Les forces qui s'affrontent sont à l'échelle de l'enjeu : Napoléon, avec une armée de 65.000 hommes et 250 canons affrontent l'armée anglo-néerlandaise composée de 65.000 hommes commandée par Wellington alliée à l'armée prussienne du Bas Rhin constituée de 55.000 hommes placée sous les ordres du maréchal Blücher.
La bataille de Waterloo met fin à sept siècles d'hostilité entre la France et l'Angleterre et achève une fois pour toutes l'épopée napoléonienne. L'empereur retourne à Paris le 22 juin 1815 et abdique une seconde fois, en faveur de son fils.
Dans cette commune belge, Napoléon aurait été doublement trahi le 18 juin 1815. D'abord par ses généraux, Ney et Grouchy en tête. Ensuite par la météo : une pluie diluvienne avait transformé en bourbier le champ de bataille, déroutant son artillerie.
La bataille de Waterloo, le 18 juin 1815, est l'une des plus célèbres batailles de l'histoire européenne. Vaincu par les forces de la coalition menée par Wellington et von Blücher, l'empereur Napoléon Bonaparte a définitivement perdu le pouvoir après sa défaite.
Pour garder son pouvoir, Napoléon, accompagné de son armée, se rend en juin 1815 sur les terres belges. Son but : combattre les armées prussiennes et anglaises qui menacent la France. Mais cette ultime bataille est une véritable boucherie.
Les forces qui s'affrontent sont à l'échelle de l'enjeu : Napoléon, avec une armée de 65.000 hommes et 250 canons affrontent l'armée anglo-néerlandaise composée de 65.000 hommes commandée par Wellington alliée à l'armée prussienne du Bas Rhin constituée de 55.000 hommes placée sous les ordres du maréchal Blücher.
Les soldats français sont contraints de battre en retraite. Les conséquences de cette défaite sont bien connues : Napoléon se rend aux autorités anglaises et est exilé sur l'île de Saint-Hélène, où il meurt 6 ans plus tard, le 5 mai 1821.
Des précipitations intenses ont contribué à la déroute de l'armée napoléonienne à Waterloo, en 1815. Des pluies pas tout à fait dues au hasard, selon l'étude que vient de publier un chercheur britannique. Nous sommes le 18 juin 1815 à Waterloo, dans l'actuelle province du Brabant wallon, en Belgique.
Après s'être échappé de l'île d'Elbe, Napoléon débarque en France le 21 mars 1815. Aussitôt les représentants de ses adversaires, qui sont alors réunis à Vienne en Autriche, le déclarent hors-la-loi et « perturbateur du repos du monde ». Ils décident de reprendre la guerre contre la France.
Si les chiffres varient en fonction des sources, les estimations évoquent plus de 40.000 victimes dont quelque 25.000 côté français, des milliers de chevaux tués et des dizaines de milliers de blessés.
Pozzo di Borgo, l'ennemi juré de Napoléon.
L'échec de Waterloo en 1815 contre l'Angleterre et la Prusse
Le 18 juin 1815, l'armée du Nord dirigée par Napoléon affronte les armées des alliés (britanniques, néerlandais, allemands) et l'armée des Prussiens à Waterloo, près de Bruxelles. L'armée napoléonienne est supérieure en nombre : 71.000 soldats contre 68.000.
Parmi les 185 batailles que la France a livré au cours des 800 dernières années, ses armées auront gagné 132 d'entre elles, et en auront perdu 43, ne laissant que 10 batailles indécises, donnant ainsi aux militaires français le record de victoires en Europe et donc dans le monde.
Le général anglais Colville dans un acte de mansuétude somme les derniers soldats français de se rendre. Le général Cambronne juge cette proposition déshonorante et répond: «La garde meurt mais ne se rend pas». L'Anglais insiste. Le Français dans un dernier acte héroïque lui répond: «Merde!»
Les forces et le plan de Napoléon
en arrière, le VIe corps de Lobau (10 000 hommes), les divisions de cavalerie de Domon et de Subervie (chacune 1 200 cavaliers) et trois divisions d'infanterie de la Garde (9 000 hommes).
Contexte historique
Napoléon rassembla une nouvelle armée et gagna la Belgique. Après quelques succès – à Ligny où il parvint à vaincre les Prussiens, aux Quatre-Bras où Ney remporta une demi-victoire contre les Anglais (16 juin) –, il affronta les Britanniques du duc de Wellington à Waterloo le 18 juin 1815.
Première abdication de Napoléon I. La première abdication de Napoléon Ier est un moment de l'Histoire de France qui voit l'Empereur des Français contraint, en avril 1814, de quitter le pouvoir à la suite de sa défaite militaire après la campagne de France et l'invasion alliée.
Au cours de ses campagnes, Napoléon Ier pourra compter sur une armée comptant jusqu'à près de 700 000 soldats : la Grande Armée réunit des régiments français mais aussi étrangers, polonais, hollandais, italiens, espagnols, suisses…
Napoléon III, Empereur des Français (1852-1870)
Après sa défaite à Waterloo le 18 juin 1815, Napoléon Ier a abdiqué le 22 juin en faveur de son jeune fils qui devient Napoléon II.
Chef-d'œuvre de stratégie militaire, la bataille d'Austerlitz, dite aussi « des Trois empereurs » (Napoléon, Alexandre Ier de Russie et François II d'Autriche), demeure la plus célèbre des victoires napoléoniennes.
Marengo était devenu le cheval préféré de Napoléon qui l'avait monté dans plusieurs batailles jusqu'à Waterloo en 1815, où il a été capturé par les troupes de Wellington.
En 1812, l'armée de Napoléon pénètre sur la terre des tsars. Mais les Russes refusent le combat et reculent. C'est finalement les maladies et le froid de l'hiver qui sont les principales raisons de la défaite de Napoléon en Russie.
Le coupable serait le général Charles de Montholon, un proche de l'Empereur. Il aurait empoisonné petit à petit Napoléon en versant quelques gouttes de poison dans le vin que consommait le général à Sainte-Hélène.