été 1977: été médiocre, peu de température élevée, le contraire de 1976, seulement 477 h de soleil, et 67 jours de pluie, jamais plus de 30° à Paris comme à Lyon, 1 seul jour à Bordeaux… juin 1977: très pluvieux, froid, sombre (T 15.5 !, P 145 / 16 !, S 183 !), à Bordeaux la température n'atteint jamais les 25° !!
De plus, 2022 a déjà battu les records de 1976 : « Les extrêmes enregistrées pendant la canicule de 1976 ont approché les 40 °C, là on les a dépassés ». Plus que la canicule, l'été 1976 a été marquée par la sécheresse. Un « impôt sécheresse » avait même été mis en place par le gouvernement de l'époque.
la météo très maussade des 16 et 17 juin 1978 !! Comme en 1977, l'été 1978 est d'ailleurs très frais et pluvieux - les périodes de temps chaud sont rares et ne persistent jamais très longtemps. Été pourri 1978 : Des touristes visitent Paris sous une pluie battante…
Avant un été caniculaire, phénomène qui a durablement frappé les esprits, l'année 1976 voit fin janvier déferler une vague de froid avec neige et verglas sur la région. Les 30 et 31 janvier, la neige recouvre la Normandie.
hiver 1970: hiver très neigeux (record jours de neige)? février 1970: plus doux (moy. 2.8°), très pluvieux ou neigeux, sombre, 31 jours de pluie et neige pour février et mars (T 2.8, P 185 / 18 ! !, S 56 !) 25 février au 12 mars 1970: Très froid, fréquentes gelées, redoux les 5, 8 et 11.3.
L'hiver le plus froid jamais mesuré est celui de 1962-1963, avec une moyenne de 0,7 °C enregistrée de décembre à février, soit 4,7 °C sous la normale.
Chronique 1980. Du 10 au 18 janvier 1980 : un froid vif mais sec concerne les trois-quarts du pays - les gelées sont permanentes - le 14 janvier 1980, la température descend à -14° à Troyes, -11° à Reims et -10° à Beauvais. Ce jour là, on ne dépasse pas -5° à Rouen.
Le 5 août 2003 et le 25 juillet 2019 sont les deux journées les plus chaudes jamais enregistrées en France métropolitaine, la moyenne de température enregistrée sur le territoire métropolitain lors de ces deux journées s'est établie à 29,4 °C. L'année 2022 est la plus chaude jamais enregistrée dans le pays.
C'est sur un fond de forte sécheresse que la canicule de 1976 s'est installée sur la France entre le 23 juin et le 7 juillet (soient pendant 2 semaines consécutives). Un épisode long et intense qui a fait près de 4500 morts.
2022 est l'année la plus chaude jamais mesurée en France
2022 est l'année la plus chaude jamais enregistrée sur le territoire métropolitain depuis le début des relevés en 1900. Sur l'ensemble de l'année, la température a atteint 14,5 °C en moyenne sur la France.
Dans certains endroits comme la région parisienne, des records absolus sont observés : le 28 juillet 1947 , les 40,4°C sont atteints. Ce record ne sera battu que 72 ans plus tard le 25 juillet 2019 avec 42,6°C.
Des vents très violents balayent tout le pays, y compris les régions habituellement protégées - les rafales atteignent 166 km/h à Bastia, 159 km/h à Millau, 144 km/h à Dieppe, 141 km/h à Nevers, et 105 à 130 km/h en région parisienne où la forêt de Compiègne (Oise) est ravagée.
Du 17 septembre 1985 au 7 octobre 1985 : les températures sont très élevées - on dépasse quotidiennement les 25° sur presque tout le pays avec de fréquentes pointes entre 30 et 34° - des records de chaleur sont battus entre le 1er et le 4 octobre 1985 où l'on mesure 29° à Paris, 30° à Orléans, 31° à Auxerre, 32° à ...
Les huit années les plus chaudes ont toutes été enregistrées depuis 2015, les années 2016, 2019 et 2020 arrivant en tête du classement. L'année 2016 a été marquée par un épisode El Niño d'une intensité exceptionnelle, qui a contribué à des températures records à l'échelle mondiale.
C'est ainsi qu'il y a 65 millions d'années, juste avant la disparition des dinosaures, il faisait en moyenne 25°C à la surface de la Terre – dix degrés de plus qu'aujourd'hui – et les calottes glaciaires des pôles Nord et Sud avaient disparu.
Du 22 juin au 8 juillet 1976 : 3ième vague de chaleur - entre le 23 juin et le 7 juillet 1976 (soient pendant 2 semaines consécutives), les températures atteignent ou dépassent 35° sur toutes les régions du nord et du nord-ouest - en revanche, la valeur maximale observée en France ne dépasse jamais 37° et on peut dire ...
Parmi les principales canicules survenues en juin en France, celles de juin 1947, 1976, 2003, 2005, 2006. Il n'y a pas eu de canicule en France durant l'été 2021.
D'après une étude récente menée sur des jeunes hommes et femmes en pleine santé, la limite de température humide supportable par nos corps serait en fait plus proche des 31 degrés, soit une température extérieure de 31 degrés combinée à un taux d'humidité de 100%, ou de 38 degrés si le taux est de 50%.
Le record absolu en journée, 43°C, a été pour Arcachon** (loin toutefois des 46°C en juin 2019 à Vérargues dans l'Hérault).
Avec 16,5 °C de température moyenne, Toulon est la ville la plus chaude de France métropolitaine, suivie de Calvi et Bastia, toutes deux situées en Haute-Corse. Cela fait certes un peu cliché, mais mieux vaut aller dans le Sud pour trouver de la chaleur toute l'année.
Il était 16h32, ce jeudi 16 juin 2022, lorsque la température enregistrée à Saint-Jean-de-Minervois, une commune de l'Hérault en Occitanie, a affiché la valeur de 40 °C. Il s'agit, a annoncé Météo France, du « record de précocité du 40 °C en France (hors Corse) ».
24 septembre 1986 : après l'orage du 14 septembre 1986, l'agglomération bordelaise est de nouveau éprouvée - il tombe environ 100mm d'eau en 6h, ce qui provoque des inondations. Les 3 et 4 octobre 1986 : il fait très chaud pour la saison et les températures sont le plus souvent comprises entre 25 et 30°.
L'Ouest est bloqué
L'hiver 1959-1960 n'est pas particulièrement froid, mais un épisode assez marquant a lieu du 9 au 17 janvier 1960. Les gelées puis la neige se généralisent à tout le pays et les températures atteignent près de –20° en Lorraine et dans le Morvan, -18° à Limoges et –14° à Alençon.
Chronique 1950. Du 19 au 30 janvier 1950 : période très froide mais sèche et sans dégel - les températures oscillent entre 0 et -10° sur toute la France. 6 février 1950: violente tempête - les rafales de vent dépassent souvent les 100 km/h, atteignant même 120 km/h sur la partie nord du pays.