Les hindous, pour qui la vache est sacrée, ne mangent pas de bœuf. Il y a aussi des végétariens qui choisissent de ne pas manger d'animaux, ni viande ni poisson.
Manger la viande de cet animal est interdit par le judaïsme et l'islam comme celle de quasiment tous les ongulés non-ruminants.
Chez les Orthodoxes : période de 40 jours avant Pâques, le carême : régime végétal sans œufs, produits laitiers, viandes et poissons.
Le judaïsme interdit le porc (tout comme la religion musulmane) et les poissons sans écailles, ainsi que les crustacés et mollusques qui ne sont pas casher.
Tous les produits de la mer ou d'eaux douces sont halal, y-compris la viande de requin. Néanmoins, l'école de jurisprudence hanafi interdit la consommation de fruits de mer autres que le « poisson ».
Ainsi, les crustacés et fruits de mer ne sont pas autorisées par la Torah. L'esturgeon, la raie, l'anguille, le congre, etc.
1Selon la jurisprudence chiite duodécimaine, les poissons dépourvus d'écailles sont harâm. Ainsi considère-t-on l'esturgeon et ses œufs, le précieux caviar.
Pour les animaux vivant sur terre, sont purs les animaux à sabots fendus ruminant leur nourriture, dont le bœuf, le veau, le mouton, l'agneau ou la chèvre et impurs les animaux dont le sabot n'est pas fendu comme l'âne ou le cheval, ou le lièvre (considéré aujourd'hui comme pseudo-ruminant du fait de sa digestion en ...
Selon les lois de la cacherout, et notamment le passage du Lévitique, chapitre 11, verset 9, qui indique les espèces aquatiques autorisées, seuls peuvent être consommés les poissons « pourvus de nageoires et d'écailles ». Ainsi, les crustacés et fruits de mer ne sont pas autorisées par la Torah.
Judaïsme : le pur et l'impur
Par exemple, les mammifères ruminants purs doivent avoir le sabot fendu [2][2]Le texte énumère dix animaux purs : le bœuf, le mouton, la… ; dans le cas contraire, ils sont réputés impurs.
Les protestants ne font pas appel à des intercesseurs comme Marie ou les saints dans leurs prières. Selon eux le croyant est seul responsable devant Dieu et ne doit pas passer par des intermédiaires pour dialoguer avec Lui. Ils croient que Jésus est le seul intermédiaire entre Dieu le Père et eux-mêmes.
Cette tradition est encouragée par la religion bouddhique; la chèvre est strictement végétarienne comme les saints du bouddhisme, contrairement au porc. En Inde, la consommation des moutons et chèvres est majoritaire : elle échappe aux interdits religieux des deux grandes religions : islam (porc) et hindouisme (bœuf).
Aliments non-permis :
Porc, reptiles, amphibiens et insectes. Fruits de mer (homard, crabe, crevettes, pétoncles, huitres, moules) et mammifères marin.
Les animaux qui ne possèdent pas ces caractéristiques ou qui n'en possèdent qu'une : ainsi, le chameau qui est ruminant mais qui n'a pas de sabot fendu, le porc qui n'est pas ruminant mais qui a un sabot fendu, le lièvre qui rumine mais qui n'a pas de sabot, sont-ils interdits.
Une prohibition analogue écarte de l'autel, dans les oblations, le pain levé et même le miel, tenu pour matière fermentée (Lév., 2, 11). D'autre part, le vin et la bière sont interdits aux prêtres qui vont sacrifier (Lév., 10, 9 ; Éz., 44, 21), et le trente et unième proverbe fait la même recommandation aux rois.
Concernant les poissons, il n'y a pas de cachérisation, contrairement à la viande. Un poisson est ou n'est pas cacher : "Parmi tout ce qui est dans les eaux, tout ce qui n'a ni nageoires ni écailles, vous ne mangerez pas, ce sera impur pour vous." (Deutéronome, XIV, 9-10).
1 – Les Falafels
Imaginez un pain pita ouvert façon sandwich et garni de boulettes de pois chiches (les falafels), de crudités et d'une sauce à base de tahiné (la pâte de sésame). C'est la version orientale du pain bagnat et c'est à tomber par terre tellement c'est bon.
Au-delà du repas de funérailles, l'œuf occupe une place importante dans le judaïsme. La forme ronde évoque le cycle de vie, mais également de façon plus générale, les cycles de liberté et de servitude, de joie et de souffrance, qui sont intimement liés dans le judaïsme.
La viande halal correspond à l'abattage de l'animal par le musulman, tandis que la viande kasher correspond à l'abattage de l'animal par le juif. Certaines personnes pensent que kasher signifie tué par un couteau, mais cela signifie en fait tué par une prière.
La chair des animaux impurs et leurs dérivés (lait et œufs) : seuls les mammifères qui ruminent et qui ont le sabot fendu sont autorisés. Le lapin est interdit ainsi que le porc, il a bien le sabot fendu mais il ne rumine pas. Tous les autres mammifères sont également interdits.
Il est interdit de consommer ensemble viande et produits lactés.
Il n'y a pas d'exigences halal spécifiques pour les poissons, tant qu'ils sont abattus de manière correcte. Cela signifie que tous les types de fruits de mer, des crevettes au saumon peuvent être consommés par les musulmans sans avoir à se soucier de leur caractère halal ou non.
Le terme, dans son acception la plus courante, recouvre tous les aliments autorisés aux fidèles, essentiellement d'origine animale. Sont ainsi « halal » les viandes des espèces ovines, bovines, caprines et cameline, de même que la viande de cheval, de volaille ou de lapin. Les produits de la mer sont également permis.
Ces courants religieux islamiques ont donc répandu l'idée que les musulmans avaient des « besoins » spécifiques en termes d'alimentation. Les fondamentalistes ont fait évoluer leur position et ont déclaré illicite l'alimentation des pays non musulmans. Ils ont appelé à manger des produits licites, halal.