Le corps se déplace naturellement selon un schéma droite/gauche (cela fait partie de la symétrie de la course). Lorsque le pied droit avance, le bras et l'épaule gauches se déplacent également vers l'avant. Cela nous empêche de tomber !
« Il faut morceler sa respiration. Plus on court vite, plus on doit augmenter son rythme de respiration et donc apporter de l'O2 à son corps. Le corps peut utiliser jusqu'à 5L d'air pour fonctionner dans une course endurance, que l'on va découper en morceaux.
Les inconvénients : Au-delà des questions relatives au manque de visibilité et à la sécurité, il convient de ne pas sortir trop tard. Pourquoi ? « Parce que l'activité physique à cette période de la journée peut aussi s'avérer être un frein à l'endormissement et au sommeil.
Testez vos limites en courant sur de longues distances. Si vous faites des pauses en marchant, ce n'est pas un problème. L'objectif est d'essayer de les retarder autant que possible et d'allonger un peu plus chaque fois les périodes de course, jusqu'à ce que vous puissiez courir toute la distance sans vous arrêter.
Les causes d'un essouflement
Le muscle cardiaque et les muscles périphériques (les bras, les jambes) ont a besoin d'entraînement, la sédentarité, ou plus communément appelé le manque d'activité physique, fait perdre en puissance et en endurance.”
Pour courir 5 km, on part doucement
Mieux vaut alors s'entraîner à courir sur de plus petites distances ou pourquoi pas courir 5km en faisant des pauses et en marchant. “On peut alterner trois minutes de marche et trois minutes de course, précise la coach, puis réduire le temps de marche peu à peu.”
Vous pouvez prendre une petite collation entre 45′ et 1h avant la séance selon votre faim. Ça peut simplement être une banane accompagnée de quelques oléagineux (amandes, noisettes…). Pour beaucoup, la banane se digère bien et est une bonne source d'énergie aussi proche d'une séance.
Le pain, le muesli maison (sans sucre ajouté), les biscottes etc feront parfaitement l'affaire. Ajoutez un fruit frais tel que la banane, très bénéfique pour les sportifs du fait de sa haute teneur en magnésium.
Voici quelques symptômes et leur association à la pratique ou non d'une activité sportive. On envisage plutôt de ne pas aller courir en cas de : la fièvre, des frissons, des courbatures, une fatigue excessive, une congestion bronchique, des maux de ventre, des maux de tête importants.
Pire, de longs footings peuvent même rapidement vous causer des douleurs chroniques, notamment au niveau des articulations, et des déséquilibres musculaires. Ce n'est pas un hasard si chaque année, 79% des coureurs sont mis à l'écart d'une compétition du fait d'une mauvaise blessure.
1 - Il faut être gainé et se grandir à chaque foulée, buste vertical et non penché vers l'avant. 2 - La prise d'appui se fait de haut en bas et de l'avant vers l'arrière. 3 - Le trajet du pied est surtout en avant du bassin. 4 - Après la poussée la jambe quitte le sol et revient vite sous la fesse puis vers l'avant.
Aller trop vite en footing est une des causes principales du « je ne progresse pas ». Car la différence entre l'endurance fondamentale et une allure plus rapide de 15 ou 30″/km est très importante ! En particulier pour les coureurs peu expérimentés en longue distance, ces allures vont générer une vraie fatigue.
Comment évaluer son niveau ? Une solution simple et rapide pour évaluer son niveau en course à pied consiste à déterminer sa VMA. Elle correspond à la Vitesse Maximale Aérobie et elle s'exprime en kilomètre par heure (Km/h). Pour faire simple, il est possible de tenir en moyenne pendant 6 minutes cette vitesse.
D'autres spécialistes estiment que le cœur, situé à gauche, supporterait mal la force centrifuge dans le sens « normal » des aiguilles. Courir dans le sens inverse provoquerait dans le corps une force centrifuge qui s'exerce de la gauche vers la droite, la même direction que le sang dans le cœur.
En pratique: il faut courir au moins deux fois par semaine, au minimum 30 minutes entre 60 et 70% de votre FCM si vous êtes sédentaire ou débutant. Entre 50 et 55% de votre FCM si vous avez plus de 4 kilos à perdre. Mais jusqu'à 75% de votre FCM si vous êtes déjà bien entraîné.
« Courir à jeun permet de resynthétiser le glycogène dans le muscle et augmente la capacité du muscle à en stocker. Or, plus nos muscles en contiennent, plus on est capable de courir longtemps à une vitesse élevée », révèle Martine Duclos. De quoi gagner quelques minutes.
D'un point de vue physiologique, les études définissent le meilleur moment pour courir entre 15 h et 17 h. Mais votre meilleur moment pour courir est celui durant lequel vous ne subirez pas votre séance.
Courir à jeun le matin : positif pour le physique ? Courir le ventre vide c'est donc courir un peu plus sur la filière lipidique que d'habitude, c'est pourquoi l'entraînement à jeun est souvent plébiscité dans les régimes. C'est efficace car on brûle plus de graisses en courant à jeun.
- Avant l'effort : le but est de faire le plein de carburant. Vous pouvez boire jusqu'à 1 l d'eau, de thé ou de jus de fruit durant les deux à trois heures précédant l'activité.. - Pendant l'effort : boire régulièrement et en petites quantités. En pratique, buvez 1 à 3 gorgées d'eau toutes les 5 à 10 min.
Privilégiez un repas facile à digérer pour votre corps et qui libère de l'énergie plus rapidement. Les coureurs de course rapide optent souvent pour des repas du type : Une poignée de céréales. Une banane avec du beurre de cacahuète et du miel.
Bon, et en pratique, une “ bonne ” respiration (la première de la classe, en fait), c'est une respiration dite abdominale, c'est-à-dire au cours de laquelle vous allez inspirer profondément par le nez en gonflant le ventre, puis expirer par la bouche en rentrant le ventre.
12 km/h – soit cinq minutes juste au kilomètre – est un objectif accessible au plus grand nombre. A condition toutefois de remplir certains critères : S'être inscrit dans une pratique régulière de la course à pied (2 à 3 sorties par semaine depuis trois mois au moins). Avoir une VMA proche de 14 km/h est un minimum.
Le vainqueur peut courir le 5K quelque part entre 12-15 minutes et une femme gagnante pourra l'exécuter dans la gamme des 16-19 minutes. Certains marcheurs peuvent prendre plus d'une heure à la fin. La plupart des gens se sentent bien dans la finition de l'ordre de 20-25 minutes.
Le plan d'entraînement :
Dans le cadre de chaque session d'entraînement, commencez avec 10 minutes de marche rapide et ensuite enchaînez avec le programme du jour en question. Une fois le programme terminé, terminez avec 10 minutes de marche rapide et la session d'étirements.