La malnutrition sous toutes ses formes comprend la dénutrition (émaciation, retard de croissance, insuffisance pondérale), les carences en vitamines ou en minéraux, le surpoids, l'obésité et les
Selon l'OMS, la malnutrition est définie comme un déséquilibre entre les besoins du corps en énergie et l'apport effectif de substances nutritives. La malnutrition peut être chronique ou aiguë.
Une alimentation insuffisamment riche en énergie, en protéines et en nutriments pour couvrir ses besoins entraîne un amaigrissement, symptôme trop souvent banalisé. S'il est important, l'amaigrissement est responsable de dénutrition, potentiellement grave.
Critères pour le diagnostic de dénutrition : présence d'au moins 1 critère phénotypique et 1 critère étiologique. ─ Perte de poids ≥ 5 % en 1 mois ou ≥ 10 % en 6 mois ou perte ≥ 10 % par rapport au poids habituel avant le début de la maladie.
Une perte de poids rapide, récente, involontaire et significative constitue, quel que soit l'âge, un critère diagnostique de dénutrition, si elle est : ≥ 5% du poids habituel en 1 mois (≥ 10% en 1 mois pour une dénutrition sévère) ≥ 10% du poids habituel en 6 mois (≥ 15 % en 6 mois pour une dénutrition sévère)
La dénutrition se traduit par une perte de poids involontaire. La dénutrition fragilise, diminue les défenses naturelles et augmente le risque d'infection. Elle diminue la force musculaire et la mobilité. Elle augmente les complications médicales et chirurgicales et ralentit la guérison d'une maladie curable.
La dénutrition a pour conséquence un affaiblissement global du corps et un déficit immunitaire avec : Un risque d'infection plus élevé, notamment le risque d'infection nosocomiale est beaucoup plus élevé pour les personnes hospitalisées souffrant de dénutrition.
La toux et ou pneumopathie (42,50%), la diarrhée et les vomissements ou la gastroentérite (38,55), les lésions dermatologiques ou dermatoses (22,91%), et la fièvre (22,35%) les œdèmes (19,0%). La pâleur, Hépatomégalie et splénomégalie sont des signes les moins fréquemment observés.
Les symptômes de malnutrition protéino-énergétique modérée peuvent être généraux ou impliquer des organes spécifiques. On note fréquemment une apathie et une irritabilité. Le patient est faible et la capacité à l'effort diminue. Les capacités cognitives et parfois la conscience, sont affectées.
Fournir un soutien aux petits producteurs et personnes marginalisées sur le long terme pour les aider à faire face aux chocs et améliorer leur productivité et leur accès aux marchés. Investir dans les programmes agricoles conçus pour combattre la malnutrition.
Les enfants qui vivent dans l'extrême pauvreté dans des pays à faible revenu, en particulier dans des régions reculées, sont plus susceptibles d'être sous-alimentés et de souffrir de malnutrition. Ils ont moins de chances d'avoir accès à une eau salubre, à des services d'assainissement et à des soins de santé.
Lorsque les muscles abdominaux ne peuvent plus supporter le poids des viscères, cela provoque un gonflement du ventre, associé à l'ascite, due à la fuite d'eau du secteur vasculaire vers la cavité péritonéale consécutive au manque de protéines dans le sang.
Cinq pays ont des taux d'émaciation sévère supérieurs à 5 % : le Soudan du Sud à 10 %, le Nigéria à 7 %, le Tchad à 6 %, le Mali à 6 % et le Soudan à 5 %. Les garçons courent un plus grand risque d'émaciation que les filles.
Petite définition de la dénutrition : La dénutrition est un état pathologique se caractérisant par un déséquilibre de la balance énergétique, c'est-à-dire une insuffisance des apports au regard des besoins nutritionnels de l'organisme.
Un bilan sanguin pour évaluer la sévérité de la dénutrition
Le médecin traitant ou le spécialiste peut prescrire un bilan sanguin ; le dosage de l'albuminémie (l'albumine étant une des principales protéines du sang) est un critère de sévérité de la dénutrition si inférieure à 35 g/L.
Il existe 4 grands types de dénutrition: l'émaciation, le retard de croissance, l'insuffisance pondérale et les carences en vitamines et en minéraux.
Les carences en fer peuvent engendrer des problèmes de croissance et de développement intellectuel, ainsi qu'un affaiblissement du système immunitaire et une plus grande exposition aux maladies présentes dans les régions défavorisées : pneumonie, diarrhée, paludisme, rougeole et sida.
La malnutrition a des conséquences négatives sur le développement physique et intellectuel des enfants. C'est un poids énorme pour les pays, tout particulièrement dans les pays en développement. Face au manque de nourriture, les familles doivent faire des choix.
Les critères de dénutrition sévère sont les suivants (1 seul critère suffit) : – IMC < 20 kg/m² ; – perte de poids : • ≥ 10 % en 1 mois, • ou ≥ 15 % en 6 mois, • ou ≥ 15 % par rapport au poids habituel avant le début de la maladie ; – albuminémie ≤ 30 g/L*.
Le fenugrec, tout d'abord, soutient le métabolisme et favorise l'appétit. Ensuite, le curcuma stimule l'appétit et l'avoine soutient la santé intestinale et digestive. La gentiane favorise la digestion grâce aux substances qu'elle contient (gentiopicroside, amarogentine, gentiobiose).