Ces cinq causes sont désormais bien identifiées : le changement d'usage des terres et de la mer, l'exploitation directe de certains organismes, le changement climatique, la pollution, et les espèces exotiques envahissantes. Les changements d'usage des terres et de la mer.
Tempêtes, cyclones, crues et inondations, canicules, éruptions volcaniques, séismes, tsunamis, mouvements de terrain, chutes de météorites, …
Dans un écosystème plusieurs êtres vivants coexistent et interagissent entre eux. Ils sont capables de s'adapter aux évolutions lentes de leur environnement. Mais si les transformations sont trop rapides, l'écosystème est déséquilibré ce qui peut provoquer sa destruction.
Une perturbation peut, entre autres, entrainer l'élimination d'organismes et modifier la disponibilité des ressources. Cet évènement peut être d'origine naturelle ou d'origine humaine.
La théorie de l'équilibre de la nature, de l'équilibre écologique, peut s'appliquer lorsque les populations dépendent les unes des autres, par exemple dans les systèmes prédateurs/proies (relation prédateur-proie), ou les relations entre les herbivores et leur source de nourriture.
En aménageant le territoire, l'homme modifie son environnement naturel : il détruit parfois des milieux de vie. Cependant, il prend peu à peu conscience des dangers qu'il fait courir à la planète et commence à restaurer des milieux qu'il a transformés.
Lorsque la biodiversité diminue, les milieux sont moins résilients, plus vulnérables, car ils sont moins « denses ». Par exemple, si certaines espèces de végétaux disparaissent, le sol est alors plus exposé à l'érosion, aux inondations, aux glissements de terrain.
Le dynamisme de l'équilibre ou un équilibre en mouvement est apporté par le changement local des habitats et des espèces qui s'y trouvent. Lorsqu'un habitat devient trop rare et que les espèces qui y vivent deviennent vulnérables, l'écosystème n'est plus en équilibre et la biodiversité est en danger.
– Réduire l'utilisation de pesticides dans le domaine agricole, ou utiliser les techniques de lutte biologique. – Règlementer l'exploitation des ressources naturelles et respecter le repos biologique pour permettre aux espèces de se reproduire.
En général, les activités humaines ont des répercussions sur l'environnement lorsque : elles produisent des rejets (émission de polluants, eaux usées, production de déchets, etc.); elles modifient (dégradent) le sol et l'habitat; elles utilisent et font disparaître les ressources.
Parmi ces changements abrupts, on retrouve entre autres le déclenchement d'épidémies, l'effondrement d'une population de poissons, et la prolifération d'algues. Plus… 7.3 Les interventions humaines dans les écosystèmes augmentent la probabilité de tels changements abrupts.
-Le réchauffement climatique affecte déjà des centaines d'animaux et de plantes, et risque dans quelques décennies de causer l'extinction de nombreuses espèces, estime une étude américaine publiée hier dans l'hebdomadaire scientifique britannique Nature.
Elles se retrouvent isolées, courant le risque de manquer de nourriture et de ne plus pouvoir trouver de partenaires pour se reproduire. La fragmentation des habitats naturels diminue aussi la capacité des animaux à se cacher et à fuir. Ils deviennent alors des proies plus faciles pour les braconniers.
Le tigre du Bengale et quatre de ses sous-espèces sont les animaux les plus menacés d'extinction de la terre. Il ne reste sur terre qu'environ 3 000 à 4 500 individus.
La crise de la biodiversité, c'est à la fois la disparition de certaines espèces, les pertes de population au sein de ces espèces, l'érosion de la diversité génétique au sein de ces espèces, la dégradation des habitats de ces espèces et tous les phénomènes afférents à ce déclin général.
1. Attitude ou position stable (généralement verticale pour le corps humain) d'un corps ou d'un objet dont le poids est partagé également des deux côtés d'un point d'appui, de sorte que ce corps ou cet objet ne bascule ni d'un côté ni de l'autre.
Les facteurs directs de changement les plus importants comprennent entre autres : la transformation des habitats, le changement climatique, les espèces envahissantes, la surexploitation et la pollution.
Car nos rejets atmosphériques accentuent l'effet de serre naturel, qui contribue à chauffer notre planète. Pour cela, il faut notamment veiller à limiter notre consommation d'énergie. Veiller à ne pas détériorer le climat, c'est préserver l'équilibre fragile de la Terre et donc l'avenir de l'humanité.
Conséquences des problèmes environnementaux
La pollution atmosphérique sera l'une des principales causes de mortalité. L'accumulation des déchets ne contamine pas seulement les zones où ils sont éliminés, car cela entraîne également une augmentation des maladies et une perte de la biodiversité.
La pollution de la mer, dont 80 % provient des activités humaines d'origine tellurique, la navigation, l'introduction d'espèces invasives, la surexploitation des ressources halieutiques, la dégradation, la fragmentation et les pertes d'habitats sont autant de facteurs responsables de l'érosion de la biodiversité marine ...