une certitude ou une action certaine, comme il est fort probable que, il est très probable que, on emploie l'indicatif (présent, futur ou passé composé). Il est fort probable que nous partirons à la montagne cet été partir, futur.
Le degré de certitude varie selon le temps du verbe. L'indicatif est le temps de la certitude, alors que le subjonctif, le futur antérieur et le conditionnel sont des temps de la probabilité.
Verbes de doute/incertitude (douter, ne pas → être sûr , ne pas être certain ...)
le degré de certitude est une estimation de la chance de répondre cor- rectement à la question. Par exemple, en donnant le degré de certitude 3 à une question, la personne évaluée estime entre 70 % et 85 % sa chance de répondre correctement.
une certitude ou une action certaine, comme il est fort probable que, il est très probable que, on emploie l'indicatif (présent, futur ou passé composé). Il est fort probable que nous partirons à la montagne cet été partir, futur. Il est très probable que ce panda s'est échappé du zoo.
Caractère de ce qui est certain, qui ne comporte pas de doute.
Le subjonctif s'emploie après quizás, tal vez, acaso (= peut-être) si la phrase est au futur dans la principale.
1. Mode du verbe qui sert à présenter l'action comme une éventualité ou comme la conséquence d'un fait supposé, d'une condition. (Le français possède un conditionnel présent [j'aimerais] et un conditionnel passé [j'aurais aimé] dont il existe une variante littéraire [j'eusse aimé].)
Adverbes de temps : hier, demain, longtemps, aujourd'hui, alors, déjà, après, toujours, enfin, jamais, soudain,soudainement, immédiatement, de temps en temps, tout à l'heure, tôt, tard, désormais, maintenant, auparavant, jadis, autrefois, parfois, quand, aussitôt, encore, en même temps, simultanément, tout de suite, ...
L'indicatif est un mode personnel exprimant une action réelle ou présentée comme telle. Les différents modes se divisent en modes personnels (qui comportent plusieurs personnes grammaticales : je, tu, il…) et impersonnels (qui n'en comportent pas : les modes infinitif, participe et gérondif).
Je doute qu'il vienne. Je ne suis pas sûr qu'il finisse à 10 h. J'ai peur qu'il sorte avant. Je n'espère pas qu'il vienne.
Les modalisateurs exprimant la certitude peuvent être : des adverbes comme certainement, sans aucun doute, etc. des verbes comme assurer, affirmer, etc.
J'aurais dû travailler davantage pour réussir mes examens. Evoquer une action antérieure à une autre action au conditionnel présent. Il a dit qu'il viendrait (conditionnel) dès qu'il aurait terminé (conditionnel passé) ses devoirs.
Le gérondif est la forme adverbiale du verbe, qui indique les circonstances de l'action exprimée par le verbe de la phrase auquel il se rapporte. C'est un mode impersonnel, car il n'a pas de désignation spéciale de la personne grammaticale, mais il a pour sujet le même que celui du verbe principal.
Le plus-que-parfait est un temps du passé. Il précise qu'une action s'est déroulée avant une autre qui a déjà eu lieu dans le passé. Cette action peut être exprimée avec un passé composé, un imparfait ou un passé simple.
Lorsque la proposition principale exprime un sentiment, un désir, un souhait, un ordre ou une attente, on utilise également le subjonctif car on ne peut jamais savoir si cela va se réaliser.
Le subjonctif est le mode du virtuel. Il permet d'exprimer une hypothèse, un fait incertain, un souhait, une action envisagée, une envie, une émotion ou toute forme d'incertitude. Ex : J'aimerais que tu viennes (souhait).
En espagnol, c'est très simple : on ne change rien. » Ojalá » suivit d'un subjonctif présent ! en Français : Pourvu que + subjonctif présent donne « Pourvu qu'il ne pleuve pas ! » en espagnol : Ojalá + subjonctif présent donne « ¡ Ojalá no llueva ! »
Le subjonctif s'emploie quand la réalisation de l'action exprimée par le verbe est mise en doute (est incertaine) ou rejetée. J'espère que tu comprends. Je voudrais que tu comprennes. - subjonctif car je ne suis pas sûre que cela soit le cas.
La quête de certitude est la quête d'une paix garantie, d'un objet que n'affecte nul risque et sur lequel ne s'étend pas l'effrayante ombre portée de l'action. Car ce n'est pas l'incertitude en tant que telle que réprouvent les hommes, mais le fait que l'incertitude nous expose à souffrir mille maux.
La certitude est l'état de l'esprit qui sait posséder la vérité: c'est donc l'effet de la vérité sur le moi. La certitude ne s'oppose pas à l'ignorance, dont le contraire est la science, mais au doute. Le doute, c'est l'état de l'esprit qui ne se sent pas en possession de la vérité.
Un tel raisonnement s'appelle une démonstration, et la certitude qui en découle, certitude propre à la science, se dit apodictique. « On appellera science proprement dite uniquement celle dont la certitude est apodictique ».