Les satellites envoient des ondes électromagnétiques (micro-ondes) qui se propagent à la vitesse de la lumière. Connaissant celle-ci, on peut alors calculer la distance qui sépare le satellite du récepteur en connaissant le temps que l'onde a mis pour parcourir ce trajet.
Le réseau GPS
Les satellites envoient l'heure d'émission par ondes (micro onde) qui se déplacent à la vitesse de la lumière. Connaissant cette vitesse et le décalage entre l'heure d'émission et celle de la réception, on détermine la distance entre le récepteur et le satellite.
Le système de localisation par satellite fonctionne selon le principe de triangulation : la position de l'objet observé est calculée grâce aux signaux échangés entre le récepteur dont il est équipé et un ensemble d'au moins 3 satellites faisant partie d'une constellation.
1°) Quelle est la nature des ondes émises par les satellites utilisés pour le système GPS ? Quelle est leur vitesse de propagation ? Les ondes émises sont des ondes électromagnétiques, elles se propagent à la vitesse de la lumière.
Il se compose de trois segments : le segment spatial, le segment de contrôle et le segment utilisateur. L'Armée de l'Air des Etats-Unis assure le développement, l'entretien et le fonctionnement du segment spatial et du segment de contrôle.
La communication par satellite se fait par ondes radios, qui sont des signaux electromagnétiques. Ces signaux sont envoyés à différentes fréquences qui dépendent du type de satellite utilisé. Au début des années 80, les réseaux satellites servaient principalement pour la diffusion de la télévision et la téléphonie.
La première utilisation concrète de satellite pour le positionnement terrestre est faite par l'US Navy en 1960. C'est le système Transit. Mais, si ce système permet un repérage avec une précision métrique, il reste nombre de difficultés pour que le système fonctionne correctement.
GPS signifie en anglais « Global Positioning System ».
Ce que l'on traduit en français par « Système de positionnement par satellite ».
Galileo est capable d'avoir une précision métrique, là où le GPS, plus ancien (il a été mis en place entre 1973 et 1995, mais ses satellites sont en fait remplacés au fil des ans), donne une localisation à dix mètres près (le GPS est plus fin dans le cas d'un usage militaire).
Le récepteur GPS peut alors calculer sa distance au satellite en utilisant la formule : D= (T_{arrivee}-T_{depart} )\times c où c est la vitesse de la lumière et vaut environ 300 000 km/s. Une erreur d'une nanoseconde ( 10-9 s) sur la mesure du temps de parcours entraîne une erreur de 30 cm.
Dans les faits, le GPS américain public offre une localisation précise à 4 à 5 mètres et cela peut fortement varier en fonction que l'on capte un bon signal ou non. À l'heure actuelle et même s'il n'est pas encore totalement terminé, c'est Galileo qui offre la plus grande précision.
que l'on reçoit effectivement le signal du satellite dont la séquence pseudo aléatoire correspond à celle recréée dans le récepteur. que l'on a synchronisé l'horloge du récepteur avec celle du satellite.
Il existe différents types de signaux. On distingue notamment les signaux lumineux, sonores, radios ou électriques.
Géolocalisation globale, indoor ou micro. Les moyens de suivre les personnes sont nombreux et exploitent de multiples technologies : de la 2G au WiFi, en passant par le Bluetooth LE et le NFC. Difficile donc de passer inaperçu.
Des immeubles trop hauts, une route bordée de grands arbres, ou un pare-brise peu dégagé peuvent perturber la réception. C'est d'ailleurs l'occasion de tordre le cou à une idée reçue sur certains GPS. Nous le disons clairement : aucun modèle ne permet de recevoir un signal dans un tunnel !
Pour assurer la précision du positionnement, le système GPS utilise des technologies sophistiquées : horloges atomiques embarquées, compensation d'effets relativistes, mise en place de stations d'observation et de synchronisation. Les coordonnées terrestres calculées se réfèrent au système géodésique WGS 84.
Lorsque l'on se limite au géopositionnement sans correction, la précision du positionnement est de 3 à 5 mètres pour les satellites GPS, un peu moins bonne pour la constellation Glonass et de l'ordre du mètre pour Galileo, notamment grâce à des horloges atomiques embarquées sur chaque satellite plus récentes et donc ...
Une précision jusqu'à un mètre
Avec ses 24 satellites actuellement opérationnels, Galileo se veut beaucoup plus précis. Précision entre 1 et 2 mètres grâce à des horloges atomiques sur chaque satellite, alors que la précision du GPS est de 5 à 10 mètres. Les appareils de Galileo sont plus récents et donc plus précis.
Ces signaux sont captés par un récepteur spécialisé, communément appelé « récepteur GPS », et dont le nom est souvent raccourci au seul sigle « GPS ». GPS : Le sigle GPS signifie Global Positioning System, soit « système de positionnement global ».
Le principe de fonctionnement du GPS repose sur la mesure de la distance d'un récepteur par rapport à plusieurs satellites (les satellites sont répartis de telle manière que 4 à 8 d'entre eux soient toujours visibles).
A la surprise générale, la compatibilité GPS/Galileo a ensuite été activée par mise à jour sur les Forerunner 935 et 645, les Fenix 5 et les Vivoactive 3 (voir la liste complète en fin d'article).