Le type de tumeur cérébrale le plus grave, le glioblastome, est de plus en plus fréquent chez les personnes âgées au fur et à mesure que la population vieillit.
Il existe des tumeurs cérébrales primaires, qui se développent dans les cellules du cerveau et de son enveloppe. Il existe également des tumeurs cérébrales métastatiques ou secondaires, qui proviennent d'un autre organe, tel que les poumons, les seins, les reins ou la peau.
Amas de cellules non cancéreuses. Une tumeur bénigne n'est pas un cancer, contrairement à une tumeur maligne : elle se développe lentement localement, sans produire de métastases, et ne récidive pas si elle est enlevée complètement.
Cela dépend du type de tumeur bénigne ou maligne et du stade du cancer. Les tumeurs bénignes sont généralement moins agressives et peuvent souvent être traitées avec succès par chirurgie (craniotomie), chimiothérapie ou radiothérapie. En cas de tumeur au cerveau maligne, le taux de survie se situe entre 20 % et 30 %.
changements ou manifestations physiques : changement inhabituel d'un sein, perte de poids inexpliquée, nouveau grain de beauté ou modification d'un grain de beauté, apparition d'une grosseur ou d'un gonflement, voix rauque ou enrouée, difficultés à avaler, importantes sueurs nocturnes.
La survie médiane sans évolution de ce cancer est d'environ 12,8 mois s'il a été traité par chimiothérapie seulement et elle peut aller jusqu'à 5 ans si on a associé une chimiothérapie à une radiothérapie. La survie médiane varie de 7 à 24 semaines.
Evolution et traitement de la tumeur au cerveau
Le patient atteint d'un tumeur au cerveau décédera des suites de l'extension des cellules cancéreuses au niveau du cerveau et non de métastases qui se seraient répandues dans le reste du corps puisque c'est une tumeur qui reste localisée.
« Une tumeur « bénigne » est un groupe de cellules normales formant une masse qui se développe lentement, n'envahit pas les tissus voisins et ne récidive pas si elle est enlevée : c'est par exemple un grain de beauté, un polype dans l'intestin ou l'utérus, un adénome du sein ou de la prostate.
Une radiothérapie et/ou une chimiothérapie peuvent être utilisées pour compléter la chirurgie. Ces traitements ont pour objectif d'éliminer les cellules tumorales encore présentes et de limiter le risque de récidive.
La majorité des tumeurs du cerveau sont des gliomes. Tumeur le plus souvent bénigne, qui se développe à partir des méninges. Un méningiome peut être localisé n'importe où autour du cerveau et de la moelle épinière.
Des effets liés à l'anesthésie générale : fatigue, difficultés pour parler ou respirer ; Des complications communes à toute intervention chirurgicale : infection de la zone opérée, hématome dans la zone opérée ou entre les méninges.
Deux principaux symptômes peuvent révéler la présence d'une tumeur cérébrale. Le premier est l'apparition de maux de tête inhabituels, dus au volume de la tumeur qui augmente la pression dans le crâne. Le deuxième est la survenue de crises d'épilepsie déclenchées par la tumeur.
En cas de suspicion de tumeur, l'intervention de plusieurs médecins spécialistes est ensuite indispensable : neurologue, neurochirurgien, neuro-oncologue, radiologue, anatomopathologiste (appelé aussi pathologiste), etc. L'IRM est le premier examen à réaliser pour détecter une tumeur cérébrale.
Les patients atteints de glioblastome ont une courte espérance de vie et une qualité de vie altérée. Ils devraient bénéficier de soins palliatifs dès l'annonce du diagnostic. A peine un quart des patients de plus de 65 ans peuvent retourner à domicile ou en EMS à la fin des traitements.
Sueurs nocturnes. Perte d'appétit. Douleur nouvelle et prolongée. Problèmes de vue ou d'audition.
Un cancer apparaît comme une prolifération incontrôlée de cellules. La masse de cellules cancéreuses grandit et envahit les tissus voisins petit à petit. Cela conduit par la suite à une tumeur qui envahit peu à peu l'organisme et alterne son fonctionnement.
Tumeurs cancéreuses
La tumeur est cancéreuse quand : elle envahit les tissus voisins; certaines cellules peuvent s'en détacher et circuler dans le sang ou le système lymphatique pour se propager aux ganglions lymphatiques et à des parties du corps éloignées.
En général, les patients réagissent mieux face au choc émotionnel s'ils peuvent en parler ouvertement avec leur famille ou des amis. Le soutien des proches, l'écoute et l'empathie du personnel soignant facilitent l'acceptation de la maladie et, à terme, l'efficacité des traitements.
Le glioblastome est un astrocytome ou gliome de stade 4. C'est donc une forme agressive, se développant souvent rapidement localement dans le cerveau. Elle peut être unique ou plurifocale, c'est-à-dire à plusieurs sites du cerveau.
On n'a pas recours aux analyses sanguines pour diagnostiquer une tumeur au cerveau ou à la moelle épinière. Cependant, elle peut fournir des renseignements utiles sur votre état général de santé, le fonctionnement d'autres organes et d'autres affections médicales.
L'examen anatomopathologique
Après les examens d'imagerie, l'analyse d'un échantillon de la tumeur est indispensable pour compléter le diagnostic. C'est seulement après cet examen que le médecin peut affirmer si la tumeur est cancéreuse ou non et quel est son grade.
Les cellules cancéreuses qui se divisent finissent par former une tumeur qui se développera. Les cellules cancéreuses ont les mêmes besoins que les cellules normales. Elles nécessitent un apport sanguin pour leur fournir l'oxygène et les éléments nutritifs dont elles ont besoin pour se développer et survivre.
Dans la lutte contre le cancer, la détection de la maladie à un stade précoce est essentielle. Le diagnostic s'appuie aujourd'hui sur une série d'examens comprenant les tests d'imagerie, l'analyse anatomopathologique des tissus avec les microscopes, et le dosage de certains marqueurs tumoraux dans le sang.