Les convulsions peuvent être décrites comme suit : Épileptiques : Ces convulsions n'ont aucun déclencheur apparent (c'est-à-dire elles ne sont pas provoquées), et elles surviennent au moins deux fois. Une seule crise de convulsions n'est pas considérée comme de l'épilepsie.
Les convulsions peuvent être provoquées par différentes causes : épilepsie, atteinte au cerveau (manque d'oxygène), hypoglycémie sévère (manque de sucre), hypokaliémie (manque de potassium), traumatisme cérébral (chute), accident vasculaire cérébral, méningite, …
Complications. Les convulsions ont parfois des conséquences graves. Des contractions musculaires particulièrement intenses et rapides peuvent entraîner des traumatismes, y compris des fractures. La soudaine perte de connaissance peut provoquer des traumatismes importants dus aux chutes ou à des accidents.
Protéger la tête de la victime avec des coussins ou des couvertures. Lorsque la convulsion s'arrête, il faut dégager les voies respiratoires de la victime en basculant sa tête doucement vers l'arrière. Vérifier sa respiration en penchant votre tête au-dessus de la sienne pour sentir son souffle sur votre joue.
La plupart des convulsions d'apparition généralisée altèrent la conscience. Elles entraînent souvent immédiatement une perte de connaissance et des mouvements anormaux. La perte de conscience peut être brève ou durer un long moment.
Prévention des convulsions fébriles
Évitez de donner des bains d'eau froide ou de frictionner votre enfant avec de l'alcool, car ceci risque d'augmenter les frissons et d'augmenter la température. Habillez votre enfant légèrement, afin de ne pas augmenter sa température.
On observe des symptômes passagers, comme une désorientation ou une perte de conscience, et des troubles du mouvement ou des sensations (visuelles, auditives, gustatives), ainsi que de l'humeur ou d'autres fonctions cognitives.
Quels sont les risques si on fait une crise d'épilepsie alors qu'on est seul chez soi ? Les réponses avec le Dr Gilles Huberfeld, neurologue : "Tout va dépendre du type de crise. Il y a des crises où on risque de tomber et de se blesser au sol, donc on peut se blesser en plus de la crise.
Les crises non-épileptiques psychogènes (CNEP) sont des crises très similaires à celles des patients épileptiques mais pour lesquelles on ne retrouve pas d'anomalie électrique dans le cerveau. On les appelle parfois « crises dissociatives », « crises fonctionnelles », « crises psychogènes » ou « pseudocrises ».
Une crise généralisée tonico-clonique ou partielle qui dure plus de 10 minutes ou qui se répète sans reprise d'une conscience normale doit faire craindre le passage à un état de mal : C'est une urgence médicale, il faut appeler les secours.
Lors d'un épisode épileptique, un patient subit quelque chose qui s'apparente à un miniorage dans le cerveau. La MSIE s'expliquerait par l'arrêt du cerveau à la fin des décharges électriques engendrées par la crise. Ceci provoquerait l'arrêt du cœur et d'autres organes.
La majorité des personnes épileptiques ne présentent plus de crises grâce au traitement prescrit, parfois au bout de plusieurs années. Lorsque la cause initiale de l'épilepsie peut être traitée, la maladie guérit.
Que faire en cas de crise convulsive ? En cas de crise convulsive, il faut laisser se dérouler la crise. Pendant la durée des convulsions, ne touchez pas la victime et écartez ce qui pourrait la blesser. Par exemple, éloignez une table basse, éloignez les témoins, protégez avec des coussins ou des couvertures.
L'épilepsie n'est pas une maladie mortelle.
Les spécialistes estiment que plusieurs décès chaque année au Canada surviennent suite a des crises prolongées (état de mal épileptique). 11. On ne peut prévoir ce qu'une personne fera pendant une crise épileptique.
Les sucreries, la caféine et l'alcool entraînent des fluctuations de la glycémie et devraient donc être évités. Les pains à forte teneur en fibres ou de blé entier et les muffins au son aident à maîtriser les fluctuations du sucre dans le sang.
par- ce que la personne concernée l'annonce, «regard fixe»), l'aider à s'allonger sur un divan, un lit ou le sol. si nécessaire retirer en douceur les objets dangereux de la main de la personne con cernée (couteau, ciseaux, etc.) Si nécessaire, éloigner la personne concer née des dangers (p.
Il peut s'agir de maladies qui conduisent : à la production aberrante d'anticorps, qui visent des protéines cérébrales, et perturbent donc le fonctionnement des neurones. à l'infiltration dans le cerveau de cellules inflammatoires, comme les lymphocytes, qui vont s'attaquer aux neurones.
Plus de la moitié des épilepsies commencent pendant l'enfance : chaque année, environ 4 000 nouveaux cas sont diagnostiqués chez l'enfant. Chez les seniors, l'épilepsie peut être provoquée par des lésions du cerveau, par exemple à la suite d'un accident vasculaire cérébral (AVC) ou d'une tumeur.
Les recommandations actuelles du National Institute for Health and Care Excellence (NICE) britannique pour les adultes et les enfants préconisent la carbamazépine ou la lamotrigine comme traitement de première intention des crises partielles et le valproate de sodium pour les crises généralisées.
L'épilepsie n'est pas une maladie héréditaire normalement. Chez un petit nombre de patients, il existe toutefois une prédisposition génétique. Dans ce cas, la pathologie ne s'exprimera qu'en présence d'un certain nombre de conditions supplémentaires.
La fatigue est fréquente chez les patients épileptiques. Elle peut être due à la maladie, parfois aux médicaments (que l'on peut éventuellement changer), mais aussi à d'autres causes comme la thyroide, etc.