Les hosties ne sont composées que de deux ingrédients, de l'eau et de la farine, mais derrière se cache un long processus de fabrication. Après le pétrissage, il faut cuire la pâte dans un four pour la transformer en longues plaques croquantes. « Les pains d'autel peuvent être de deux couleurs : blanche ou dorée.
Les hosties sont tout simplement du pain. Mais elles n'ont pas vraiment le goût du pain dont tu as l'habitude. Comme les baguettes du boulanger, elles sont faites avec de la farine et de l'eau. Mais le boulanger ajoute un ingrédient : le levain, qui fait gonfler la pâte et donne une mie moelleuse.
S'il reste des hosties consacrées après la communion, elles sont placées dans une pyxide ou dans un ciboire recouvert et rangé dans le tabernacle ; s'il est impossible de les y placer, elles doivent être mangées par le prêtre ou par les fidèles.
Comment sont-ils devenus ronds ? Cela reste un mystère pour sœur Sabine, du monastère Sainte-Claire de Cormontreuil (Marne), qui rappelle toutefois que durant une partie du Moyen Age, les hosties ont été confectionnées par les oubloyeurs, des fabricants d'oublies, un biscuit rond très répandu à l'époque.
Étymologie. Du latin hostia (« victime offerte en expiation » par opposition à une « victime offerte en remerciement ») d'où le sens liturgique d'« offrande ».
« La communion sacramentelle peut ne pas être possible pendant un très long intervalle à cause des différentes infirmités que Dieu envoie à sa créature pour l'éprouver, mais cette privation, lorsqu'elle ne dépend pas de nous, n'empêche pas la sainteté.
Le goût étrange de la première hostie qu'il a dégustée est resté dans sa mémoire : “Elle asséchait un peu le palais, mais elle était croquante et goûteuse.
L'élévation de l'hostie à la vue des croyants, immédiatement après la consécration, se veut le signe que la transsubstantiation du pain a eu lieu, s'opposant à ceux qui veulent qu'elle n'intervienne qu'après la consécration des deux éléments, le pain et le vin.
La custode est un vase liturgique ayant la forme d'une petite boîte ronde en métal précieux ou doré ou émaillé, utilisé par les ministres de la communion, prêtres, diacres ou laïcs députés à cet effet, pour transporter un petit nombre d'hosties consacrées, en vue de distribuer la communion en dehors de l'église ( ...
A quel âge l'enfant baptisé découvre l'hostie ? Le jeune pratiquant fait sa communion entre « 8 et 10 ans », « au bout de 2 à 3 ans de catéchisme ». La profession de foi (qui n'est pas un sacrement) a lieu, elle, quand le fidèle est en « 6e-5e », vers 11-12 ans.
La doctrine de l'Eglise catholique interdit en effet l'accès aux sacrements comme la communion ou la confession aux divorcés remariés, estimant que leur nouvelle union est une trahison devant Dieu de leur premier -- et unique -- conjoint.
Il participe étroitement à la liturgie de la messe : il proclame l'Évangile, il peut faire l'homélie, il reçoit les offrandes des fidèles, met le vin dans le calice et y ajoute l'eau, élève le calice à la doxologie, il invite au geste de paix et envoie l'assemblée à la fin de l'Eucharistie.
le péché mortel, dont la matière est grave (ex. violence, adultère, vol important...) et qui est commis en pleine conscience et de propos délibéré. Cet acte coupe totalement celui qui le commet de la grâce divine, plaçant ainsi l'âme en état de mort (c'est-à-dire séparée de Dieu) jusqu'à son absolution.
En général, les prêtres choisissent des blancs liquoreux de type Sauternes ou Monbazillac. Certains optent pour des rouges puissants, un Cahors par exemple supportant mieux la dilution à l'eau dans le calice (le vin de messe est toujours mélangé à de l'eau contenue dans des burettes).
Une mince couche de pâte est chauffée entre deux plaques brûlantes et pressée à plus de 700 livres dans un four rotatif. Les feuilles cuites, semblables à une feuille de papier parchemin, sont ensuite humidifiées, puis perforées, pour fournir à la fois les retailles et les «rondelles savoureuses».
La différence entre un calice et un ciboire se situe dans l'usage différent attribué à chaque objet. Ils sont tous deux destinés à conserver les espèces consacrées, mais alors que le calice est destiné à conserver le sang, le ciboire conserve le corps.
Adoration à Paray
Tous ces ministres peuvent faire l'exposition en ouvrant le tabernacle ou même, si c'est opportun, en posant le ciboire sur l'autel ou en mettant l'hostie dans l'ostensoir. Cependant il ne leur est pas permis de donner la bénédiction avec le Saint-Sacrement.
Les linges liturgiques
Aube : long vêtement blanc en toile de lin ou de chanvre, serré à la taille par un cordon et porté sous la chasuble. Bannière : pièce de tissu ornée d'images saintes ou d'inscriptions, portée en procession par les membres d'une confrérie religieuse ou d'une congrégation.
Entrer en contact avec le Corps du Christ, recevoir le Corps de Jésus dans la communion, c'est donc recevoir Jésus vivant, sa personne dans son corps, son sang, son âme et sa divinité. Autrement dit, communier, c'est accueillir sa personne divine en recevant son corps et son sang et son âme humaine.
En effet, les fidèles doivent normalement être à genoux pendant la consécration, sauf si l'exiguïté des lieux ou l'âge et la maladie l'empêchent.
Le ciboire est un calice muni d'un couvercle dans lequel on conserve les hosties consacrées, et que l'on range alors dans le tabernacle.
- Le péché véniel est une désobéissance légère à la loi divine par laquelle on ne manque que légèrement à quelque devoir envers Dieu, envers le prochain, et envers soi-même.
Qui peut communier ? L'eucharistie étant le centre de la vie chrétienne, tout adulte baptisé peut faire sa première communion et ensuite communier à chaque eucharistie. Pour les enfants, ils font généralement leur première communion après deux années de catéchèse.
Le jeûne eucharistique est une pratique des Églises catholique et orthodoxe consistant à s'abstenir de nourriture dans le temps qui précède la participation à la messe, par respect pour la communion au Corps du Christ qui a lieu vers la fin de la cérémonie.
Thomas les péchés les plus grave sont les péchés qui sont directement contre Dieu : L'infidélité, le désespoir et la haine de Dieu. La passion peut indirectement mouvoir la volonté, et cela de deux façons: – En épuisant l'énergie de la volonté.