Le terme « fracture » est utilisé lorsqu'un os est cassé. Il peut s'agir seulement d'une petite fissure ou d'une cassure nette en de nombreux morceaux.
Fracture partielle : Dans ces cas, la fracture ne traverse pas entièrement l'os. Fracture de stress : Dans ces cas, l'os se fissure, et il est très difficile de le retracer sans imagerie. Fracture stable : Dans ce cas, les extrémités cassées de l'os s'alignent et sont à peine déplacées.
Une fracture ouverte est une fracture où un morceau de l'os brisé traverse la peau. Cela peut s'avérer dangereux, car l'os est exposé, augmentant le risque d'infection. Une fracture fermée est une fracture se produisant lorsqu'un os est brisé, mais ne traverse pas la peau.
Temps de récupération
Les fractures simples sont consolidées après 6-8 semaines dans le cas d'un os de moyenne à petite taille (ex. os de l'avant-bras, humérus). La période peut être beaucoup plus longue pour les os porteurs (ex.
Des béquilles et une chaussure ou une botte de protection à semelle rigide peuvent être utiles pendant quelques jours. Un plâtre n'est généralement pas nécessaire. Les personnes sont encouragées à marcher dès qu'elles peuvent le tolérer. Généralement, ces fractures guérissent relativement vite.
Pour confirmer la présence d'une ou plusieurs fractures de fatigue, on utilise la radiographie. Toutefois, les clichés peuvent ne rien montrer pendant 2 à 3 semaines après le début des douleurs, puisque les micro-fractures sont quasi-invisibles.
Fracture du col du fémur.
Dans un premier temps, pour guérir une fracture osseuse, il faut absolument que votre membre blessé soit stabilisé le plus rapidement possible à l'aide d'une attelle, voire même d'un plâtre. L'idée de mobilisation à la suite d'une fracture permet d'éviter l'atrophie musculaire et de stimuler l'ostéogenèse.
Si les fractures ostéoporotiques les plus fréquentes sont les tassements vertébraux, les fractures de l'extrémité supérieure du fémur (FESF) sont les plus graves, pouvant mettre en jeu le pronostic vital.
Les fractures entraînent généralement un gonflement, mais celui-ci peut mettre plusieurs heures à se développer et, dans certains cas, être très léger.
En cas de fracture ouverte, une opération est nécessaire et la fracture doit être réduite à l'aide de plaques, de vis ou de clous. Même chose en cas de fractures particulièrement complexes (fracture multiple, fractures déplacées) et fractures propres de l'os (fracture fibulaire).
Le traitement d'une fracture de la jambe consiste d'abord à bien repositionner les os brisés. Puis, le membre est immobilisé par un plâtre ou du matériel orthopédique, pour faciliter la reconstitution de l'os. Dans certains cas, une intervention chirurgicale est indispensable.
Les fractures des vertèbres, du col du fémur et du poignet sont les plus fréquentes.
Une fissure est une fracture incomplète, comme une fêlure qui ne brise pas l'os sur toute sa longueur. C'est en général le résultat d'une blessure relativement mineure.
La fracture de la jambe provoque un bruit de cassure et une douleur vive dans le membre inférieur. Le blessé ne peut plus poser le pied par terre. Il s'agit d'une urgence. Le diagnostic est confirmé par des radiographies.
L'immobilisation permet de réduire les douleurs et de faciliter la cicatrisation en prévenant l'aggravation des lésions et en gardant les extrémités de la fracture alignées. Les articulations sus- et sous-jacentes à la lésion doivent être immobilisées.
Les protéines contribuent au développement des muscles et ainsi au maintien de la solidité des os. Choisissez des aliments riches en protéines comme la viande, la volaille, le poisson, les fruits de mer, les légumineuses (haricots, pois, lentilles), les œufs, le tofu, les noix et les graines.
L'inactivité a pu raidir les tissus mous autour de la blessure et affaiblir les muscles. En outre, il se peut qu'une cicatrice et qu'une inflammation se soient développées dans les tissus mous pendant la guérison de la fracture. Cela peut également provoquer des douleurs et rendre les mouvements difficiles.
Syndrome douloureux régional complexe (SDRC)
Le SDRC est une maladie rare et peu connue considérée comme celle qui provoque les pires douleurs du monde. Ce syndrome se déclare le plus souvent après un traumatisme physique comme une fracture ou même une entorse, qui entraîne le dysfonctionnement d'un nerf.
1. Le syndrome douloureux régional complexe (SDRC) On termine avec la douleur la plus intense et insupportable selon le McGill Pain Questionnaire : le syndrome douloureux régional complexe (SDRC).
La radiographie
Elle permet d'analyser le squelette et les articulations et donc de voir s'il y a une blessure osseuse, principalement une fracture. Cet examen d'imagerie médicale laisse apparaître les os en blanc et les tissus mous plus sombres.
La marche est possible à l'aide de béquilles ou d'un déambulateur. Votre médecin peut vous prescrire des médicaments contre la douleur et une supplémentation par vitamine D et calcium si nécessaire.