Les disciplines de saut peuvent se décomposer en quatre phases principales : (a) élan, (b) impulsion, (c) suspension et (d) réception.
Nous avons vu dans les principes généraux des sauts l'existence de trois phases : la course d'élan, l'appel et la suspension.
Le sauteur doit surtout maintenir sa vitesse pendant tout le saut. L'athlète doit être capable de franchir la plus grande hauteur possible en style Ciseau, Ventral ou Fosbury-Flop, suite à un élan progressivement accélérée. - Durant la course, les mouvements sont amples et progressives.
Le saut à la perche consiste, après avoir effectué une course d'élan d'environ cinquante mètres, à s'aider d'une perche souple pour franchir une barre horizontale placée à plusieurs mètres de hauteur sans la faire tomber.
On peut définir l'impulsion comme la déformation de la trajectoire du centre de gravité du corps de l'athlète ou de l'ensemble corps/engin lors du dernier appui. L'impulsion aussi appelée « appel » dans les sauts, elle commence à la pose du pied d'appel et se termine lorsque que le pied quitte le sol.
Le saut en hauteur et en longeur sont des disciplines de l'athlétisme qui nécessite un équipement pour réaliser des performances en toute sécurité, avec des poteaux, des sautoirs, aire de réception et des accessoires de saut.
Pensez à maintenir la position, les jambes bien tendues devant vous et le buste bien droit. Avec votre vitesse de course, l'élan donné vous fera passer la barre et atterrir sur le tapis de hauteur. Entrainez-vous. Répétez cette technique de saut, autant de fois qu'il faudra, pour bien la maitriser.
Technique de saut en hauteur qui consiste, lors de l'appel, à lancer la jambe extérieure, puis, dans les airs, à positionner le ventre parallèlement à la barre et tourné vers celle-ci pour finalement dégager la jambe d'appel au-dessus de la barre.
Il existe trois principaux types d'impulsions : High frequency (Haute fréquence) Switch closure (Contact sec) Low-level AC (CA Bas niveau)
Le saut est une épreuve d'athlétisme dans laquelle l'athlète doit parcourir la plus grande distance par un saut soit horizontal dans le cas du saut en longueur et du triple saut, soit vertical avec le saut en hauteur et le saut à la perche.
Le pied d'appel est, en athlétisme, dans les disciplines de saut (en hauteur, en longueur, à la perche, triple saut), le pied qui donne l'impulsion finale déterminant le saut, c'est celui qui est le dernier appui au sol.
Le sautoir, en athlétisme, est l'aire de saut composé de la zone d'élan et de la zone de réception. Le sautoir est un long collier. Le sautoir est un cordon, un ruban qu'on passe derrière la nuque et qui supporte une décoration pendant sur le devant de la poitrine.
L'homme responsable de cette transformation n'est autre que Dick Fosbury. L'athlète américain est à l'origine d'une véritable révolution en inventant sa propre technique : le Fosbury-flop (ou rouleau dorsal).
Essais nuls au saut en hauteur
3.1 Un essai est considéré comme nul ou faux si, a) l'appel a été pris des deux pieds; b) la barre tombe des taquets; c) le sol ou le tapis de réception est touché au-delà des poteaux ou de la ligne zéro avec une partie quelconque du corps, sans franchir la barre.
Essai nul : Le saut n'est pas valable : · si la pointe du pied est hors de la zone d'appel ; · si la zone d'appel est franchie sans sauter. On indique un essai nul par une croix. Mesure : On mesure, au centimètre près, la distance perpendiculaire entre la marque dans le sable la plus proche et la pointe du pied.
le saut en longueur et le triple saut. le saut en hauteur. le saut à la perche. les courses d'obstacles qui sont des courses avec foulées aménagées plus que des sauts.
Critères de réussite:
- impulsion dans la zone d'appel, - réussir la situation 3 fois sur 5, - réception équilibrée.
Des étirements musculaires, en particulier de la face postérieure de la cuisse (ischios jambiers) mais aussi du devant de la cuisse (quadriceps) et de l'intérieur de la cuisse (adducteurs), ainsi que de la jambe (mollet), avec les mêmes recommandations : en souplesse, sans forcer et sans " temps de ressort " et pas ...
En cas d'égalité, on départage les sauteurs en prenant en considération le second meilleur saut effectué. La vitesse de course au moment de l'impulsion est déterminante, c'est pourquoi de nombreux sprinteurs réalisent de bons résultats en saut en longueur.
3) Le franchissement :
Au dessus de la barre, le sauteur cherche à rester aligné (gainé) le plus longtemps possible puis une fois le bassin ayant passé la barre, il va chercher au contraire à rapprocher les segments pour accélérer la chute et le passage des jambes au dessus de la barre.