La centrale nucléaire de Zaporijia, dans le sud de l'Ukraine, reste aux mains des Russes depuis l'invasion du pays au début de 2022. Elle a, par le passé, été visée par des tirs et coupée du réseau électrique à plusieurs reprises, une situation précaire qui fait craindre un accident nucléaire majeur.
En cas de coupure électrique prolongée, le système de refroidissement des réacteurs ne pourrait plus fonctionner, laissant courir le risque d'un "accident de fusion du combustible" et de "rejets radioactifs dans l'environnement", selon l'Institut français de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN).
Passée sous contrôle russe dès les premières semaines de l'invasion en février 2022, la centrale nucléaire de Zaporijia est, depuis, l'objet de toutes les attentions.
En cas d'accident grave, certaines ins- tallations nucléaires, notamment les centrales nucléaires, sont susceptibles de rejeter dans l'atmosphère de l'iode radioactif. Son absorption par l'organis- me ferait alors courir un risque accru de cancer de la tyroïde, en particulier pour les enfants.
occupée par les russes
La centrale est tombée aux mains de l'armée russe le 4 mars 2022, peu après le début de l'invasion russe le 24 février. Le site a été la cible de tirs et de bombardements, dont Ukrainiens et Russes s'attribuent mutuellement la responsabilité.
La centrale nucléaire EPR d'Olkiluoto 3 atteint 100% de production et devient la plus puissante d'Europe - Framatome.
La centrale nucléaire de Gravelines possède 6 réacteurs à eau pressurisée de 900 MWe. En 2022, elle a produit 28,2 TWh d'électricité faible en CO2, ce qui couvre l'équivalent des besoins de 61% de la consommation électrique annuelle des Hauts-de-France.
Restez dans l'endroit le plus protégé (sous-sol ou centre d'un grand bâtiment) pendant les 12 à 24 premières heures à moins d'être menacé par un danger immédiat (par exemple, incendie, fuite de gaz, l'effondrement d'un bâtiment ou une blessure grave) ou informé par les autorités qu'il est possible de sortir sans danger ...
Fermez les portes et les fenêtres et arrêtez les systèmes de ventilation, de chauffage ou de climatisation. Les pièces situées au centre du bâtiment ou au sous-sol offrent une meilleure protection.
"Un des motifs les plus sérieux d'opposition au nucléaire aujourd'hui, outre les accidents et le sort des déchets, c'est quand même la question de l'eau." Les centrales nucléaires consomment beaucoup d'eau, qu'elles rejettent ensuite dans les cours d'eau, mais à une température plus élevée, causant un risque pour la ...
La centrale nucléaire de Kashiwazaki-Kariwa, plus grande installation de ce type au monde, à l'arrêt depuis l'accident de Fukushima en 2011, aurait dû redémarrer à l'été 2023, un véritable événement au Japon. Le redémarrage était attendu plus tôt mais avait déjà été retardé par après une série d'erreurs internes.
Entre 1986 et 2000, tous les réacteurs de la centrale de Tchernobyl ont été définitivement arrêtés. Sur le site aujourd'hui, une intense activité se poursuit pour la construction d'un nouveau confinement et d'une installation d'entreposage de combustible usé.
En août 2021, Energoatom et Westinghouse ont signé un contrat pour la construction de réacteurs Westinghouse AP1000 afin de remplacer les blocs inachevés de la centrale de Khmelnitskyi.
Lénine de Tchernobyl, située à 3 km de la ville de Prypiat et à environ 130 km au nord de Kiev. Il s'agit de la plus importante catastrophe nucléaire, classée au niveau 7 de l'échelle internationale des événements nucléaires, surpassant l'accident nucléaire de Fukushima survenu en 2011 et classé au même niveau.
L'accident survenu le 26 avril1986 à la centrale nucléaire de Tchernobyl, en Ukraine, a donné lieu au plus grand rejet radioactif non contrôlé de l'histoire. Des explosions de vapeur et d'hydrogène à la tranche 4 de la centrale ont mené à une rupture de la cuve du réacteur et à un incendie qui a duré 10 jours.
Tout le monde ne pourra pas s'y réfugier. Néanmoins, il existe un bunker sous l'Élysée. Capable de résister à une attaque nucléaire, cet abri de 250 m2 construit sous l'aile est du Palais présidentiel en 1940, abrite le poste de commandement Jupiter, le PC Jupiter.
L'impact provoque la réaction nucléaire, par fission. L'explosion provoque un flash lumineux aveuglant, suivi d'une onde thermique et d'une onde de choc ou « effet de souffle ». La boule de feu (6 000 °C au centre, 1 300 °C à 600 m) carbonise tout sur les 500 premiers mètres et incendie sur 3,5 km de rayon.
Les particules radioactives libérées dans l'atmosphère retombent sur l'ensemble du globe. A chaque explosion aérienne, des particules radioactives sont libérées dans l'atmosphère à une altitude qui dépend des conditions du tir. Elles y séjournent de quelques heures à quelques mois avant de retomber au sol.
Les populations non évacuées doivent se mettre à l'abri (de préférence en sous-sol), calfeutrer les ouvertures et si possible couper la clim ou la ventilation afin d'éviter une contamination par inhalation.
Dans le cas des expositions internes, il faut surtout éviter le contact et l'ingestion de substances radioactives. On se protège d'une irradiation externe par des écrans, notamment pour les rayons gamma, pénétrants, les rayons alpha et bêta étant arrêtés par de très faibles épaisseurs de matière.
Une chance de guerre nucléaire de 1 % dans les 40 prochaines années devient après 8 000 ans une chance de 99 %. Tôt ou tard, les chances seront contre nous. Même si chaque année nous diminuons le risque par deux, nous ne pourrons jamais atteindre zéro.
En février 2024, la Chine compte 55 réacteurs nucléaires opérationnels et 23 en construction. En 2022, les centrales nucléaires de la république populaire de Chine ont produit 417,786 TWh (derrière les États-Unis et devant la France), soit 5 % de l'électricité du pays.
Fessenheim est la plus ancienne des centrales françaises encore en activité. Sa fermeture s'inscrit dans l'engagement de la France de réduire la part du nucléaire dans son mix énergétique. Aujourd'hui, le nucléaire est à l'origine de 71% de l'électricité produite en France, l'objectif est de ramener cette part à 50%.
Car le gouvernement espère voir la première paire d'EPR2 sur le site de Penly, dans la Manche, en 2035. Les autres seront construits sur des sites nucléaires déjà existants : à Gravelines, dans le nord, et à Bugey, dans l'Ain.
Située en Ukraine, la centrale nucléaire de Zaporijjia est la plus grande d'Europe. Dès le début de l'invasion russe en Ukraine, cette centrale a été identifiée comme un site stratégique.