(Québec) (Vulgaire) Juron manifestant la colère, l'indignation, la surprise ou l'étonnement s'il est situé en début de phrase. Précédé du pronom « en », il peut également signifier un grand volume. J. M. De Boss le disait aussi. « Tabarnak !
Petite armoire, fixée au milieu de l'autel ou dans un autre endroit d'une église, destinée à recevoir le ciboire contenant la réserve eucharistique.
Il n'a pas de définition claire, mais exprime plutôt un mécontentement, une colère ou un énervement. Tabarnak est un mot assez familier au Québec, voire clairement vulgaire selon la manière dont il est utilisé. Parfois, il est utilisé à tort et à travers, et devient moins fort.
- Ca va ? - Pas mal ! Chu t'à boute ! Ostie q'chu pu capabe !
À la r'voyure!
Cette expression familière signifie « à plus tard », « à bientôt ». Le mot « revoyure » est l'action, le fait de se revoir, de se dire au revoir.
Français canadien : je t'adore (pour dire je t'aime). Français canadien : je t'aime (pour dire je t'aime bien).
Familier. Au Canada, petit ami, amoureux ou conjoint.
Le 25 décembre : Joyeux Noël tabarnak !
Au Québec, pour bien “cruiser” (draguer), un Français doit impérativement comprendre qu'il aura plus de chance de séduire une Québécoise s'il lui laisse de l'espace, s'il accepte qu'elle soit indépendante et qu'elle paie sa part à chaque fois qu'ils sortent. Bref, lâchez-lui la grappe.
"Maudit niaiseux !"
Maudit, qui vient de malédiction et de son sens religieux, est un peu utilisé à toutes les sauces au Quebec. Dans ce cas précis ça veut donc dire « espèce d'imbécile », mais ça peut aussi vouloir dire fâché (« Y'est en maudit ! ») et plein d'autres trucs chelous.
On le divise souvent en 3 syllabes pour ajouter un ton dramatique… Origine : Provient du tabernacle, le meuble où sont rangées les hosties dans une église. Exemple : « TA-BAR-NAK, j'en reviens pas ! », « le parc Forillon, c'est beau tabarnak », « il pleut en tabarnak », « le vieux tabarnak » « ayoye tabarnak ! »
Le Tabernacle originel est la tente qui abritait l'Arche d'alliance à l'époque de Moïse. Son architecte en chef, désigné directement par Dieu à Moïse, est Béséléel.
Cette tente était le lieu où l'on plaçait l'Arche de l'alliance, le coffre contenant les tables de la loi reçue par Moïse sur le Sinaï. Plus tard dans l'histoire, cette tente évoque le temps de la découverte du Seigneur dans le désert suite à la libération de l'Égypte.
Le tabernacle est l'endroit de l'Église où on conserve le ciboire contenant l'Eucharistie. Cela fait du tabernacle le centre et le cœur palpitant de chaque église, le point de référence pour ceux qui s'y rendent prier et adorer le corps du Christ même en dehors des célébrations.
Un schmoutz, par exemple, désigne un «bisou» alsacien, un «bec» canadien. Mais d'où vient donc ce mot?
Le mot «gosse» signifie «enfant» en France et «couille» au Québec.
Amis visiteurs de passage au Québec, rassurez-vous tout de suite : le mot char est simplement le terme le plus couramment utilisé pour désigner une voiture. Il tire son origine du vieux français, il est de la même famille que le char à voile, la charrette ou la charrue.
Comment dire fille en québécois ? Chick : Belle femme, belle fille, très jolie et ravissante, parfois même sexy. Prononcé chix (déformation de l'anglais chick). ex : Cette fille est bien trop chick !
Voici quelques comportements à bannir dès que vous franchissez le sol canadien. Première règle à respecter : évitez de fumer ou de boire de l'alcool dans un lieu public comme dans la rue, à la terrasse d'un restaurant ou d'un café ou encore dans un parc.
Ti-cul : Mot québécois pour dire jeune garçon. Les ti-culs sont des gamins, des enfants, des marmots (mais ce ne sont pas des gosses, ce mot est synonyme de testicules !).
Le terme le plus courant pour décrire un amoureux est « chum ». « Je n'ai jamais revu Julie depuis qu'elle s'est fait un chum. » « J'aime pas le nouveau chum de ma mère. » Nous utilisons aussi les termes copain, petit ami ou amoureux comme synonymes de Jules.
Blonde : Utilisé pour désigner une "petite amie" ou une "femme" selon les contextes. Désigne la femme dans un couple.
Gars : (m) garçon, homme. Équivalent québécois de mec. ex : J'ai vu trois gars au coin d'la rue.