- Les amphétamines sont des psychostimulants et des anorexigènes (coupe l'appétit) puissants. Très toxiques et entraînant une forte dépendance psychique, ils se présentent généralement sous la forme de poudre à sniffer ou de comprimés à avaler.
À travers divers mécanismes physiologiques, le cannabidiol agirait en effet sur l'appétit, le brûlage des graisses, ou encore le niveau d'insuline. L'usage du CBD pour maigrir permettrait ainsi de réduire les risques associés au surpoids et à l'obésité.
Le cannabis entraîne un plus gros appétit
En cas de faible consommation – un milligramme pour chaque kilo du fumeur – le cannabis ouvre davantage l'appétit. En cas de consommation plus importante, il semblerait qu'il provoque l'effet inverse et coupe donc l'appétit.
Et l'explication serait en fait neurologique. Les neurones qui contrôlent notre appétit sont touchés. Derrière cette soudaine fringale, des neurones à pro-opiomélanocortine, ou POMC. Habituellement, ils sont censés envoyer un message de faim au cerveau quand l'organisme est en manque.
Les consommations d'alcool, souvent importantes, et à ce titre représentant un apport calorique considérable. Il est à cet égard assez singulier d'entendre un patient qui boit plus d'une dizaine de bières par jour dire que c'est la méthadone qui le fait grossir ( ! ).
Une autre drogue, la phencyclidine (PCP), appelée « angel dust » ou « poudre d'ange », puissante substance hallucinogène, a aussi la réputation de conduire à des actes auto ou hétéro-agressifs qui peuvent être d'une extrême violence.
En conclusion, fumer un joint fait maigrir malgré les idées reçues. Ainsi, le cannabis fait maigrir car les molécules de THC et CBD vont influencer le système nerveux, qui va jouer un rôle sur les graisses et donc la perte de poids.
Le THC du cannabis manipule le chemin que votre cerveau utilise pour réguler vos sens. Finalement, le THC nous donne la foncedalle en convainquant notre cerveau que notre corps a besoin de nourriture.
Sentiments de tolérance et de convivialité, détachement ou engagement face à la législation sur le cannabis, équilibrage tacite du bien-être avec soi et du bien-être avec les autres, représentent souvent les axes de cette conception.
Elles se divisent en 3 catégories : les perturbateurs/hallucinogènes; les dépresseurs; les stimulants.
Comme nous l'avons souligné plus haut, le CBD est un cannabinoïde qui est capable d'interagir avec le système endocannabinoide par le biais de ses principaux récepteurs. Dans ce contexte, il agit principalement sur le CB2 pour provoquer un effet coupe-faim.
On dit de quelqu'un qu'il est dépendant lorsqu'il consomme de la cocaïne entre 3 à 5 fois par semaine avec 2 à 3 jours de break entre les prises. Kelly: Pourquoi devient-on accro à la cocaïne dès la première prise?
L'explication serait que le THC, en se fixant notamment sur les récepteurs cannabinoïdes de l'hypothalamus, modifie les sensations de faim et de soif contrôlées par cette partie du cerveau.
La Dre Zaleski-Zamenhof décrypte : « La nicotine accélère le métabolisme et brûle environ 200 calories par jour. Elle augmente également le taux de glycémie dans le sang, ce qui a un effet anorexigène : on a moins faim. » Il est donc exact que fumer « aide » à moins manger et « brûle » des calories.
Une fois fixées sur la glande sébacée, ces drogues peuvent augmenter excessivement la production du sébum (graisse de la peau), responsable en partie de l'acné. De la même manière les kératinocytes qui constituent notre barrière cutanée vont être modifiés, ce qui peut contribuer à la formation des fameux points noirs.
Sensation de faim insatiable souvent associée à la consommation de cannabis.
Le classement final (méfaits cumulés) est : 1) alcool ; 2) héroïne et 3) cocaïne crack. Le tabac se trouve à la sixième place, le cannabis à la huitième.
Plus connue quand elle se trouve sous la forme d'ecstasy, cette drogue ne détrône pas le cannabis en termes de consommation en Europe, mais elle talonne la cocaïne.
Depuis 2016, le fentanyl est la drogue la plus tueuse par overdose aux États-Unis. Au deuxième rang, l'héroïne obtient un score de 45/50. Elle est suivie de l'alcool (41/50), du crystal méthamphétamine ("crystal meth") et du tabac (14/50).
La prise de MDMA peut avoir pour effet notamment d'entraîner une crispation de votre mâchoire qui peut faire apparaître ce qui ressemble à des boules et éventuellement déformer légèrement votre bouche. Il y a peut-être eu aussi de votre part un "grossissement" du phénomène.