Les propositions subordonnées complétives sont COD du verbe qu'elles complètent. Elles peuvent être conjonctives (introduites par que), interrogatives indirectes (introduites par un mot interrogatif) ou infinitives (sans mot subordonnant et avec un verbe à l'infinitif).
La proposition subordonnée complétive conjonctive est introduite par la conjonction que. Elle complète un verbe ou une expression verbale, par exemple : un verbe de déclaration (dire, préciser…) un verbe de connaissance, de constatation ou d'opinion (savoir, croire, apprendre…)
Proposition subordonnée complétive conjonctive. Une proposition subordonnée complétive conjonctive est un type de proposition subordonnée introduite : soit par la conjonction de subordination « que » soit par les locutions conjonctives, « ce que », « à ce que, de ce que », quelquefois « en ce que » ou « sur ce que ».
La proposition conjonctive est une subordonnée introduite par une conjonction de subordination (que, lorsque, puisque, quoique, comme, si et quand) ou par une locution conjonctive (parce que, bien que…). Nous avons exigé qu'il soit présent à notre prochaine rencontre.
Il existe différents types de propositions subordonnées : les subordonnées relatives, les subordonnées complétives et les subordonnées circonstancielles.
Dans une proposition subordonnée relative, « que » est un pronom relatif et peut être remplacé par un nom. Il fait partie du groupe nominal. Dans une proposition subordonnée conjonctive, « que » est une conjonction de subordination et ne peut pas être remplacé. Il fait partie du groupe verbal.
La proposition subordonnée conjonctive complément circonstanciel est une proposition subordonnée, c'est-à-dire qu'elle dépend d'une proposition principale dont elle complète le sens. On l'appelle conjonctive, parce qu'elle est introduite par une conjonction de subordination, ou une locution conjonctive.
la conjonctive , membrane muqueuse transparente, tapissant l'intérieur des paupières. En cas d'inflammation de la conjonctive , on parle de conjonctivite ; la cornée , partie antérieure du globe oculaire. La cornée est transparente.
La nature d'une proposition subordonnée
La proposition subordonnée conjonctive est introduite par une conjonction de subordination (que, quand, comme, si, etc.) ou par une locution conjonctive de subordination (parce que, bien que, pour que, etc.). Ex. : Les pêcheurs attendent pour sortir [que la tempête se calme].
Proposition indépendante : Elle ne dépend d'aucune autre proposition et aucune ne dépend d'elle. Proposition principale : Une autre proposition dépend d'elle. Ex : Je mange parce que j'ai faim. Propositionsubordonnée : Elle dépend d'une autre proposition.
Une des constructions possibles de la subordonnée complétive est l'interrogative indi- recte, appelée aussi « subordonnée complétive interrogative indirecte », qui commence par si ou par un marqueur d'interrogation : ce qui, ce que, pourquoi, quel, quand, etc. Elle se termine par un point.
La proposition subordonnée complétive a le plus souvent une fonction de COD ou COI dans la phrase. Elle est introduite par - que -. Son verbe peut être, selon le sens, conjugué à l'indicatif (fait réel), au conditionnel (condition) ou ausubjonctif (après -il faut que-).
Elles sont introduites par une conjonction de subordination (que, comme...) ou une locution conjonctive (après que, bien que, parce que...). Elles peuvent exprimer différentes nuances circonstancielles : temps, cause, conséquence, but, opposition, condition, comparaison.
Définition. Phrase syntaxique subordonnée qui est généralement introduite par une conjonction de subordination et dont la fonction syntaxique est de compléter le sens d'une autre phrase.
La principale différence entre la conjonction de subordination que et le pronom relatif que est qu'une conjonction de subordination n'a aucune fonction syntaxique et ne reprend rien dans la phrase, alors qu'un pronom relatif reprend un autre mot que l'on appelle antécédent et occupe une fonction syntaxique.
La subordonnée conjonctive circonstancielle de but indique dans quelle intention se fait l'action de la proposition principale. Elle exprime un projet, un souhait, une crainte qui peut ou non se réaliser. Elle est introduite par pour que, afin que, de peur que, etc.
La subordonnée circonstancielle de temps permet d'indiquer une donnée temporelle (simultanéité, antériorité, postériorité, etc.). Conjonctions de subordination et locutions conjonctives : quand, lorsque, au moment où, pendant que, après que, depuis que + indicatif.
« Mais », « ou », « et », « donc », « or », « ni », « car » : voilà quelles sont, en langue française, les conjonctions de coordination.
Les conjonctions sont des mots invariables qui servent à joindre deux mots, deux groupes de mots, deux propositions ou deux phrases. On distingue deux types de conjonctions selon la fonction des éléments qu'elles relient. relient des éléments de même fonction : Ton père et ta mère sont là.
Elle est introduite par des conjonctions de subordination comme - bien que, quoique, malgré que. Le verbe est conjugué au mode subjonctif. Exemple : Il est venu bien qu'il soit malade. La proposition subordonnée circonstancielle finale a la fonction de complément circonstanciel de but.
La proposition principale se trouve généralement avant la subordonnée : Je vous recontacterai (principale) dès que la décision sera prise (subordonnée). Mais elle peut se placer après la subordonnée : Dès que la décision sera prise (subordonnée), je vous recontacterai (principale).
🔍 Une proposition subordonnée est souvent introduite par : Une conjonction de subordination (comme "que", "si", "quand", "parce que", etc.) Un pronom relatif (comme "qui", "que", "dont", etc.)
La proposition subordonnée conjonctive joue les mêmes fonctions dans la phrase complexe que le nom ou le groupe du nom dans la phrase simple : sujet, complément, attribut. Mais le plus souvent elle est complément du verbe principal : - soit complément d'objet.
La proposition subordonnée relative substantive est introduite par un pronom relatif : qui, quiconque, où, quoi. Elle peut aussi être introduite par une locution relative : ce que, ce qui, celui qui, etc. Elle est l'équivalent d'un adjectif qualificatif épithète.
La subordonnée relative a comme fonction principale de compléter le sens de son antécédent. Elle joue un rôle d'adjectif épithète. On la nomme parfois aussi subordonnée adjective. Elle occupe la plupart du temps la fonction de complément de nom ou de pronom.