Compression de la plaie Evitez, si possible, tout contact avec le sang de la victime : demandez-lui de comprimer elle-même sa blessure. Sinon, exercez une pression directement sur la plaie avec vos mains protégées (gants jetables, sac plastique ou linge). Allonger la victime Allongez la victime en position horizontale.
La victime présentera des signes de malaise (sueurs, pâleurs, vertiges, perte de connaissance…) Face à une hémorragie, il faut agir rapidement ! Si la personne perd trop de sang, il y a un risque d'arrêt cardiaque, car le cœur n'a plus assez de sang à pomper et s'arrête.
Allonger confortablement la victime, par exemple sur un lit, un canapé ou à défaut sur le sol, afin de retarder ou empêcher l'installation d'une détresse liée à la perte de sang.
Les symptômes d'une hémorragie sont un écoulement de sang en cas d'hémorragie externe. Dans le cas d'une hémorragie interne, les symptômes à reconnaitre sont des sueurs froides, des vertiges, un évanouissement. Mais aussi une pâleur, des vomissements, une soif, une chute de tension, une décoloration des muqueuses.
Il existe trois types d'hémorragies: l'hémorragie artérielle, l'hémorragie veineuse et le saignement capillaire. Lors d'une hémorragie artérielle, le sang s'écoule rapidement et en grande quantité, ce qui rend difficile son arrêt.
allonger la victime, surélever légèrement, si possible, la zone blessée, comprimer manuellement l'hémorragie, à l'aide de compresses ou de linge sec et non souillé : drap, torchon propre, serviette de toilette. Il faut exercer une compression suffisante pour arrêter le saignement.
Même si les victimes réclament de l'eau, il est interdit de leur en donner, car cela peut provoquer des étouffements et si une opération est nécessaire, elles devront être à jeun.
Traitement des règles hémorragiques avec des médicaments
En premier recours, vous pouvez prendre des anti-inflammatoires non-stéroïdiens (sur avis médical favorable). Ils permettent de réduire le flux des menstruations ainsi que les douleurs au bas ventre.
Une hémorragie correspond à une perte importante de sang, un saignement qui ne s'arrête pas. Cet écoulement causé par la rupture d'un vaisseau sanguin peut être visible. On parle alors d'hémorragie externe car le sang s'écoule par une blessure qui est en général apparue suite à un traumatisme.
Rectorragie : définition et causes. La rectorragie correspond à l'émission, plus ou moins abondante, de sang rouge par l'anus. La présence de sang rouge dans les selles provient d'une lésion du rectum, de l'anus ou du colon. Les hémorroïdes sont l'une des causes les plus fréquentes.
En cas de saignement, comprimez la plaie avec une compresse sèche jusqu'à ce qu'il cesse. Pour cela, vous pouvez utiliser un hémostatique : demandez conseil à votre pharmacien. En cas de saignement plus abondant, ne relâchez pas la pression, même pour changer la gaze ou l'étoffe.
Position latérale de sécurité: La bouche est tournée vers le bas de façon que le patient ne risque pas d'étouffer dans les fluides corporels ; la tête est en bascule prudente afin de maintenir l'épiglotte ouverte. Les bras et les jambes forment des béquilles de façon à stabiliser la position.
Vérifiez la respiration de la victime : Vérifiez que la poitrine se soulève et s'abaisse régulièrement. Ecoutez les bruits de la respiration en approchant votre oreille de sa bouche. Essayez de sentir le souffle de sa respiration en plaçant votre joue près de sa bouche pendant 10 secondes.
Il faut donc arrêter l'hémorragie immédiatement en comprimant directement l'endroit qui saigne, quel que soit le lieu de la plaie. La main doit être protégée, si possible, avec des gants, un sac plastique ou à défaut une épaisseur de tissu propre.
Au contraire, lorsque le saignement est abondant (s'il peut imbiber un mouchoir de papier ou de tissu en quelques secondes), la perte de sang est en elle-même dangereuse, car le sang amène l'oxygène aux organes. S'il n'y a plus de sang pour les alimenter (ischémie), ces derniers meurent, entraînant la mort.
Il faut protéger la personne des intempéries, notamment du froid, du vent et de la pluie : une victime se refroidit vite et l'hypothermie peut aggraver son état. Le moyen le plus simple consiste à la couvrir avec un vêtement (pull, blouson...).
Par exemple, vous pouvez poser un glaçon sur l'entaille. C'est le froid qui va agir sur les vaisseaux sanguins en les resserrant rapidement ce qui limite l'écoulement de sang. De même, certaines personnes versent du poivre sur leurs plaies au lieu de laisser le sang couler.
Arrêtez le saignement par une compression directe avec la paume de la main ou les doigts. Si vous êtes seul ou ne pouvez pas maintenir la compression, fabriquez un tampon de tissu ou de papier épais et maintenez-le en place avec un lien large, non élastique et bien serré (faire un moins deux tours).
Dans le cas d'un garrot, la concentration de [K+] dans le milieu extracellulaire augmente, puisque cet ion ne peut plus circuler. Le danger apparaît si on enlève le garrot après 20 min, temps nécessaire pour que K+ s'accumule de manière très importante dans le liquide extracellulaire.
Fabriqués dans des matériaux fortement absorbants, les pansements hémostatiques sont des dispositifs médicaux indiqués pour arrêter un saignement de plaie et stopper une. En fonction de la blessure, les professionnels de santé (urgentistes, personnel soignant…)
Les saignements peuvent être artériels, veineux ou capillaires, avec des conséquences graves, rapides et difficiles à contrôler. Plusieurs facteurs peuvent causer une hémorragie interne, notamment les traumatismes violents, les maladies, les médicaments et les conditions telles que les hémorroïdes et l'endométriose.
Lorsque la perte de sang est progressive, cela se manifeste par de la fatigue, un essoufflement et une pâleur.
L'utilisation d'un pansement compressif doit uniquement être utilisé pour stopper une hémorragie externe grave et doit être retiré le plus rapidement possible par un corps médical.