le côlon est la première et majeure partie du gros intestin. Il possède à son extrémité inférieure une petite excroissance appelée l'appendice. Il se termine par le sigmoïde, qui le relie au rectum ; le rectum est l'ultime partie de l'appareil digestif.
Le côlon est la plus longue partie du gros intestin. Il reçoit la nourriture presque toute digérée du cæcum, il absorbe l'eau et les éléments nutritifs et il fait passer les déchets (selles, ou matières fécales) dans le rectum. Le côlon est divisé en 4 parties : Le côlon ascendant est le commencement du côlon.
Des spasmes, des brûlures, des ballonnements, des diarrhées et/ou de la constipation... Parfois aussi des symptômes extradigestifs, comme des maux de tête, des douleurs musculaires ou une grande fatigue...
La localisation de la douleur peut également varier d'une personne à l'autre. Certaines personnes peuvent ressentir une douleur concentrée dans la partie inférieure de l'abdomen, tandis que d'autres peuvent ressentir une douleur plus diffuse dans tout l'abdomen.
L'aspect des selles peut sembler anormal. Ces dernières peuvent être plus petites, plus étroites (selles en crayon) et teintées de sang rouge vif, brun ou noir, fluide ou constitué de caillots.
Le patient atteint d'un cancer du côlon peut également ressentir une envie constante d'aller à la selle ou des sensations inhabituelles au moment d'éliminer. À mesure que le cancer évolue, il peut former une masse palpable au niveau de l'abdomen.
Éviter les aliments fermentescibles
Les légumineuses comme les lentilles, les fèves et les pois secs.
La maladie peut également contraindre la personne malade à aller plus souvent aux toilettes ou provoquer des saignements dans les selles. Les douleurs au ventre, les ballonnements, la perte de poids et la sensation de grande fatigue font également partie des symptômes.
Le côlon droit, appelé aussi côlon ascendant, est situé du côté droit de l'abdomen. Il commence par le cæcum qui relie le côlon à l'intestin grêle et se prolonge vers le haut jusqu'au côlon transverse. Le côlon transverse traverse la partie supérieure de l'abdomen. Il relie le côlon droit au côlon gauche.
Les symptômes sont variables, mais incluent fréquemment des douleurs dans le bas du ventre, des ballonnements, des flatulences et une constipation ou une diarrhée. Diverses substances et facteurs émotionnels peuvent déclencher les symptômes du syndrome de l'intestin irritable.
Des douleurs en bas de l'abdomen, du côté gauche ? C'est peut-être votre côlon qui souffre. Ou plus précisément le sigmoïde, une partie du côlon sur laquelle il peut se former des diverticules (petites déformations) qui s'infectent et s'enflamment. On parle alors de sigmoïdite ou de diverticulite sigmoïdienne.
Une personne atteinte du syndrome de côlon irritable peut donc présenter comme symptôme des maux de dos. Dès lors, il est indispensable de procéder à une consultation afin d'écarter une maladie plus grave.
Le cancer colorectal (ou cancers du côlon et du rectum) est un cancer du gros intestin qui peut être guéri s'il est détecté précocement.
Le cancer colorectal est guéri dans 90% des cas s'il est diagnostiqué au stade I, contre seulement 5% au stade IV. Enfin, les adénomes de l'intestin apparaissent avec l'âge, d'où l'intérêt d'effectuer dès 50 ans un dépistage tous les deux ans.
On ne connaît pas la cause de la maladie inflammatoire chronique de l'intestin, mais elle pourrait impliquer une réaction immunitaire inadaptée aux bactéries de l'intestin normales chez les personnes qui ont une prédisposition génétique.
Les colites sont des inflammations du côlon qui peuvent être causées par divers facteurs. Les causes les plus courantes sont les infections bactériennes, virales ou parasitaires.
changements ou manifestations physiques : changement inhabituel d'un sein, perte de poids inexpliquée, nouveau grain de beauté ou modification d'un grain de beauté, apparition d'une grosseur ou d'un gonflement, voix rauque ou enrouée, difficultés à avaler, importantes sueurs nocturnes.
Un test sanguin qui permettrait de dépister la présence ou non d'une tumeur chez les personnes à risque. Il y a donc un réel besoin d'identifier de nouveaux marqueurs tumoraux qui pourraient aider au diagnostic et au suivi de l'efficacité des traitements.