La musique peut avoir des effets négatifs psychologiques. Bien que la musique puisse aider à soulager le stress et l'anxiété, elle peut également causer du stress et de l'anxiété chez certaines personnes. Les effets psychologiques de la musique dépendent du genre et du contexte dans lequel elle est écoutée.
La durée prolongée d'écoute fatigue l'oreille en épuisant les réserves énergétiques des cellules. Il faut les reposer dans le silence, éviter les «after» prolongeant la fête sonore. Plus violent est le traumatisme sonore, véritable fracture des cils de la cochlée…
Certaines études font un lien entre déficience auditive, retrait social, isolement et dépression. La gêne ressentie peut provoquer des difficultés à s'endormir. D'autres effets domino sont possibles. Le stress par exemple est un facteur de changement de rapport à l'alimentation.
1. La musique peut influencer la perception de l'effort et faire oublier l'état de fatigue. Elle influence d'abord la « perception de l'effort ».
Agréable à écouter, la musique procure de nombreux bienfaits sur l'humeur, la santé et la créativité. À vos playlists ! Source de plaisir, la musique agit sur le système de récompense du cerveau et stimule la libération de dopamine qui, à son tour, active la sécrétion d'endorphines procurant une sensation de bien-être.
La musique favorise des niveaux plus élevés de dopamine dans le cerveau, d'où une sensation de plaisir. Elle améliore la motivation et l'endurance lors de la pratique d'un sport. Elle est utile à l'hôpital pour diminuer le stress et la douleur de patients en chirurgie.
La pratique d'un instrument permet de développer le lobe frontal et donc le cerveau procédural qui nous permet de nous organiser, de gérer notre temps. Jouer de la musique améliore aussi la motricité, la coordination et la sensibilité.
C'est ce qui s'appelle l'amusie, une anomalie neurologique à cause de laquelle le rythme, la mélodie ou les accords de musique (ou tout à la fois) ne sont pas perçus ou n'ont pas de sens pour une personne d'audition par ailleurs normale.
Selon le type de musique, les chansons peuvent avoir une incidence sur : le taux de dopamine, de DHEA, de cortisol et d'autres hormones. le rythme cardiaque, la fréquence respiratoire et la tension artérielle. le système de stress psychobiologique.
La musique au cœur du développement des compétences
La musique influencerait aussi l'estime personnelle et la confiance en soi des jeunes. En plus, la musique augmenterait leur bien-être, leur assurerait une meilleure connaissance de soi et leur apprendrait à mieux gérer leur temps.
La musique améliore la capacité d'apprendre des enfants.
Les activités musicales exercent entre autres l'écoute, la mémoire, l'attention, l'organisation de la pensée et la capacité de votre tout-petit à contrôler certains comportements.
Source de réconfort pour beaucoup, et notamment pour les plus jeunes, la musique contribue sensiblement à notre bien-être, en des temps particulièrement difficiles. 87 % des personnes interrogées ont déclaré que la musique leur avait procuré du plaisir et du bonheur pendant la pandémie.
La musique nous offre tout cela potentiellement, ainsi que la possibilité d'une pratique créative pour que les individus puissent prendre un contact aussi effectif qu'agréable avec le savoir au sens large, ce qui signifie des connaissances au niveau externe (la culture) et aussi au niveau interne (savoir du soi).
La musique a cet effet déclencheur sur le cerveau, et tout le travail scientifique actuel consiste à isoler les paramètres dans la musique entraînant la génération de l'adrénaline, mais aussi la dopamine (lié à la satisfaction) et l'endorphine (lié au soulagement).
1. Art qui permet à l'homme de s'exprimer par l'intermédiaire des sons ; productions de cet art, œuvre musicale. 2. Science des sons considérés sous le rapport de la mélodie et du rythme.
La musique adoucit les mœurs est un proverbe populaire qui semble trouver ses origines dans les écrits de Platon. Cette expression implique que la musique aurait un effet sur les mœurs par ses vertus éducatives et apaisantes.
L'univers sonore est en effet d'emblée émotionnel, parce que la fonction naturelle des sons, pour l'être vivant, est une fonction d'alerte. Les sons l'informent sur ce qu'il se passe, ils éveillent à chaque instant son système d'alarme biologique.
La musicothérapie est d'ailleurs prescrite par des médecins psychiatres. Une étude espagnole a même indiqué que cette médecine douce pouvait réduire la douleur en cas de fibromyalgie. On peut donc dire sans risque que la musique soulage à la fois les troubles physiques et mentaux tout autant qu'elle adoucit les mœurs.
La musique classique : pour réduire le rythme cardiaque
Une mélodie abaissant le rythme du cœur permettra de soulager sur le plan physique et émotionnel. Des chercheurs estiment que l'écoute de musique classique serait potentiellement une méthode thérapeutique pour diminuer l'anxiété et la dépression.
La musicophobie ou mélophobie résulte souvent d'une expérience malheureuse dans un concert où l'oreille et les tympans ont été mis à rude épreuve. La musique trop forte provoque un acouphène et un bourdonnement douloureux et prolongé.
L'hyperacousie est une sensation d'intolérance aux sons ou à des bruits présentés à un volume jugé tolérable par l'entourage. Une personne souffrant d'hyperacousie perçoit un son comme étant plus fort qu'en réalité. La personne peut rapporter qu'elle « entend trop » les sons quotidiens.
La misophonie est une maladie du cerveau due à des différences dans la façon dont le cerveau d'une personne est câblé. Elle n'est pas due au fait qu'ils essaient délibérément d'être difficiles ou de contrôler.
Selon le résultats de l'équipe de chercheurs, écouter de la musique augmente de 6 à 9% le niveau de dopamine dans le cerveau. « Une personne est même montée à 21 %.
Sans surprise, les chercheurs ont constaté que la « régulation des affects », la recherche de détente, d'une réduction de stress est une fonction retrouvée dans les deux groupes, mais cela est considéré plus volontiers comme un bénéfice secondaire, renforcée par d'autres fonctions d'écoute de la musique.
Dans l'oreille externe : l'onde sonore est captée par le pavillon qui la transmet au conduit auditif. L'onde est alors amplifiée. Le conduit auditif la transporte ensuite vers l'oreille interne. Dans l'oreille moyenne : l'onde sonore fait vibrer le tympan qui amplifie davantage le son.