➙ mère. (appellatifs) Bonne-maman : grand-mère.
Femme qui a mis au monde un ou plusieurs enfants. ➙ maman ; maternel, maternité.
Définition de maternel
Relatif à la mère. Qui évoque la mère, qui joue le rôle d'une mère, qui a un comportement de mère.
femme non mariée qui élève seule son ou ses enfants.
Quels sont les qualités d'une bonne mère ? - Quora. Patience, fermeté, compréhension, ouverture d'esprit. Faire des efforts. Et avoir du courage.
ancêtre, auteur, créateur, fondateur, instigateur, inventeur, mécène, pionnier, promoteur, protecteur. – Littéraire : fabricant, instaurateur.
fém. A. − [Souvent empl. comme appellatif affectueux] Mère, dans le langage de l'enfant et dans celui de l'adulte pour désigner la mère de famille, sa propre mère ou celle qui en tient lieu.
"Maire", "mer" et "mère" sont des homonymes.
« Sa mère… » ou « … de sa mère » sont des expressions tout à fait communes qui s'emploient indifféremment à la place d'adjectifs ou d'adverbes mélioratifs ou péjoratifs. On dira ainsi : – « Sa mère le contrôle d'histoire-géo ! » pour désigner un contrôle particulièrement difficile ou simplement malvenu.
Le Dictionnaire de l'Académie, par exemple, dans sa première édition (1694) définit mère en ces termes : « femme ayant mis un enfant au monde ». La différence avec maman fait l'objet de cette glose : « terme dont les petits enfants & ceux qui leur parlent se servent au lieu du mot de Mere ».
Publié le 03 juillet 2013 à 18h11 Lecture 1 min. C'est le mot le plus répandu au monde et l'un des plus anciens. Les linguistes estiment que, dès l'âge des premiers sons, les bébés prononcent naturellement la syllabe “ma”.
Contraire : dur, malveillant, méchant.
aisé, cossu, cousu d'or, fortuné, huppé, nanti, privilégié. – Familier : argenté, plein aux as.
Pour nommer ses beaux-parents, il existe six possibilités : appeller sa belle-mère par son nom de famille, par son prénom, par « belle-maman », par « maman », par « mamie » ou « mémé », ou éviter. Parmi ces possibilités relevées, une nette préférence est accordée par les belles-filles pour « mamie », « mémé ».
Locution nominale
Personne que l'on considère comme sa mère sans avoir de lien biologique avec elle.
L'amour d'une mère c'est comme l'air : c'est tellement banal qu'on ne le remarque même pas. Jusqu'à ce qu'on en manque. L'amour maternel est un sentiment éternel et fusionnel. C'est une émotion entre une mère et son enfant, relié par un lien indestructible.
Elle est l'interprète de tous les sentiments, de toutes les vérités, l'arbitre écouté de tout ce qui s'impose à l'affection ou à la croyance. Elle ne laisse arriver à l'enfant que ce qu'elle a approuvé, que ce qu'elle a reconnu bienfaisant et bon.
La mère est très souvent la figure centrale de la vie de l'enfant. Cet être aimable et bienveillant est le premier contact de son enfant avec le monde, lui permettant ainsi de tisser des liens forts et solides avec lui.
La mère parfaite, en plus de savoir tenir une maison, est dévouée à celui ou celle qui partage sa vie, mais aussi et surtout à ses enfants. On aime bien imaginer que cette femme est irréprochable, qu'elle fait toujours passer les désirs de ses enfants avant les siens, parce qu'ils priment sur tout le reste.