nourriture, un lit, etc.
Expressif et affectueux, il aboie facilement. On le dit joueur, mais attention, le Husky a ses préférences ! Ne comptez pas trop sur lui pour jouer à la balle ou aller ramasser le bâton. Ces chiens préfèrent en effet les longues promenades et les courses avec leur maître ou en famille.
Parmi les chiens d'intérieur calmes et capables de passer 8 heures loin de leurs maîtres figurent le Cavalier King Charles, le Bichon maltais, le pékinois ou encore le Welsh corgi. Mais certaines races de grands chiens sont aussi de bons solitaires, comme le Chow-Chow, le Lhassa Apso ou encore le Shar-Pei.
Le mieux est de placer le panier de votre chien dans un endroit chaud, à l'abri des courants d'air. Vous pourriez aussi multiplier les propositions de couchages dans la maison, ainsi votre chien pourra choisir où dormir.
Il n'y a donc pas de contre-indication à élever des Huskys sous nos latitudes tempérées, même dans le Sud de la France où ils s'acclimatent généralement très bien (du reste, on trouve des élevages de Huskys en Corse, en Afrique du Sud, en Australie, etc.).
S'ils n'aboient pas particulièrement, les Husky préfèrent les hurlements, qui leur servent souvent à s'exprimer de façon incongrue.
En dehors des temps de jeu, le grognement exprime le fait que le chien a identifié quelque chose qui ne lui convient pas. Le grognement est utilisé pour communiquer sur une situation qui lui pose problème. Le chien peut vouloir signifier que la situation lui déplaît ou qu'elle lui fait peur.
Il faudra un minimum d'un mois au chien pour s'adapter à son nouvel environnement et à vous. Cela peut varier selon son caractère, son passé, etc.
Par exemple, le fait qu'un chien adulte se montre agressif envers un chiot qui a dépassé les bornes selon lui, est en réalité une réaction “légitime”.
Dans un premier temps, tenez-les en laisse. Après une première approche, lorsqu'ils se sont flairés, ne restez pas immobiles, baladez-vous. Puis, au bout d'un moment, laissez-les en liberté si l'endroit choisi le permet. Ainsi, les chiens seront libres de leur mouvement, et peuvent décider de « fuir », de s'éloigner.