Si l'on entend que la globalisation désigne avant tout un processus économique tandis que la mondialisation renvoie à une double dimension culturelle et politique, la question que soulève cet écart entre monde et globe est celle du rapport entre politique et économie.
Mondialisation fait référence aux processus par lesquels une entreprise apporte son activité au reste du monde. Internationalisation est la pratique consistant à concevoir des produits, des services et des opérations internes pour faciliter l'expansion sur les marchés internationaux.
Définition simple de la mondialisation
« La mondialisation (ou globalisation) désigne l'accélération des mouvements et échanges (d'êtres humains, de biens et de services, de capitaux, de technologies ou de pratiques culturelles) sur toute la planète.
globalisation
1. Action de globaliser. 2. Tendance des entreprises multinationales à concevoir des stratégies à l'échelle planétaire, conduisant à la mise en place d'un marché mondial unifié.
La mondialisation a pour but de favoriser le développement économique.
La globalisation est un processus économique, politique, technologique, social et culturel qui a transformé le monde en un lieu de plus en plus interconnecté et qui a affecté, de diverses manières, les marchés, les technologies, la commercialisation, les communications, les politiques et les développements industriels, ...
Les étapes de la mondialisation : internationalisation, transnationalisation, globalisation.
Sur un temps long, plusieurs phases de mondialisation peuvent être identifiées. Pour l'historien Fernand Braudel, la traversée de l'Atlantique par les explorateurs européens serait la première mondialisation moderne.
Ses causes sont multiples, d'ordre politique, démographique et technologique. La globalisation financière a donné lieu à des analyses divergentes, plus ou moins optimistes quant à ses effets sur le fonctionnement de l'économie mondiale.
Les principales causes de la mondialisation sont les progrès techniques (notamment dans la communication et les transports) et les décisions politiques tendant à libéraliser le commerce mondial. L'internationalisation est le premier degré de la mondialisation.
Ses contraires sont altermondialisme et antimondialisme .
La globalisation définit l'intégration des marchés sur le plan mondial avec, au coeur de ce principe, la mise en place de stratégies commerciales internationales menant à un marché mondial unifié. La globalisation caractérise notamment le développement des échanges et des interactions humaines sur toute la planète.
Définition de globalisation
Au sens économique, la globalisation est le processus d'internationalisation des transactions industrielles, commerciales, financières. Il est lié à la libéralisation des échanges et à leur intensification.
La mondialisation représente ainsi un frein au développement de certains pays. De ce fait, le principal enjeu de la mondialisation est de savoir s'il faut ou non laisser se creuser un tel fossé et laisser le marché seul maître de la répartition des flux commerciaux.
Depuis le début des années 1990, la « mondialisation » désigne une nouvelle phase dans l'intégration planétaire des phénomènes économiques, financiers, écologiques et culturels.
Les principaux avantages de la mondialisation pour les pays sont une hausse de la compétitivité et de la taille des marchés, une amélioration de la productivité grâce à la diffusion du progrès technique.
Les principaux d'entre eux sont les firmes multinationales, les États, les organisations non gouvernementales (ONG), les réseaux marchands informels et les mafieux.
Introduction. Le terme « mondialisation » désigne l'expansion et l'harmonisation des liens d'interdépendance entre les nations, les activités humaines et les systèmes politiques à l'échelle du monde. Ce phénomène touche les personnes dans la plupart des domaines avec des effets et une temporalité propres à chacun.
La mondialisation consiste en l'augmentation des échanges internationaux. L'ensemble des flux matériels, immatériels et humains est en pleine croissance. La mondialisation est la conséquence de facteurs historiques, politiques et techniques. Elle conduit à une mise en réseau sélective des territoires.
La mondialisation favorise un développement à deux vitesses au bénéfice des pays les plus compétitifs et, en raison de ses effets négatifs sur les dépenses publiques, de santé et d'éducation notamment, elle affecte surtout les femmes qui, plus que les hommes, ont besoin des programmes sociaux.
C'est la thèse du Livre noir de la mondialisation, paru en septembre 2020, sous la plume de Thomas Guénolé. À travers cet ouvrage, le politologue et essayiste français démontre comment la mondialisation a engendré plus de 400 millions de morts, entre 1992 et 2018.
Les économistes anglophones situent plutôt la « première » mondialisation moderne (globalization) entre les années 1880 et 1914 en raison de l'adhésion de nombreux dirigeants politiques à la thèse du libre-échange d'Adam Smith.
Dans ce cadre limité, la mondialisation que l'on représente volontiers comme un fleuve, se heurte à de nombreux obstacles : enclavement, frontières plus ou moins perméables, diversité des langues, analphabétisme, guerres etc.
Nées au lendemain de la découverte de l'Amérique dans l'essor du commerce transatlantique, la mondialisation s'accélère au cours du XIX° siècle et connaît une première phase d'apogée entre 1880 et 1914 sous l'impulsion des grandes puissances européennes dont le rayonnement devient planétaire.
De plus il distingue 6 moteurs de la globalisation : la dynamique technologique et son incidence sur la productivité ; la dynamique de la concurrence et son incidence sur l'accumulation de capitaux ; la dynamique des flux supérieure à celle des stocks ; la dynamique de l'évaluation permanente de la performance ; la ...