Ce lien de sang est là, il ne se discute pas et tant que le sentiment de Fraternité est là, ce lien perdure avec ses règles. L'Amitié, elle, est définie comme le sentiment d'affection entre deux personnes. Il s'agit de l'attachement, de l'affection qu'une personne porte à une autre.
1. Lien de solidarité qui devrait unir tous les membres de la famille humaine ; sentiment de ce lien. 2. Lien qui existe entre les personnes appartenant à la même organisation, qui participent au même idéal.
"Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité." Plus rarement la fraternité désigne le lien de parenté entre les frères et soeurs d'une même famille (la fratrie).
La fraternité crée un ciment qui rattache tous les citoyens d'une nation. Il se manifeste lors des grandes fêtes de la fraternité, le 14 juillet dans les bals populaires, le 1 er janvier sur les Champs Elysées, ou lors de compétitions sportives de niveau international.
L'amitié se définit comme « l'affection réciproque, l'attachement mutuel entre deux personnes ». [1] Cela répond à un besoin fondamental chez l'être humain : se sentir relié, attaché à quelqu'un. Pas étonnant, donc, que l'amitié soit une source de bien-être pour la plupart des gens.
Dans l'ensemble de ces relations, Aristote distingue trois types d'amitiés : l'amitié utile, fondée sur l'intérêt, l'amitié agréable, qui repose sur le plaisir, et enfin l'amitié, plus rare et plus exigeante, qui a pour fondement la vertu et pour but le bien.
Les vraies amies sont souvent des amies de longue date, aux liens très forts, unies par des histoires, des anecdotes, des malheurs et des joies intenses. Une amitié sincère se base sur l'engagement, la confidence, l'authenticité, la sincérité, la confiance et l'honnêteté.
Paradoxalement, le mot fraternité, dans l'usage que nous lui connaissons aujourd'hui, n'évoque jamais l'idée d'un lien familial. À la limite, c'est le contraire : il désigne un lien qui relie ceux qui ne sont pas de la même famille ; c'est, idéalement, ce qui nous lie à l'ensemble de « la famille humaine ».
La fraternité
La notion renvoie à la solidarité (aides sociales, par exemple) et au "vivre ensemble" (tolérance, respect de l'autre). La fraternité a longtemps été considérée comme une simple valeur morale contrairement aux principes de liberté et d'égalité.
Car même si on est tous différents, la fraternité permet de créer des liens entre nous, comme la relation que l'on partage avec sa famille, avec ses frères et sœurs. On se voit tous les jours, on s'aime bien, on se chamaille, on partage des grands et des petits bonheurs et on se soutient.
Sentiment partagé entre frères, et entre frères et soeurs.
La solidarité est souvent confondue avec la fraternité. Il ne s'agit pas toutefois de la même valeur morale : la fraternité est un sentiment que chacun est libre de ressentir, la solidarité est une mesure sociale de l'État imposée à tous.
Cet ensemble porte à son fondement le respect de la personne humaine, le « moi », c'est donc un ensemble de personnes assemblées, de volontés personnelles combinées en un mouvement. Chaque personne peut vivre la valeur de la fraternité par l'exercice d'obligations morales envers autrui.
A la fraternité répond désormais la sororité, comme outre-Atlantique « brotherhood » s'est vu opposer « sisterhood » – un terme popularisé par l'ouvrage de Robin Morgan, Sisterhood is Powerful, publié en 1970.
Étymologie. Le terme « sororité » est un nom commun féminin inspiré du terme latin soror, qui signifie sœur ou cousine. Sororité se veut l'équivalent féminin de fraternité.
Favoriser la connaissance de soi et de l'autre, apprendre à confronter pacifiquement les opinions dans le cadre régulé d'une éthique de la discussion, c'est déjà développer des dispositions à une fraternité laïque.
La fraternité est un idéal commun qui associe solidarité et tolérance, dimension collective et dimension interpersonnelle : comme l'égalité, elle est au fondement du lien social.
Étymologie. Du latin fraternitas , dérivé de frater (« frère »).
Le premier à avoir formulé cette devise en tant que telle est Maximilien de Robespierre dans son Discours sur l'organisation des gardes nationales, imprimé mi- décembre 1790 et diffusé largement dans toute la France par les Sociétés populaires, même s'il ne fut jamais prononcé, ni le 5 décembre 1790 , ni les 27 et 28 ...
Le terme de sororité, popularisé par les féministes dans les années 70, réemployé aujourd'hui au-delà des cercles militants, s'est ainsi construit en opposition au concept de fraternité, pour rendre visible les femmes, favoriser l'entraide entre elles et la lutte contre le patriarcat.
« Liberté, Égalité, Fraternité » est la devise nationale de la France depuis 1848 1. Cette expression reprend les idées de liberté et d'égalité qui sont contenues dans la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen votée en août 1789 par l'Assemblée Constituante.
Un ami toxique est quelqu'un qui ne demandera jamais pardon après une dispute, qui s'arrangera toujours pour passer pour la victime et à justifier ses comportements excessifs ou ses paroles méchantes. Un ami toxique tournera toujours tout à son avantage.
Ce qui est le plus important dans l'amitié, c'est la loyauté, l'engagement, le soutien et la sincérité entre amis.
L'amitié commence avec la réciprocité, mais pour fleurir réellement, elle demande de la loyauté, de l'empathie, de l'honnêteté, de l'attention, de la connexion et de croire en l'autre. La réciprocité est le point de départ, mais il en faut plus pour durer.