Au cas où et dans le cas où, bien qu'ayant le même sens, commandent, elles, le conditionnel : on veillera donc à ne les faire suivre ni d'un verbe au subjonctif ni d'un verbe à l'indicatif, fût-ce un indicatif futur.
L'expression dans l'éventualité où, comme les locutions qui expriment une éventualité, notamment au cas où, dans le cas où, dans l'hypothèse où, est le plus souvent accompagnée du conditionnel : Dans l'éventualité où une complication surgirait, appelez-moi.
"Au cas où" sert à exprimer une éventualité. Cette locution soulève une hypothèse. Elle peut être employée seule ou introduire une proposition au conditionnel ou au subjonctif. Exemple : Prends ton sac, au cas où.
La conjonction "après que" est suivie d'un indicatif et non pas d'un subjonctif : Le médecin est reparti après qu'il a examiné le patient. Les verbes "décider" et "espérer" sont suivis d'un indicatif même s'ils expriment une opinion.
Nul besoin de faire durer le suspens plus longtemps, découvrez enfin si on écrit au cas ou ou au cas où ! La bonne orthographe de cette locution conjonctive est donc : au cas où avec accent.
Le subjonctif s'emploie quand la réalisation de l'action exprimée par le verbe est mise en doute, est incertaine ou rejetée. L'indicatif exprime la réalité, la certitude. - Moi, que j'aille travailler ! Il est exclu que je le fasse.
Il y a quatre temps au subjonctif : le présent, le passé, l'imparfait et le plus que parfait. Seuls les deux premier sont couramment utilisés.
conditionnel
1. Mode du verbe qui sert à présenter l'action comme une éventualité ou comme la conséquence d'un fait supposé, d'une condition. (Le français possède un conditionnel présent [j'aimerais] et un conditionnel passé [j'aurais aimé] dont il existe une variante littéraire [j'eusse aimé].)
Dans l'éventualité où ; à supposer que.
On écrit « ou » lorsqu'il est possible de remplacer la conjonction de coordination par « ou bien ». Si le remplacement par « ou bien » ne fonctionne pas, alors on écrit « où ». « Ou » sans accent et « Où » avec accent grave sont des homophones grammaticaux.
Après « je pense que » à la forme affirmative, on emploie l'indicatif. Ce choix entre indicatif et subjonctif après des verbes exprimant la subjectivité est parfois difficile à justifier. Mais : j'ai peur qu'il vienne – je veux qu'il vienne – je souhaite qu'il vienne.
Le passé du subjonctif est formé à partir des auxiliaires avoir et être conjugués au présent du subjonctif auxquels on ajoute le participe passé. Avec l'auxiliaire être, on accorde le participe passé avec le sujet.
Espérer que employé à la forme affirmative est normalement suivi de l'indicatif, ou du conditionnel si la subordonnée exprime une hypothèse ou une éventualité : J'espère qu'il viendra. J'espérais qu'il allait venir. J'espère qu'elle nous appuiera en cas de refus.
À (la) condition que se construit en général avec le subjonctif, parfois avec l'indicatif. Cette voiture est durable à condition que tu fasses l'entretien régulièrement. Ce gâteau est très moelleux, à la condition que tu fouettes vigoureusement la pâte.
Différence entre ou et où
Où permet de poser une question ou de ne pas répéter un mot. Où précise un lieu. Il ne peut pas être remplacé par ou bien. En terme de grammaire, ou est une conjonction de coordination.
Le conditionnel présent est formé sur la base du futur simple mais avec les terminaisons de l'imparfait. Par exemple, le verbe aller au futur : J'ir-ai. Le verbe aller au conditionnel : J'ir-ais.
La grammaire normative impose l'usage de l'indicatif dans les subordonnées temporelles introduites par la conjonction après que, tandis que son antonyme, la conjonction avant que, doit être suivie d'un verbe au subjonctif (voir p. ex. Cellard 1996 : 62-64).
Règle : On emploie « le cas échéant » quand on peut remplacer cette expression par « si cela se produit » ou « si cela est nécessaire. » Il est incorrect de l'employer pour dire « dans le cas contraire. » Cet emploi vient certainement d'une confusion entre « échoir » et « échouer. » C'est la notion d'éventualité qui ...
Les prépositions ou locutions prépositives introduisent des mots ou des groupes de mots qui sont compléments du verbe, du nom, de l'adjectif ou de l'adverbe. Les prépositions sont : à, de, pour, sur, dans, avec, en, par, parmi, ... Les locutions prépositives sont : afin de, à moins de, de façon à, par suite de, ... 2.
« Si tu pouvais, tu irais la voir » : pour donner une information non confirmée, faire des hypothèses ou exprimer un souhait, on utilise le conditionnel présent. Le conditionnel présent peut servir à : - donner une information incertaine ou non confirmée.
2e cas : si + imparfait ->conditionnel présent => Si tu voulais, tu pourrais. 3e cas : si +plus-que-parfait ->conditionnel passé => Si tu avais voulu, tu aurais pu.
Le subjonctif présent (ou le présent du subjonctif) est un temps de verbe simple qui fait partie du mode subjonctif. Il sert à exprimer une action incertaine, non réalisée au moment de l'énonciation.
Le gérondif est la forme adverbiale du verbe, qui indique les circonstances de l'action exprimée par le verbe de la phrase auquel il se rapporte. C'est un mode impersonnel, car il n'a pas de désignation spéciale de la personne grammaticale, mais il a pour sujet le même que celui du verbe principal.