Il est donc toujours possible que l'essence reste l'énergie la plus adaptée à votre usage en 2022, surtout que les motorisations au sans-plomb font preuve d'une grande polyvalence.
S'il n'est plus en odeur de sainteté et que le diesel ne verra sans doute pas la prochaine décennie, il reste aujourd'hui un carburant efficient et peut encore être votre choix si vous envisagez l'achat d'une voiture en 2022.
En réalité, si. Dans la mesure où ces véhicules proposent des consommations de carburant bien plus avantageuses que les véhicules à essence. Vous économiserez en moyenne, à puissance équivalente, environ 2 litres de carburant tous les 100 km, soit environ 3 euros au prix actuel du carburant.
Le GPL est le carburant le moins polluant, car il ne libère pas de particules fines et limite les gaz à effet de serre. Le GPL est le carburant le moins cher, avec des prix compris entre 0,70€ et 1€ le litre.
Pollution : une amende de 68 euros dès 2024
Dès 2023, ce seront les véhicules Crit'Air 5 (diesel produits avant 2001) qui ne pourront plus rouler dans les ZFE. Puis, en 2024 et 2025, les véhicules Crit'Air 4 et 3, respectivement.
Au mois de juin 2022, le Parlement européen a voté en faveur de l'interdiction des voitures thermiques, diesel et essence compris en 2035. Il ne s'agit pas réellement d'une interdiction totale des voitures thermiques. A partir de 2035, la vente de ces véhicules sera interdite.
Pourquoi la fin des voitures essence et diesel ne signe pas la mort des moteurs thermiques. Le Parlement européen a voté, mercredi 8 juin 2022, la fin des ventes des véhicules essence et diesel neufs en 2035. Mais ce n'est pas pour autant la mort des véhicules thermiques, pour plusieurs raisons.
En 2022, tous les véhicules diesels postérieurs à 2005 sont autorisés à circuler partout… mais leurs jours sont comptés. La mise en place progressive des ZFE, les zones à faibles émissions, va les exclure peu à peu des grandes agglomérations.
Rentabilité lors des pleins de carburant
Avec un prix au litre inférieur à celui de l'essence, le diesel est plus économique à la pompe que l'essence, ce qui le rend plus rentable lors de chaque passage à la station service.
En conclusion : En 2022 le diesel est plus que jamais un carburant destiné aux « gros » rouleurs qui gardera son intérêt pour tous les conducteurs qui vont utiliser principalement l'autoroute. Mais il est aussi privilégié pour tous véhicules « lourds » comme les véhicules utilitaires et les grands SUV.
A ce petit jeu, c'est la Toyota IQ qui s'en sort le mieux chez les citadines (97,3/100), la Kia Niro (hybride) chez les SUV et 4x4 (98,8), la Toyota Auris chez les compactes (99,5), un "exemple à suivre" selon l'UFC Que Choisir, la Lexus IS (hybride) chez les routières (98,4), et la Toyota Prius+ (hydride) chez les ...
La réponse des autorités s'accélère. Depuis un an, la loi Climat et Résilience(loi n°2021-1104 du 22 août 2021) a fixé un calendrier particulièrement contraignant pour bannir des centres-villes les véhicules Crit'Air 5 dès 2023, Crit'Air 4 (2024) et Crit'Air 3 (2025).
Composé à plus de 90% d'éthanol, ce carburant vert peut être utilisé par les poids lourds, les cars et les bus.
Elle devait intervenir initialement au 1er juillet 2022, elle a été reportée une première fois jusqu'au début de l'année 2023, elle est de nouveau repoussée. En 2024, cette interdiction sera étendue à la catégorie Crit'Air 2 (tous les diesels, y compris les plus récents, et les essences d'avant 2011).
Le GPL, ou Gaz de Pétrole Liquéfié, est apparu comme le carburant du futur : moins polluant que l'essence et le diesel, bénéficiant d'avantages fiscaux le rendant moins coûteux à la pompe, et enfin préservant mieux l'usure des moteurs.
Mise en place par le gouvernement depuis le 1er avril 2022, la remise carburant évolue ce 1er septembre. L'aide exceptionnelle pour accompagner les automobilistes face à la hausse des prix augmente dès aujourd'hui et va continuer pour quelques mois.
L'achat d'une voiture d'occasion à partir du mois janvier 2022 signifie une dépense beaucoup plus abordable pour les français. Comme vous pouvez le sentir, l'offre est plus importante que les années précédentes, mais la demande évolue perpétuellement.
L'essence étant privilégié pour ses reprises, sa sportivité ; le diesel, plus lourd, lui, pour sa fiabilité. Doté de matériaux plus robustes, pour résister aux fortes compressions dans les cylindres, mais plus cher à changer, les diesels s'usent en effet moins vite, mais sont aussi généralement plus lourds.
La France identifie aussi le GNV comme un axe primordial dans la transition énergétique pour la croissance verte et se fixe les objectifs suivants : 10% de gaz renouvelable en 2030.
Sur proposition du Parlement européen, les voitures thermiques devraient disparaître de la circulation dès 2035. En effet, la vente de ce type de véhicule ne sera plus possible à partir de cette date.
En conséquence, la remise carburant de 30 centimes d'euros sera prolongée, jusqu'au 14 novembre 2022 (31 octobre initialement). Par la suite, elle passera à 10 centimes d'euros le 15 novembre, puis s'éteindra au 1er janvier 2023.
2022 devrait être la dernière année de circulation des vieux diesels (Crit'Air 5 d'avant 2001), qui devraient être définitivement interdits au sein de la ZFE au 1er janvier 2023.
D'ici 2025, 45 grandes agglomérations seront sommées de se mettre au pli. Aix-Marseille, Lille et Montpellier sont déjà à pied d'œuvre. Suivront Rennes, Bordeaux, Dijon, Tours… C'est bien simple, toutes les collectivités de plus de 150 000 habitants auront une ZFE, et les diesels seront les premiers véhicules écartés.