Le yoga, sport roi pour la concentration.
Toutes les activités avec un objet à tenir, comme le hockey, ou le tennis, sont à privilégier de même celles activités se pratiquant en petit groupe.
Les sports de précision : le tir à l'arc ou le tir de fléchettes qui font travailler la concentration. Les sports qui permettent d'apaiser l'activité cérébrale : le yoga et la danse qui permet d'entretenir l'intellect et la vivacité.
La santé du cerveau passe aussi par l'activité physique
En quelques mots, le sport augmente la plasticité cérébrale, renforce les connexions synaptiques, développe la neurogenèse et améliore le métabolisme du cerveau ainsi que la fonction vasculaire cérébrale.
Elle confirme qu'une seule séance d'activité physique (marche, course, vélo), de deux minutes à une heure, d'intensité modérée à élevée, suivie d'une brève récupération, a des effets positifs sur l'apprentissage, la mémoire, les fonctions cognitives liées à la concentration et l'attention des jeunes adultes de 18 à 35 ...
Elle permet une amélioration des capacités cognitives, et elle pourrait même protéger de certaines pathologies du cerveau telles que les maladies neurodégénératives et la dépression.
Améliorer les apprentissages scolaires ou prévenir Alzheimer
Dans tous les cas, l'exercice physique améliore plus la mémoire que l'inaction. En apportant des données neuroscientifiques précises, ces études permettent d'envisager de nouvelles stratégies d'amélioration ou de préservation de la mémoire.
Faire des jeux d'extérieur
Pour les enfants porteurs de TDAH, veillez simplement à leur proposer des jeux qui leur permettront de se dépenser au maximum. C'est notamment le cas des jeux de lancer, des jeux de raquettes, mais aussi des activités avec des cordes à sauter, etc.
Autre alternative: les échecs par exemple, dont les nombreuses subtilités constituent un défi même pour les plus doués. Solène, elle, a finalement décidé de continuer l'escrime. Un sport qui lui permet de gagner en concentration et en précision. "Les enfants précoces n'ont pas toujours une très grande motricité.
Une séance de sport intensif améliore la mémoire grâce à l'action des endocannabinoïdes, selon une étude de l'Université de Genève (UNIGE) publiée dans Scientific Reports. Ces petites molécules, produites par l'organisme lors d'un effort physique, sont connues pour augmenter la plasticité synaptique.
L'exercice physique a aussi un effet apaisant sur l'anxiété. En libérant une série d'hormones et de neurotransmetteurs comme les endorphines, la dopamine ou la sérotonine, le sport produit des sensations de bien-être qui favorisent un état de relâchement.
Les muscles ont donc une mémoire de leur condition physique et de leur force antérieures, codée dans leurs gènes (ADN).
« En meilleur état car l'exercice stimule des protéines dans de nombreuses régions du cerveau qui entretiennent les fonctions cognitives et motrices, augmentant ainsi le nombre de neurones et l'efficacité des connexions entre neurones », explique Jérôme Laurin.
Une activité physique régulière (marche, vélo, cabre [wheeling], sport en général ou détente active, p. ex.) est très bénéfique pour la santé. Toute activité physique est préférable à l'absence totale d'exercice.
L'exercice physique régularise l'humeur
Plusieurs études démontrent que l'activité physique occasionne l'augmentation de neurotransmetteurs, dont la sérotonine ayant des propriétés antidépresseurs et l'endorphine responsable de la sensation de bien-être. D'autant plus si elle est jumelée à une pratique en plein air.
Vélo, footing, natation, marche rapide favorisent la canalisation et l'élimination d'un surplus d'énergie. Après 1 heure d'effort intense même les tempéraments les plus speeds sont calmés.
Dans les faits, l'activité physique augmente la production de tryptophane, cette substance étant impliquée dans la production de la dopamine. Quoi qu'il en soit, la dopamine va stimuler le système nerveux, nous apportant du tonus, un sentiment de satisfaction et cette fameuse sensation de bien-être.
un examen clinique complet ; l'utilisation de questionnaires destinés aux parents, aux enseignants et à tout observateur de l'enfant (ex. : infirmière scolaire) ainsi qu'à l'enfant lui-même (à partir de 10 ans) ; si nécessaire, des tests et une évaluation psychologiques plus poussés, effectués par un neuropsychologue.
faire du football et de la course à pied) . Mais la règle d'or c'est d'adapter le sport aux compétences psychomotrices de l'enfant. Elles sont donc propres à chacun.
Il suffit en effet de leur lire le texte à voix haute et de leur poser oralement des questions sur celui-ci pour se rendre compte que leurs problèmes sont dus au fait qu'ils dépensent une telle énergie dans l'activité de déchiffrage qu'il ne leur reste plus de ressources cognitives suffisantes pour comprendre ce qu'ils ...
L'enfant hyperactif a énormément besoin de bouger et se voit faire face à plusieurs contraintes au courant de la journée. Reconnaissez ce besoin et consacrez-lui un espace sans danger pour se défouler et où il pourra manipuler du matériel varié : ballon sauteur, vélo, corde à danser, planche à roulettes, etc.