Pour cela on utilise un certain nombre de petits mots, comme par exemple : « vous affirmer que », « je suppose », « j'ai l'impression », « je crois », « j'imagine », « vous semblez croire que », « vous prétendez que »… Vous voyez que là, vous êtes en train de reprendre l'argumentation de l'individu.
réplique au contre-argument
Donnez une raison pour laquelle il devrait être soit réfuté (non considéré), en partie admis (accepté comme étant un bon point, sous certaines conditions), devrait amener à une nouvelle idée ou à une alternative (révision d'une affirmation) ou concédé (accepté comme étant un point valide).
Pour commencer votre argumentation il faut être clair sur vos objectifs : annoncez-les clairement puis argumentez pour les atteindre. Dans la mesure du possible, vos arguments doivent être nourris par des faits précis et indiscutables, afin d'éviter que votre interlocuteur puisse les remettre en cause.
– L'introduction s'organise de la façon suivante : présentation du thème, annonce de la thèse à réfuter puis explication de celle-ci, critique de la thèse et enfin annonce du plan.
Pour faire une introduction, il faut amener le sujet du contenu en incluant les éléments essentiels pour informer et éveiller la curiosité du lecteur. La première étape consiste à utiliser une accroche pour capter son attention, pour ensuite poser un contexte, énoncer une problématique et aborder le plan à suivre.
Les plus courants sont l'argument logique, l'argument d'expérience, l'argument de valeur, l'argument d'autorité et l'argument ad hominem.
Une phrase introductrice exprime clairement l'opinion soutenue. Elle peut être introduite par une expression affirmant l'opinion, par exemple : « selon moi, à mon avis, il me semble évident que… ».
À cause de, car, en raison de, étant donné que, dans la mesure où... Par conséquent, en conséquence, aussi, ainsi, finalement, c'est pourquoi... Si, probablement, sans doute, apparemment, au cas où, en admettant que... Si, en cas de, à condition que, pourvu que...
la cause : car, en effet, parce que… ; la conséquence : donc, c'est pourquoi, aussi (+ sujet inversé), si bien que… ; l'opposition : mais, or, pourtant, toutefois, en revanche, bien que… ; l'addition : et, de plus, d'abord, puis, ensuite…
Exemple : « personnellement », « en ce qui me concerne », « pour ma part », « quant à moi », « selon moi », etc.
Introduire le sujet
Tout le monde s'accorde à penser que ......... est un des principaux maux de notre société • II convient donc d'examiner .................. . Tout d'abord, il faut dire que ... . De nos jours, il est presque impossible d'ouvrir un journal sans lire que ...
Exprimez-vous clairement et intelligemment. Essayez de ne pas utiliser d'expressions familières. Exposez vos arguments de manière ordonnée en utilisant les connecteurs adéquats. Ne soyez pas nerveux(euse), si vous voyez que vous n'arrivez pas à bien à vous exprimer, reformulez votre argument principal et recommencez.
Parler de manière assurée
Pour gagner en confiance, n'hésitez pas à préparer vos arguments en avance, à réellement réfléchir à vos prises de positions, vous documenter pour enrichir vos arguments et les construire sur des bases solides. Connaître son sujet est la clé de tout débat remporté.
Comment annoncer le plan ? Une formule assez simple est souvent utilisée pour annoncer un plan : « Afin de répondre à la problématique posée, il serait intéressant d'étudier en premier lieu (axe I), puis en second lieu (axe II) ». L'annonce doit être explicite et claire, et suivant une certaine logique.
Au brouillon, je rédige une introduction. Elle doit présenter le sujet en le rappelant (ex : « Nous allons traiter de la France dans la deuxième guerre mondiale »), donner le contexte historique du thème abordé ou présenter le pays s'il s'agit d'un sujet de géographie sur un pays (population, importance dans le monde).
Pour introduire un exemple : Ainsi - En effet - Par exemple... Pour conclure le texte : Pour conclure - En somme - Finalement...
Le plan dialectique
Il procède à un examen critique : thèse première / initiale / soutenue : on examine, on explicite la thèse proposée ; thèse adverse / antithèse : on prend le contre-pied de la thèse ; thèse finale / synthèse : on concilie les deux thèses opposées.
Nous pouvons donc dire que lorsqu'une opinion repose sur des prémisses, elle devient la conclusion d'un argument. « Pierre est un grand joueur d'échec. De plus, c'est un très bon chercheur. Donc Pierre est intelligent” constitue un argument.
Il s'agit de choisir entre délibérer, convaincre ou persuader pour remporter l'adhésion de son interlocuteur.
2. L'accroche basée sur des mots-clés. Exemple : "Mes qualités : organisé(e), optimiste, déterminé(e), flexible et toujours souriant(e)." On retrouve souvent cette accroche sous la forme d'un encadré, encore une fois juste en-dessous du titre du CV pour respecter la mise en page classique du document.
L'annonce de plan se situe à la toute fin de l'introduction, juste après l'exposé de la problématique. Son objectif est de présenter au lecteur la structure de la copie : on va rapidement expliquer quelles sont les grandes parties et comment elles s'articulent.