A partir de 8 ans, encouragez les sports de coordination, individuels ou collectifs : tennis, arts martiaux, football… Ce n'est que vers 10 ans que les sports d'endurance comme la course à pied ou encore le cyclisme sont les plus adaptés.
Voici le top 10 des sports féminins : gymnastique, équitation, randonnée pédestre, natation, volley ball, badmington, basket ball, athlétisme, ski, handball.
Choisir un sport qui lui plaît
Il/elle est très actif/ve : proposez des sports individuels ou collectifs comme le cyclisme, la gymnastique, la natation, le basket, le football ou le handball. Votre fils/fille aime plutôt les activités artistiques ? Pensez à la danse, aux arts du cirque, au ballet aquatique, etc.
Quel sport pour ma fille ? Proposez-lui des sports d'endurance : jeux de ballon (football, handball, basket…), athlétisme ou natation. Le tennis, le judo ou l'escrime permettront également à votre enfant de mieux contrôler ce trop-plein d'énergie. Votre enfant est calme de nature.
Les sports à privilégier pour développer la confiance en soi
Si vous avez du mal avec les contacts physiques, ou besoin de prendre en assurance, les sports de combat sont la solution idéale. Boxe, judo, karaté… peu importe celui que vous choisissez, tous ont en commun la concentration et le contact physique.
Exit les tours de stade en petites foulées : si votre enfant rechigne à l'effort, proposez lui de tester les activités sportives les plus ludiques possibles comme le foot, l'équitation, le tennis, la danse contemporaine, l'escalade, le roller, le skate, le hockey ou le patinage.
Bon nombre d'activités sportives ont un effet bénéfique sur le stress : natation, tir, yoga, tai chi, équitation, sports nautiques, etc. Le sport déclenche dans l'organisme la production d'hormones appelées endorphines.
quel est le meilleur sport ? Pour perdre votre graisse de manière globale, et particulièrement au niveau du ventre, faire du cardio-training est sans aucun doute la meilleure solution. Vous pourrez le pratiquer sous différentes formes : marche sportive, course à pied, burpees, corde à sauter, natation, cyclisme…
Vers deux ou trois ans, vous pouvez tout à fait l'inscrire à des séances de baby-sport (baby-gym, baby-basket, baby-judo…) ou d'éveil psychomoteur. Mais pour débuter un sport à proprement parler, il faut attendre l'âge de cinq ans.
Le sprint, la boxe ou le squash. Efficace sur le moment, la gesticulation agressive n'apaise ni ne modifie en profondeur le tempérament colérique.
La pratique du Judo – encadrée par des professeurs de Judo-Jujitsu diplômés d'Etat – peut commencer dès l'âge de 4 ou 5 ans. On parlera alors d'un éveil au Judo, avec une découverte progressive de la discipline et un parcours pensé pour accompagner les progrès successifs.
Judo, karaté, aïkido, jujistsu… : avec ces sports, votre enfant ou ado affrontera avec plus de confiance les étapes clés de sa vie.
Les sports conseillés à un enfant hyperactif
Je lui conseillerais de se tourner vers des sports individuels où il est au contact avec d'autres enfants mais ne joue ni avec eux, ni contre eux. Par exemple l'équitation, la natation, l'athlétisme, la gymnastique.
Les sports de précision : le tir à l'arc ou le tir de fléchettes qui font travailler la concentration. Les sports qui permettent d'apaiser l'activité cérébrale : le yoga et la danse qui permet d'entretenir l'intellect et la vivacité.
Améliorer les apprentissages scolaires ou prévenir Alzheimer
Dans tous les cas, l'exercice physique améliore plus la mémoire que l'inaction. En apportant des données neuroscientifiques précises, ces études permettent d'envisager de nouvelles stratégies d'amélioration ou de préservation de la mémoire.
Le yoga, sport par excellence pour booster sa concentration
La pratique du yoga permet non seulement de gagner en souplesse et en tonus, mais exerce aussi considérablement votre esprit. Très vite, on apprend à faire le vide pour chasser les idées noires et maîtriser son flot ininterrompu de pensées.
Encourager les enfants, les valoriser, leur renvoyer une bonne image d'eux-mêmes, avoir un regard bienveillant et aimant permet de leur donner confiance en eux.
Mettre des mots sur les émotions aide l'enfant à les traverser. Dire : “Tu es en colère, tu n'es pas content parce que…” contribue souvent à l'apaiser et à accepter que son désir ne soit pas exaucé.