Le Figaro, d'après son directeur, se considère comme un journal de droite et de centre droit. Le journal est le point de jonction de plusieurs grands courants d'idées ancrés à droite ou au centre droit. Il s'agit principalement du libéralisme classique ou l'éclectisme libéral jumelé avec un conservatisme social.
Avec une ligne éditoriale ancrée à droite, le quotidien se défend de tout militantisme. Les journalistes qui y travaillent se contentent de mettre en avant des convictions dans lesquelles leurs lecteurs se retrouvent.
Traditionnellement classé au centre-droit, le journal ouvre ses pages à toutes les opinions politiques (interviews, analyses, etc. ). C'est l'un des cinq magazines d'actualité hebdomadaires de dimension nationale en France.
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C'est un journal qui se revendique de droite ou de centre-droite. Il a été nommé d'après Figaro, le personnage de Beaumarchais, dont il met en exergue la réplique : « Sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloge flatteur. »
Selon Le Figaro, Valeurs actuelles est tantôt décrit comme « classé à l'extrême droite », « réputé clairement à droite », ou « conservateur ». France Info qualifie le magazine d'extrême droite et également de conservateur.
Selon ce critère, le journal le plus subventionné est L'Humanité (48 centimes d'euro par exemplaire), suivi de La Croix (32 centimes), Télérama (29 centimes), Le Nouvel observateur (29 centimes), Libération (27 centimes), Pèlerin (24 centimes) et l'Express (23 centimes).
1,99€/mois.
Sa ligne éditoriale, souverainiste, antilibérale et laïque, emprunte à la fois à la gauche et à l'universalisme républicain.
De ses débuts situés à l'extrême gauche, Libération évolue vers la gauche socialiste à la fin des années 1970 sous l'impulsion de Serge July, puis vers une ligne éditoriale présentée comme étant « libéral-libertaire » progressiste.
Sa ligne éditoriale est faite de neutralité politique et de proximité avec son lectorat. À cet égard, il ne doit pas servir les intérêts d'un homme, d'un parti politique, d'un clan ou d'une entreprise. »
Le journal se réclame ouvertement chrétien et catholique, même si les choix éditoriaux qui en découlent ont pu évoluer au cours de son histoire. Il est propriété du groupe Bayard Presse depuis sa fondation. Il s'agit en 2020 du cinquième quotidien national de France en termes de diffusion payée.
Dans un article consacré à la chaîne en 2014, la BBC analyse le positionnement de BFM TV comme étant « favorable aux affaires, à la réforme, et opposé au vieux consensus ».
Radio : La tendance politique des auditeurs de France Inter est fortement ancrée à gauche, tandis que celle des auditeurs de RTL, d'Europe 1 et de BFM Business est orientée à droite. À noter, la forte proportion d'auditeurs d'NRJ ayant voté Front National lors du 1er tour des élections (33 %).
La ligne éditoriale de Brut est jugée comme « se voulant progressiste » par Le Monde et comme « s'adressant aux jeunes gens partageant une vision progressiste de la société » par Les Échos.
Selon d'anciens journalistes de France-Soir et le fondateur de Conspiracy Watch, Rudy Reischtadt, la ligne éditoriale complotiste et « covido-sceptique » de FranceSoir n'a pas de visée politique mais est la seule conséquence d'un calcul « opportuniste » de son fondateur Xavier Azalbert.
Le journal est classé à gauche, avec une ligne « sociale-démocrate », ouverte à « toutes les gauches ». En 2020-2021, il était diffusé chaque semaine à près de 200 000 exemplaires (diffusion payée). Il est propriété à 99 % de la société Le Monde libre qui possède la majorité du capital du Groupe Le Monde.
L'éditorialiste, autrefois appelé billettiste, est la personne qui écrit l'éditorial d'un journal de presse écrite (quotidien, magazine ou revue), ou qui exprime un commentaire dans un journal radiodiffusé ou télévisé.
Il s'est porté acquéreur de l'ancienne imprimerie du Figaro située dans le sud de la France, à Gallargues (Gard), à côté de Nîmes. Ce dernier équipement imprime, outre Le Figaro, d'autres quotidiens nationaux comme La Croix ou La Tribune.
La répartition du financement est la suivante : 4,4 millions de réserves ; nouvel emprunt de 5,5 millions d'euros sur 8,5 ans ; don du montant des actions de Jean-Louis Bouchard pour un million d'euros ; un crédit vendeur de Doxa (Thierry Wilhelm) pour 2,5 millions d'euros ; ainsi qu'un autre crédit vendeur des quatre ...