Un diamètre de buse supérieur ou égal à 0.5 mm est recommandé pour l'impression de ce filament bois.
Buse de 0,4 mm en standard
Pour la plupart des imprimantes 3D, la buse de 0,4 mm est devenue la norme, car elle est généralement installée en atelier et offre un bon équilibre entre résolution, précision et vitesse d'impression.
Les buses en laiton sont les plus courantes dans l'impression 3D. La quasi totalité des imprimantes 3D est équipée en usine d'une buse en laiton. Elles permettent l'impression des matériaux les plus répandus et les plus communs tels que le PLA, l'ABS, le flexible, le nylon…
Ce filament sous sa forme standard s'imprime généralement entre 190 et 210 °C pour des vitesses allant de 40 à 80 mm/s.
Pour l'impression du PLA il ne faudra pas dépasser 50°C car l'effet inverse peut être obtenu, le PLA commençant à devenir malléable à partir de 40-50°C.
Si vous n'arrivez pas à imprimer du PLA sans plateau chauffant, votre problème se situe au niveau de votre parallélisme ou de la surface de votre plateau qui est trop lisse pour accrocher. Dans ce cas-là, un plateau chauffant pourra aider, mais ne résoudra pas le problème sous-jacent.
La meilleure façon d'éviter le warping est d'utiliser un plateau chauffant. Il permet de maintenir le matériau à une température juste au-dessous du point où le matériau se solidifie (la température de transition vitreuse). De cette manière, nous somme sûr qu'il reste plat et connecté au plateau d'impression.
Ainsi, parmi les méthodes de lissage existantes pour le PLA, le papier de verre est souvent la solution incontournable. L'idée est d'utiliser successivement différentes tailles de grain jusqu'à obtenir une surface plus lisse.
Choisissez un apprêt compatible avec votre plastique. Pour notre part, nous préférons l'apprêt en spray, car cette méthode permet de couvrir rapidement toute la surface de manière uniforme. Les apprêts au pinceau conviendront quant à eux mieux aux petites retouches.
Nous préconisons une recuisson en deux fois. Une première fois à 40°C pendant 4h20 puis la seconde à 80°C pendant 1h20. De cette façon, même si on obtient pas la TFC maximale, la pièce ne se déformera pas. Attention, ces valeurs sont données pour une étuve professionnelle.
La buse d'impression doit être à une distance comprise entre 0,2 et 0,4 mm. Remarque : tout dépend votre diamètre de buse, si c'est 0.3 par exemple il faudra prévoir une petite distance entre la buse et le plateau, si votre buse est de 0.5 on peut laisser un peu plus.
Dans l'impression 3D, l'épaisseur de paroi correspond à la distance entre une surface de votre pièce et la surface opposée. Une pièce qui entrerait dans une boîte de 250 x 250 x 300 mm doit être conçue avec une épaisseur de paroi minimale de 1 mm.
En terme de valeurs, sur les imprimantes actuelles, une vitesse de référence de 50mm/s ou 60mm/s est plutôt qualitative, alors qu'à 80 ou 90mm/s on est cherche à gagner du temps, au détriment de la qualité. Pour faire de la haute qualité, on pourra baisser encore en vitesse, à 40, voire 30mm/s.
Taille de construction restreinte
La taille de la chambre intégrée dans les imprimantes 3D est généralement relativement petite, limitant ainsi la taille des pièces que vous pouvez imprimer. Par conséquent, tout article plus volumineux doit être imprimé séparément et assemblé plus tard après sa production.
Positionner un morceau de papier ou un post-it entre la buse et le plateau, Faites monter ou descendre le plateau en vérifiant que le papier ne vienne pas se « bloquer » sous la buse, Une fois que le papier peut se déplacer en frottant légèrement à la buse, Passez au point de contrôle suivant.
Avoir un extrudeur propre et bien réglé est également un facteur clé pour maximiser et améliorer vos impressions 3D. Un extrudeur encrassé va avoir tendance à être moins efficace sur les mouvements de filaments. Il pourra créer des défauts irréguliers et augmente fortement le risque de grinding.
Selon le résultat recherché, vous pouvez commencer avec une bande de 400 grains, puis aller jusqu'à 4 000 grains. Enfin, vous avez peut-être aussi déjà entendu parler du ponçage à l'eau.
Ainsi, par exemple pour le PLA, le polymère se dégrade 4 fois plus vite à 250°C qu'à 230 °C. Pour une bonne conservation des filaments et de leurs propriétés il est donc important d'imprimer dans le spectre bas des températures conseillées, et par cause à effet, à des vitesses moins importantes.
Le processus de biodégradation et sa durée dépendent en grande partie de l'environnement dans lequel le PLA se trouve. En effet, pour qu'il puisse se décomposer, il lui faut de l'oxygène, de l'humidité, des températures gravitant autour des 60 °C et certaines bactéries spécifiques.
Le grattoire ou la spatule en métal est également très pratique pour le nettoyage du plateau d'impression si vous utilisez comme filament de l'ABS, du PLA ou du nylon. De plus, vous pouvez vous servir d'une lame de grattoire pour le nettoyage du plateau d'impression en verre de votre imprimante 3D.
2- Réduire l'épaisseur de couche
Si le filament devient trop liquide à haute température ou que la limite de température de l'imprimante 3D est atteinte, l'astuce peut alors être de réduire l'épaisseur des couches. Cette couche plus fine va rendre plus solide et efficace cette fusion.
La soude caustique dissout le PLA. Ce produit peut donc aider à nettoyer une buse bouchée avec éventuellement des particules.
Le polycarbonate (PC), en plus d'être le filament 3D le plus robuste de cette liste, est extrêmement durable et résistant aux chocs et à la chaleur (il peut supporter des températures allant jusqu'à 110 °C).
Le fait que l'amidon utilisé provienne de la nature n'en fait pas un produit naturel (le pétrole aussi est un produit provenant de la nature!). Le PLA se dégrade uniquement en compostage industriel, à une température de plus de 60°C, libérant du CO2.