Ces deux récits et l'autopsie racontent exactement la même histoire. Louis II s'est noyé après s'être débarrassé de façon violente de son médecin.
Le 10 juin 1190, l'empereur se noie dans un torrent en Cilicie.
La troisième croisade, qui débuta en 1189 et s'acheva en 1192, est une série d'expéditions menées par Frédéric Barberousse, empereur germanique, Philippe Auguste, roi de France, et Richard Cœur de Lion, roi d'Angleterre, dans le but de reprendre Jérusalem et la Terre sainte à Saladin.
L'appel à la croisade. Le 27 novembre 1095, à l'issue du concile de Clermont, le pape s'adresse aux évêques, pour demander d'aller au secours des chrétiens orientaux. Cet appel a été retranscrit, plusieurs années après, par Foucher de Chartres, sans doute témoin de l'homélie (allocution sur des matières religieuses).
Outre ses qualités de guerrier, c'est grâce à son instinct politique qu'il a pu fonder un royaume prospère, allié de l'empire islamique de la dynastie ottomane, et défier l'un des plus puissants monarques de l'Europe chrétienne, l'empereur espagnol Charles V.
Khayr ad-Din Barberousse.
Barberousse : des origines modestes
Hayreddin a alors trois frères et quatre sœurs. Assoiffé d'aventure, l'un d'eux, Oruç, décide de prendre la mer dans l'espoir de faire fortune. Il s'engage sur un navire qui finit par être attaqué au large de l'île de Rhodes, aux alentours de l'actuelle Grèce.
Arudj et son frère Ishak se préparèrent avec 1 500 soldats turcs et 5 000 soldats arabes et berbères. Ils défendirent Tlemcen pendant six mois lors de la bataille de Tlemcen, mais furent finalement tués sur le champ de bataille.
Le 21 mai 1529, les janissaires (dico) turcs de Barberousse s'emparent de la puissante forteresse espagnole qui se dresse face à Alger, le Peñon. Le pirate fait exécuter le gouverneur de la forteresse.
La barre d'un navire (ou barre de gouvernail ou barre de pilotage ou, si en forme de roue, barre à roue) est utilisée pour orienter un navire à moteur ou à voile dans la direction voulue.
Marin, Sailor, seaman – Homme exerçant une profession à la mer. Contraire de terrien. Marin-pêcheur, Fisherman – Homme de mer, inscrit maritime, dont la profession est de pêcher. Matelot, Salor, seaman, the hands – Homme d'équipage non gradé, inscrit maritime.
Le mot Marinette s'entend sur les pontons, dans les ports et même sur certaines annonces d'emploi à la plaisance professionnelle. Vous ne le trouverez jamais dans un dictionnaire et pourtant, quand on parle d'un marin au féminin, on utilisera souvent le terme de Marinette.
capitainesse — Wiktionnaire, le dictionnaire libre.
Lorsque la langue anglaise se réfère aux navires, l'utilisation du « she » est une pratique qui remonte aux temps anciens. La tradition britannique raconte que les navires sont désignés par le pronom féminin « she » « parce que les hommes les aiment« , ou parce que « comme une femme, un navire est imprévisible« .
Descente, Companionway – Petite superstructure donnant accès, par une échelle ou un escalier, à l'intérieur du bateau.
Tribord est le côté droit d'un bateau lorsqu'on regarde vers l'avant.
La partie la plus imposante d'une embarcation est appelée la coque.
Salim at-Toumi — Wikipédia.
L'origine la plus crédible est liée à Khizir Khayr ad-Dîn Barbe Rousse (1466-1546), maître de la flotte Ottomane qui, au XVe siècle, symbolisait la piraterie, et dont le nom inspirait l'effroi à tout ce qui flottait en mer et jusqu'aux ports soumis à ses incursions.
François l'Olonnais commet ses principaux actes de piraterie en compagnie de Michel le Basque. Après avoir fait naufrage en 1669 sur la côte de la province de Darién (actuel Panama), il aurait été capturé et dévoré par des Indiens cannibales. Son identité reste inconnue.
Passionné par les livres, Saint Colomban aurait encouragé ses confrères moines à copier et diffuser le plus grand nombre d'ouvrages, dans le souci de faire connaître les livres et le savoir qu'ils véhiculaient. Lui-même aurait recopié de sa plume plus de 300 fois les évangiles.
Bartholomew Roberts
Il fut le dernier grand pirate de l'âge d'or, pillant plus de 400 navires.
En français, le pays est désigné, avant 1830, par les expressions les plus diverses : « Barbarie », « El Djezair », « Numidie », « Africa », « Ifrikyia », « Royaume d'Alger », entre autres.