Escherichia coli (E. coli) est une bactérie présente dans le microbiote intestinal de l'humain et des animaux. Si la plupart des souches d'Escherichia coli sont inoffensives, certaines d'entre elles, comme les ECEH, ayant acquis des facteurs de virulence, sont pathogènes.
Symptômes fréquents : Diarrhée d'aspect huileux et anormalement malodorante. Maux de ventre. Ballonnements.
Les antibiotiques sont efficaces pour lutter contre certaines bactéries, mais pas toutes. Il faut en parallèle veiller à son hygiène alimentaire et boire beaucoup d'eau. Le riz, les carottes cuites, les bananes sont de bons alliés. Il faut cependant éviter les fruits, les légumes verts, les plats épicés.
Parmi les plus connues, on retrouve par exemple Lactobacillus rhamnosus, Lactobacillus casei / paracasei, Lactobacillus salivarius, Lactobacillus helveticus, Lactobacillus acidophilus, Lactobacillus Fermentum.
Pneumonies, bronchites, otites, méningites, angines, infections urinaires, panaris, septicémies… de très nombreuses infections sont provoquées par des bactéries.
Les infections intestinales sont causées par des micro-organismes (« microbes » ou germes) présents dans l'intestin et sont parfois appelées infections gastro-intestinales (gastro-entérite). Vous pouvez contracter une infection intestinale en consommant de l’eau ou des aliments contaminés, ou en entrant en contact avec une autre personne infectée .
Le côlon abrite des milliards de bactéries qui protègent notre intestin et produisent des vitamines . Les bactéries du côlon produisent des quantités importantes de vitamines par fermentation. Les vitamines K et B, dont la biotine, sont produites par les bactéries du côlon. Ces vitamines sont ensuite absorbées dans le sang.
Les premiers symptômes surviennent en moyenne 3 à 4 jours après ingestion de la bactérie et sont gastro-intestinaux : crampes abdominales et diarrhée initialement aqueuse puis sanglante. Les patients présentent peu ou pas de fièvre. La maladie évolue vers un syndrome hémolytique et urémique (SHU) dans 5 à 8 % des cas.
Le traitement repose sur la prise de plusieurs antibiotiques et d'un médicament qui réduit l'acidité de l'estomac (appelé inhibiteur de la pompe à protons ou IPP) et dure 10 jours ou 14 jours selon les protocoles. Il permet d'éliminer l'infection dans 80 à 90 % des cas.
Lors du lavement intestinal, ou du nettoyage du côlon, le patient est allongé sur le dos, jambes fléchies. Une canule rectale reliée à une poche remplie de liquide (compris entre 35 et 37 °C) est introduite dans son anus, après lubrification de l'extrémité de la sonde rectale.
En cas d'infection communautaire, on propose l'association lévofloxacine + gentamicine + métronidazole. La tigécycline peut être utilisée en l'absence d'alternative. En cas d'infection associée aux soins, l'antibiothérapie associe ciprofloxacine (ou aztréonam) + amikacine + métronidazole + vancomycine.
Dans les études précliniques, l'administration de Akkermensia muciniphila, une bactérie de la flore intestinale, prévient le développement de l'obésité et du diabète de type 2, provoqué par la suralimentation.
Les bactéries Aeromonas, E. coli, Salmonella spp, Shigella et Vibrio spp.
La microflore intestinale est un écosystème complexe contenant plus de 400 espèces bactériennes.
Pois chiche, pois cassé, haricot sec, lentilles sont eux aussi des aliments à privilégier pour rééquilibrer la flore intestinale. Ils sont riches en fibres et prébiotiques et favorisent la présence des bonnes bactéries.
Les antibiotiques sont des médicaments qui servent à lutter contre les infections dues à des bactéries : les pneumonies, bronchites, otites, méningites, infections urinaires, septicémies, maladies sexuellement transmissibles….
Habituellement, 10 à 14 jours ou plus sont la durée prévue pour que les symptômes persistent en cas d'infections bactériennes résultant d'infections secondaires. Les otites, la pneumonie et la sinusite font partie des infections secondaires qui durent encore plus de 10 à 14 jours.
La colite aiguë causée par une infection temporaire, une intolérance alimentaire ou une exposition aux radiations disparaît généralement d'elle-même. Certains types d’infections peuvent nécessiter un traitement pour disparaître, notamment les infections parasitaires. La plupart des infections mettent environ une semaine à disparaître, tandis que la colite radique prend quelques mois .
Les deux processus qui prédisposent le plus souvent à la prolifération bactérienne sont la diminution de la sécrétion d'acide gastrique et la dysmotilité de l'intestin grêle . Les perturbations de la fonction immunitaire intestinale et les anomalies anatomiques du tractus gastro-intestinal augmentent également le risque de développer un SIBO.
Le symptôme le plus fréquent de la prolifération bactérienne dans l'intestin grêle est le ballonnement. Parmi les autres symptômes, on peut citer une gêne abdominale, une diarrhée. (Voir aussi Diarrhée chez l'enfant) La seule fréquence des selles n'est pas une caractéristique suffisante...
Symptômes et signes
Une infection locale engendre une inflammation de la région infectée qui se traduit par une douleur, une rougeur, un œdème, la formation d'un abcès rempli de pus (infection à germes pyogènes), parfois une élévation de la température.
L'examen direct à l'état frais permet de déceler la présence de leucocytes et d'hématies dans les selles (éventuellement de parasites). Il est possible si les selles sont diarrhéiques ou afécales. En cas de diarrhée à germes invasifs : il y a présence de leucocytes (Salmonella spp., Shigella spp., Campylobacter spp.).