La seule véritable vague de froid de l'hiver se produit entre le 5 et le 7 mars 1949 - une véritable tempête de neige intéresse le centre et le nord du pays alors que les températures descendent à -15° à Besançon, -14° à Clermont-Ferrand, -13° à Nancy et -12° à Reims.
25 avril 1947 : on observe une véritable canicule dans tout le sud-ouest - il fait 32° à Mont-de-Marsan, 31°à Biarritz et Bordeaux - cette chaleur remonte jusqu'en Touraine avec 28°. l'été 1947 : l'un des plus chaud jamais enregistrés en France.
Chronique 1946
Europe centrale envahit la France - les températures sont souvent comprises entre -5 et -10° - la Loire commence à charrier des glaçons vers le 19 janvier - d'abondantes chutes de neige suivies d'un redoux se produisent dans l'ouest le 23 janvier.
Du 23 au 30 novembre 1942 : un froid glacial et très précoce pour la saison envahit notamment le sud de la France - il gèle absolument partout, y compris sur la Côte d'Azur et en Corse - la température descend à -12° à Clermont-Ferrand, -11° à Vichy, -8° à Toulouse et Bordeaux, -5° à Montpellier et -4° à Marseille.
Le record national de la température la plus élevée en France métropolitaine, tous mois confondus, est de 46,0 °C . Il est détenu par Vérargues, le 28 juin 2019 lors de la canicule de juin 2019, c'est la première fois que les 46 °C sont atteints en France.
La saison de croissance des céréales durait trois semaines de plus qu'auparavant : la chaleur débutait en juin et était stable jusqu'en août, période des récoltes (en été, la température moyenne était de 0,7 à 1oC supérieure à celle du XXe siècle). En outre, les gelées furent moins fréquentes entre 1100 et 1300.
Morts, température : comment était la canicule en 2003 ? La canicule d'août 2003 a été exceptionnelle par sa durée (deux semaines) entre le 1er et le 15 août, son intensité et son extension géographique. L'été 2003 est le plus chaud jamais observé depuis 1950, rappelle Météo France.
Les 15 et 16 juillet 1976 : la chaleur redevient accablante - il fait 38° en Aquitaine - 37 ° à Toulouse et 36° en Lorraine. 18 juillet 1976 : de très violents orages provoquent des inondations dans le Var - il tombe 224 mm de pluie en 24h à Grimaud.
De la fin juin à la mi-juillet 1976, des records de chaleur sont battus. Il faut alors remonter à 1921 pour trouver de semblables conditions météorologiques.
Du 30 juin au 2 juillet 1968 : court mais meurtrier épisode de canicule - près de 50 noyades - les températures sont particulièrement élevées dans le sud-ouest - on relève 40° à Cazaux (Landes), 39° à Carcassonne et Biarritz, 38° à Cognac et Bordeaux, 35° à Tours et Angers.
L'hiver 1962-1963 est donc le plus long du 20eme siècle - à Paris, c'est le plus froid depuis l'hiver 1879-1880 - les gelées généralisées ont commencé vers le 13 novembre 1962 et se sont poursuivies avec quelques interruptions jusqu'au 5 ou 6 mars 1963 - le sol gèle jusqu'à environ 60cm de profondeur sur la moitié nord ...
Du 29 août au 3 septembre 1961 : la sécheresse s'accentue avec l'arrivée d'une vague de chaleur assez tardive - certaines villes sont approvisionnées en eau - le 29 août 1961 , la température atteint 38° à Tours et Bordeaux, 37° au Mans, Poitiers et Cognac, 36° à Alençon, Rennes et Caen, 35° à Rouen et Chartres.
Les températures minimales de février 1956 sont presque partout inférieures à -10°C en France / Il fait jusqu'à -25°C à Troyes, Nancy. Un troisième puis un quatrième assaut du froid ont lieu les 14-15 février 1956, puis les 18-19 février 1956 ! La troisième offensive du froid sibérien du 14 février 1956 !
Du 1er au 4 octobre 1959: l'été revient - il fait chaud, y compris dans le nord-ouest du pays avec 27° à Abbeville, 26° à St Quentin et Alençon et 25° à Brest. 5 et 6 octobre 1959 : Inondations et fortes pluies dans le Roussillon. Il tombe jusqu'à 365 mm de pluie en 2 jours à Banyuls (66).
Hiver 1946/1947
Le froid atteint son maximum d'intensité à la fin du mois de janvier avec des températures inférieures à –10° sur l'ensemble du pays, et les valeurs les plus basses sont mesurées à Romilly-sur-Seine (Aube) où il fait jusqu'à – 23°.
Le record absolu en journée, 43°C, a été pour Arcachon** (loin toutefois des 46°C en juin 2019 à Vérargues dans l'Hérault).
D'après une étude récente menée sur des jeunes hommes et femmes en pleine santé, la limite de température humide supportable par nos corps serait en fait plus proche des 31 degrés, soit une température extérieure de 31 degrés combinée à un taux d'humidité de 100%, ou de 38 degrés si le taux est de 50%.
En d'autres mots, en 2020, il a fait 0,6 °C de plus que les normales. C'est 1,25 °C de plus sur les moyennes de l'ère préindustrielle.
Le Maximum Thermique de la transition Paléocène-Éocène, il y a 55,9 millions d'années, représente l'une des plus importantes crises climatiques que la Terre ait connue.
Du côté du littoral méditerranéen, la Camargue et les villes de Sète, Marseille, Toulon et Nice, subiraient le même sort.
-36.7. C'est la température minimale record observée en France à ce jour, elle a été mesurée à Mouthe (Doubs) le 13 janvier 1968. Ce record a été plusieurs fois approché et probablement été dépassé.
Le village le plus frais de France : Le Mouthe, dans le Jura
Un village qui reste frais toute l'année, même en été ! Il est réputé pour être le village le plus froid de France. Le meilleur endroit pour s'y réfugier contre la canicule. Les températures ne pas négatives, elles s'élèvent en moyenne à 20°C en été.
La valeur de 40 degrés Celsius a été enregistrée en France le 16 juin vers 16h. Jamais, depuis le début des mesures, une telle chaleur n'avait encore été mesurée aussi tôt dans l'année.