Ce est soit la contraction de cela, soit un adjectif démonstratif ADJECTIFS DEMONSTRATIFS. Ce serait génial. Se est un pronom réfléchi PRONOMS REFLECHIS. Elle se douche.
Si le mot est devant un verbe, changez-le par cela. Si cela est possible, vous écrivez ce. Sinon, c'est se que vous devez utiliser. Si le mot n'est pas devant un verbe, vous devez écrire ce.
La réponse simple
La forme « ce sont » est composée du pronom démonstratif ce suivi du verbe être conjugué à la 3e personne du pluriel à l'indicatif présent : Ce sont mes enfants. « se sont » est suivi du participe passé du verbe à la forme pronominale : Elles se sont inscrites à la médiathèque.
C'est : Cette expression est formée de c' un pronom démonstratif et du verbe être à la troisième personne du singulier est. S'est : Cette expression se forme de s', la forme contractée de se, le pronom personnel réfléchi et de est, troisième personne du singulier du verbe être.
> ce est un adjectif démonstratif qui détermine un nom masculin. Pour le distinguer : Si l'on remplace le nom masculin qu'il détermine par un nom féminin, ' ce' devient ' cette' . > ce ou c' placés devant le verbe être sont des pronoms démonstratifs.
La réponse simple. On écrit toujours « ça s'est bien passé ».
L'emploi du pluriel est normal avec eux à la forme affirmative : Ce sont eux qui arriveront les derniers. L'usage tolère cependant le singulier devant eux, à la forme négative ou interrogative : Ce n'est pas eux qui vous aideront.
Ce qu'il se passe -> Il se passe « ce » (un événement, une situation, etc.) « Ce » a dans cette phrase la fonction grammaticale de COD, mais « ce » est le sujet réel du verbe se passer. Dans les deux cas, personnel ou impersonnel, c'est « ce » qui se passe.
« Ce sont les vacances » est une construction grammaticalement correcte, mais celle-ci a laissé place à « c'est les vacances » au gré de l'évolution de la langue française.
L'astuce pour repérer s'il faut écrire « se » est simple, si dans le contexte précis, vous ne pouvez pas remplacer votre pronom personnel par « cela », donc vous ne pouvez pas utiliser le pronom « ce ». Astuces supplémentaires : Vous ne devez écrire « ce » que lorsque vous ne pouvez pas le remplacer par « me ».
Le verbe « être » n'étant jamais pronominal, la version correcte de l'expression est « ce sera ». En effet, « se sera » n'existe pas. Pour t'en rappeler, « ce » devant le verbe « être » peut être remplacé par « cela » lorsqu'il est singulier.
Gaëtane est partie pour Hambourg ce matin. → « ce » est placé devant un nom.
Se est le pronom personnel de la 3e personne que l'on utilise quand il représente le même être ou la même chose que le sujet du verbe. C'est pourquoi on l'appelle pronom réfléchi. Il précède toujours le verbe auquel il se rapporte.
« Pour faire cela (= à cette fin), je joins à votre colis plusieurs échantillons de moquette » est correct. C'est donc qu'il ne faut pas écrire « pour se faire », mais « pour ce faire ».
Les deux sont possibles. Dans la première « qui » pronom relatif mis pour « main » est sujet de « reste », danns le seconde « qu' » ou « que » pronom relatif ms pour main est COD de « il reste ».
« Qui » est le sujet habituel d'une construction personnelle : « Prends ce QUI te plaît ». « 'Qu'il' apparaît dans le tour impersonnel », où « qu(e) est « tantôt complément d'un infinitif (…) : Nous ferons le chemin QU'il convient de parcourir' (…) ; – tantôt sujet logique : 'Il arrivera ce QU'il arrivera' ».
Ce qu'il m'arrive. Avec un antécédent nominal, l'emploi personnel (la malchance qui m'arrive) est plus fréquent que l'emploi impersonnel (la malchance qu'il m'arrive). Avec le pronom ce comme antécédent, les deux emplois sont fréquents : ce qui m'arrive ou ce qu'il m'arrive.
Une astuce pour savoir s'il s'agit bien du pronom et non du démonstratif « ce » est d'ajouter lui-même, elle-même, soi-même, eux-mêmes ou elles-mêmes après le verbe pronominal. Si la phrase garde son sens, alors il faut bien écrire « se » avec un -s.
Le nombre (singulier/pluriel) de l'attribut n'importe pas. Dans le premier cas, « les vacances » est « complément du présentatif » ; et « c'est » équivaut à « ceci est ». Dans le second cas, « les vacances » est « attribut du sujet neutre » ; et « c'est » équivaut à « il est », « il y a ».
C'est / Ce sont + pronom tonique : ils servent à désigner quelqu'un ou quelque chose. -Le verbe "être" s'accorde en nombre : Ce sont eux... Ce sont Isabelle et Vincent. / Ce sont eux.
Différence entre a et à
- a provient du verbe avoir conjugué au présent de l'indicatif : il a. - à est une préposition. La façon la plus simple pour les distinguer est de mettre la phrase dans un autre temps comme l'imparfait. À l'imparfait, "a" devient "avait" tandis que "à" ne change pas.
Si le mot sur lequel on s'interroge peut être remplacé par « lorsque » (ou par « à quel moment », « le moment où », etc.), il s'agit de « quand ». Sinon, il s'agit de « quant », qui signifie « en ce qui concerne ».
Dans la langue soignée, il vaut mieux éviter l'expression « qu'est-ce qui (ou qu'il) ». Grevisse, dans le Bon usage, précise : « Qu'est-ce qui est remplacé par ce qui », en donnant l'exemple suivant : « Qu'est-ce qui se passe —> Dites-moi ce qui se passe ».