L'hyperbole : on emploie des termes exagérés pour frapper le destinataire. C'était la plus jolie personne. La litote : on dit peu, pour en exprimer davantage, souvent en utilisant une forme négative. La métaphore : comme la comparaison, elle rapproche deux éléments, mais sans les relier par un outil de comparaison.
METAPHORE : Comparaison sans outils de comparaison. EXEMPLE : L'oeil d'un homme est ... Comparaison (métaphore) : similitude entre deux termes, ressemblance ( exemple : le poète est semblable à un prince).
L'hyperbole est la principale figure de l'exagération. Elle exagère l'expression d'une idée ou d'une réalité -le plus souvent une exagération qui tend vers l'impossible- pour la mettre en relief. Elle fait appel aux superlatifs, accumulations de mots, comparaisons… Son pouvoir évocateur frappe l'imagination du lecteur.
Hyperbole = Exagération de la réalité de façon à frapper l'imagination. Exemple : "Il n'avait pas UN camarade, Mais des millions et des ... HYPERBOLE : Exagération de langage. EXEMPLE : Je vous l'ai déjà répété cinquante millions de fois.
La métaphore est constituée de deux éléments : le comparé et le comparant. Le premier est l'objet, la personne ou la chose que l'on compare et le second est ce à quoi on le rapproche. Par exemple, si l'on dit : « Cette femme est une véritable déesse », « femme » est le comparé et « déesse » le comparant.
allégorie, figure, image.
La métaphore est un procédé de langage qui permet de rapprocher deux éléments qui ont en commun une ou plusieurs caractéristiques similaires. Elle est généralement employée dans un contexte littéraire ou poétique, afin de donner un sens plus profond ou une description plus abstraite à l'élément comparé.
L'hyperbole exagère une idée pour l'accentuer dans le but de créer une forte impression. Elle consiste à jouer sur la syntaxe et sur le lexique. Elle peut être utilisée afin de convaincre ou d'amuser le lecteur.
La litote consiste donc à dire moins pour suggérer plus. La plus connue est contenue dans Le Cid de Corneille. Dans l'acte III, scène IV, Chimène s'adresse à Rodrigue en ces termes : « Va, je ne te hais point ! », pour lui signifier qu'elle l'aime encore.
L'hyperbole est une figure de l'exagération qui repose sur le grossissement exagéré d'une caractéristique, d'une idée ou d'un sentiment dans un but de mise en valeur (positive ou négative). On utilise souvent d'autres figures de style pour construire une hyperbole comme la métaphore ou la comparaison.
La métaphore rend un sujet concret
La métaphore (ou la comparaison) est un très bon moyen de simplifier des sujets complexes ou abstraits en les comparant à quelque chose de très concret que n'importe qui peut s'imaginer.
Le but de l'usage de l'oxymore est de créer la surprise chez le lecteur. L'oxymore permet d'exprimer ce qui n'est pas concevable et permet aussi de rendre compte de ce qui est absurde.
Figure de style réunissant deux termes antinomiques (opposés, de sens contraire). Exemple : Un "silence assourdissant" est un oxymore. Tout comme la citation de Voltaire : "Le superflu, chose très nécessaire."
Le terme euphémisme exprimant le fait d'atténuer l'expression de faits ou d'idées dans le but de les rendre plus doux, plus recevables, il a pour antonyme le terme hyperbole.
La métonymie exprime une réalité par le nom d'une autre réalité ayant un lien avec la première (par glissement de sens). Elle établit diverses relations : la partie et le tout (une bonne plume pour un bon écrivain) l'objet et sa matière (un fer pour un fer à repasser)
L'hyperbole peut s'asseoir sur de nombreuses autres figures comme la métaphore, la comparaison, la métonymie ou encore l'allégorie. Elle s'oppose catégoriquement à la litote, figure inverse, qui tend à tout diminuer et à l'euphémisme, qui cherche à alléger ou amoindrir la réalité.
Règle. Placer le centre de l'hyperbole et déterminer son orientation. Tracer les asymptotes en prolongeant les diagonales du rectangle. Tracer l'hyperbole en passant par les sommets et en s'approchant des asymptotes, sans jamais y toucher.
Le philosophe grec Aristote est le premier, dans sa Poétique (certainement vers -347), à évoquer la métaphore comme procédé majeur de la langue.
La métaphore est une comparaison implicite, sans mot comparatif. [La mer] (comparé) est [un miroir] (comparant). Dans cet exemple, le rapprochement entre le comparé et le comparant est opéré à l'aide d'un verbe attributif (est).
- verbes : avoir l'air, ressembler à, sembler, paraître... - groupes nominaux : l'apparence de, la ressemblance de,... - La métaphore est une comparaison implicite sans outil de comparaison. Il arrive que le comparé ne soit même pas exprimé.