On appelle condition d'existence, une condition sans laquelle un acte juridique n'existe pas et condition de validité, une condition sans laquelle un acte juridique n'est pas valable et peut donc être annulé (il est annulable).
De quelque manière qu'apparaisse l'État, son existence implique systématiquement la réunion des trois éléments constitutifs : le territoire, la population, le pouvoir politique.
Pour que ta fonction soit correctement définie, il faut que le dénominateur ne s'annnule pas et que la fonction racine soit appliquée à un réel positif. On ne peut pas étendre de façon canonique la fonction racine aux négatifs et aux complexes.
En mathématiques, une condition d'existence pour une expression algébrique est une proposition nécessaire sur les variables de l'expression pour que cette expression produise un résultat.
“Sont nécessaires à la validité d'un contrat : 1° Le consentement des parties ; 2° Leur capacité de contracter ; 3° Un contenu licite et certain.”
En réalité, l'article 1108 du Code civil de cette époque énonçait quatre conditions indispensables à la validité de tout contrat : le consentement de la partie qui s'oblige, sa capacité de contracter, un objet certain qui forme la matière de l'engagement, une cause licite dans l'obligation.
La condition de forme concerne la manière dont l'acte ou la décision a été pris, c'est-à-dire le respect de certaines formalités ou procédures. Elle vise à s'assurer que l'acte ou la décision a été pris de manière régulière et conforme aux règles en vigueur.
Donc, si une fonction comporte une racine carrée, il faut que le radicand (l'expression sous la racine) soit positif. Si la racine carrée se trouve être également le dénominateur, alors le radicant doit être à la fois différent de 0 et positif, donc strictement positif.
Si la fonction f ( x , y ) admet des dérivées partielles (par rapport à et ) qui sont continues, et si l'on se fixe des réels et , il existe une solution et une seule de l'équation y ′ = f ( x , y ) , définie sur un intervalle contenant , qui vérifie u ( x 0 ) = y 0 .
La fraction rationnelle donnée existe si x ≠ 0 et x ≠ − 5 . La fraction simplifiée existe aux mêmes conditions. On doit écrire la condition x ≠ 0 , mais il n'est pas nécessaire d'écrire la condition x ≠ − 5 car elle est "visible" puisque le dénominateur de la fraction simplifiée est
La valeur absolue d'un nombre est toujours positive. Si un nombre est positif, la valeur absolue de ce nombre est égale au nombre lui-même. Si un nombre est négatif, la valeur absolue de ce nombre est égale à son opposé.
Simplifier une fraction, c'est l'écrire avec un numérateur et un dénominateur plus petits. En pratique, cela revient à diviser le numérateur et le dénominateur par un même nombre.
Le domaine de définition de la fonction exponentielle est . La fonction exponentielle est positive sur . est également strictement positive sur .
Ce qui justifie, selon Duguit, l'existence de l'État, c'est le service public. L'État est en effet selon lui l'expression de la solidarité sociale. Les hommes, regroupés en sociétés, sont devenus de plus en plus interdépendants.
L'Etat et le pouvoir politique
L'Etat selon se définit par des éléments constitutifs, qui sont au nombre de trois : un territoire, une population et un pouvoir politique organisé.
La doctrine française distingue traditionnellement trois formes d'organisation de l'État unitaire : la centralisation, la déconcentration et la décentralisation.
- si a est non nul, l'équation admet une solution unique, cette solution est -b/a. - si a=0, l'équation n'admet pas de solution . 2e cas : Si b=0: - si a est non nul, l'équation admet 0 pour solution.
Si k \notin J_i alors l'équation f\left(x\right) = k n'admet pas de solution sur I_i. Si k \in J_i alors d'après le corollaire du théorème des valeurs intermédiaires, l'équation f\left(x\right) = k admet une unique solution sur I_i.
Si tous les coefficients aij sont nuls, et si l'un au moins des bi est non nul, alors le système n'admet pas de solution : S = ∅. Si l'un des coefficients aij est non nul, on peut le choisir comme pivot.
Définition : La racine carrée de est le nombre (toujours positif) dont le carré est . Racines de carrés parfaits : √0 = 0 √25 = 5 √100 = 10 √1 = 1 √36 = 6 √121 = 11 √4 = 2 √49 = 7 √144 = 12 √9 = 3 √64 = 8 √169 = 13 √16 = 4 √81 = 9 Remarque : √−5 = ?
Racine carrée
Pour tout réel r strictement positif, l'équation x2 = r admet deux solutions réelles opposées, et lorsque r = 0, l'équation x2 = 0 admet comme seule solution 0. La racine carrée d'un réel positif r est par définition l'unique solution réelle positive de l'équation x2 = r d'inconnue x. Elle est notée √r.
Une obtention de décimales par la méthode de Newton a été illustrée en 1922, concluant que √7 vaut 2,646 « au millième près ».
Sont nécessaires à la validité d'un contrat : 1° Le consentement des parties ; 2° Leur capacité de contracter ; 3° Un contenu licite et certain.
Règle qui est le fondement des droits et obligations d'une personne, par opposition à une règle de preuve.
L'acceptation peut être faite sous plusieurs formes : verbale, écrite ou même résultant d'un comportement de l'acceptant (article 1113 du Code civil). Concernant le silence, l'article 1120 du Code civil dispose qu'il ne vaut pas acceptation.