Pour le chauffage collectif, les HLM peuvent envisager le recours à une chaudière au bois. Il s'agit du combustible le moins cher du marché, avec l'avantage d'être une énergie renouvelable.
En général, le chauffage collectif au bois est plus adapté aux petites copropriétés qui ont besoin d'une puissance faible (moins de 200 kW). Pour les grands immeubles, il est possible d'opter pour une installation mixte (bois/gaz, bois/électrique, bois/solaire, etc.).
Mais comment fonctionne-t-il ? Le chauffage collectif repose sur une chaufferie, souvent située au sous-sol de l'immeuble. La chaufferie est constituée d'un ou plusieurs générateurs de chaleur (chaudière, pompe à chaleur, …). La chaleur est ensuite acheminée vers chaque habitation.
Il est dit "individuel", lorsque rien n'est prévu par le constructeur ou la copropriété et "collectif" lorsqu'il fait l'objet d'installations et de gestion, communautaires.
Autrement dit, les dates recommandées pour le fonctionnement d'une installation collective de chauffage tourneraient, pour la période 2023-2024 et en fonction du climat local : autour du début ou de la mi-novembre 2023 pour la mise en route. autour du début ou de la mi-mai 2024 pour l'arrêt.
Oui, le chauffage collectif est en effet pris en compte dans les charges locatives. La répartition des charges se divise. Le locataire prend ainsi en charge le coût de l'énergie et de l'entretien courant des infrastructures de chauffage collectif.
Quelle est la température réglementaire d'un logement ? Dans un logement chauffé, la moyenne des températures mesurées au centre de chaque pièce est réglementairement limitée à 19°C.
Comment est facturé le chauffage collectif ? Depuis mars 2017, tous les logements profitent d'une facture individuelle de chauffage en fonction de leur consommation réelle, avec la répartition suivante : 70 % de consommation individuelle et 30 % de consommation collective pour les parties communes.
Le chauffage collectif a l'avantage de répartir les coûts de maintenance de l'appareil de chauffage par exemple, et individualise chaque facture d'énergie depuis 2020. À l'inverse, le chauffage individuel permet de choisir et changer facilement d'offre d'énergie, mais aussi de maitriser plus facilement sa consommation.
Le principe du chauffage collectif au gaz, c'est que plusieurs appartements d'un même immeuble ou d'une copropriété sont chauffés à l'aide d'une chaufferie centralisée . Cette dernière est installée dans les parties communes, très souvent au sous-sol.
À quelle date est mis en route le chauffage collectif ? La période de chauffage débute généralement autour du 15 octobre pour l'allumage des chaudières. Toutefois, il ne s'agit pas d'une période légale : cette date ne figure dans aucun texte. Elle peut donc varier en fonction de la région ou de la précocité du froid.
La loi Elan oblige désormais les copropriétés à installer un système d'individualisation. Les copropriétaires partagent les frais d'entretien. Cela permet également un gain d'espace, puisque les appareils sont installés dans la chaufferie centralisée de l'immeuble, et non dans chaque appartement.
Chauffer les pièces de vie à 19° maximum et ne pas dépasser les 17/18° dans les chambres à coucher : baisser le chauffage d'un degré permet d'économiser près de 7% d'énergie et il s'agit d'un geste à la portée de tous. Il suffit parfois de mieux se couvrir pour avoir moins froid !
Pour ce faire, il est possible de contacter directement le conseil syndical de l'immeuble. Si la demande est justifiée et partagée par un certain nombres de personnes, le conseil pourra contacter le chauffagiste qui viendra mettre en route le système de chauffage.
Ce souci provient le plus souvent d'un mauvais équilibrage du réseau. Pour tenter de résoudre ce problème, il est conseillé de fermer tous vos radiateurs (ceux qui chauffent normalement) et de ne laisser ouvert que celui qui pose souci. Pensez à purger ce dernier avant.
Pour les immeubles construits après le 1er juin 2001, les équipements de chauffage du logement doivent permettre de maintenir à 18° C la température au centre des pièces du logement.
Dans le cas d'un chauffage collectif, la température maximale ou minimale est gérée par le syndic de copropriété, ainsi que le début et la fin de période de chauffe. De votre côté, vous pourrez uniquement réguler la température (entre le maximum et le minimum géré par le syndic) via le robinet sur votre radiateur.
Par principe la suppression d'un service collectif ou d'un élément d'équipement commun requière une décision à l'unanimité de tous les copropriétaires réunis en assemblée générale (utopique en pratique).
Si vous n'êtes pas certain que l'eau soit comprise dans vos charges locatives, vous pouvez vérifier auprès du propriétaire ou de l'agent immobilier. Vous pouvez également consulter le bail ou le contrat de location pour vous assurer que les charges locatives incluent bien l'eau.
L'occupant du logement doit donc ici aussi se référer à son syndic pour connaitre la date butoir applicable dans son immeuble. Le plus souvent, la date d'arrêt du chauffage collectif est fixée au 15 avril, mais ce jour peut naturellement varier selon les immeubles et les régions.
Dans un logement chauffé, la moyenne des températures mesurées au centre de chaque pièce est réglementairement limitée à 19°C. En conséquence, un chauffage ne permettant pas de dépasser la température moyenne de 19°C dans le logement n'est pas considéré comme défaillant.
Les températures pour chaque pièce sont adaptées selon différentes caractéristiques : pour les pièces à vivre (salon, salle à manger, cuisine) la température recommandée est de 19°C, alors que pour la chambre elle est de 16°C.
Pour votre intérieur, la température idéale de confort recommandée en hiver est de 19°C. Cela vaut pour les pièces principales. La chambre de bébé aussi et vous pouvez même plutôt descendre la nuit à 18°C pour l'aider à s'endormir et qu'il dorme bien. La salle de bains est une pièce unique où vous pouvez monter à 22°C.
L'électricité est-elle comprise dans les charges ? En règle générale, l'électricité n'est pas comprise dans les charges du loyer. Lorsqu'un nouveau locataire emménage dans un logement, il doit généralement souscrire un contrat d'électricité à son nom.