En conclusion, cette réflexion sur la mort et le mourir permet de constater qu'il existe des distinctions réelles entre les deux termes. Selon l'ordre temporel, le mourir précède la mort et en est séparé par l'instant de la mort, cet entre-deux qui marque définitivement la fin de l'existence humaine.
La mort est l'état irréversible d'un organisme biologique ayant cessé de vivre. Cet état se caractérise par une rupture définitive dans la cohérence des processus vitaux (nutrition, respiration…) de l'organisme considéré.
Dans les dictionnaires, la mort est définie comme « fin définitive de la vie d'un être humain, d'un animal et par extension de tout organisme biologique », « Cessation de la vie », « Cessation complète et définitive de la vie »,… Autrement dit le concept de mort y est systématiquement opposé à celui de vie.
(Noms communs) ( XI e siècle) Du latin mortem , accusatif de mors , lui-même sens issu de l'indo-européen commun * mer- (« mourir ») qui a donné meurtre, moribond, marasme, etc. Le substantif est attesté depuis 1080.
En effet, chacun dira plus facilement « il a passé », « il est parti » plutôt que: « il est mort », mieux: « il nous a quitté » ou encore « il est décédé ».
Quand on est mort, c'est pour longtemps, dit un vieil adage fort sage. Employons donc bien nos instants, et contents, narguons la faux du temps.
Dieu de la Mort. Dans la mythologie grecque, Thanatos (en grec ancien Θάνατος / Thánatos) est la personnification de la Mort.
Socrate précise la nature de la mort : « être mort consiste bien en ceci : le corps isolé, une fois séparé de l'âme, est devenu lui-même, tel qu'en lui-même; et l'âme isolée, une fois séparée du corps, est elle-même, telle qu'en elle-même ».
Les antonymes contradictoires (ou complémentaires) : vivant/mort.
Ainsi pour Épicure, il ne faut pas avoir peur de la mort en elle-même puisque : « Le mal qui nous effraie le plus, la mort, n'est rien pour nous puisque lorsque nous existons la mort n'est pas là et lorsque la mort est là, nous n'existons plus » (Lettre à Ménécée).
Tout organisme biologique est donc programmé génétiquement pour mourir, en se dégradant c'est-à-dire que les cellules ne se renouvellent plus assez efficacement pour faire survivre l'organisme. La mort désigne ainsi la fin complète et définitive de la vie chez un être vivant.
Oraison funèbre. Qui évoque la mort. Qui inspire un sentiment de sombre tristesse. ➙ lugubre, sinistre.
Toutes les bactéries naturellement présentes dans le corps, notamment dans les intestins, se mettent à proliférer. Elles attaquent le système digestif, puis tous les organes, produisant des gaz (azote, dioxyde de carbone, ammoniac, etc.) qui vont faire gonfler l'abdomen et libérer une forte odeur.
La mort est en effet la séparation de l'âme et la fin de la vie soumise aux affections du corps. S'exercer à être mort, c'est délier autant que possible l'âme du corps, qui donne des choses un aspect imprécis, mêlé de sensation (65e-66a), et asservit l'âme par ses affections (66d).
« La mort est le moment de l'affranchissement d'une individualité étroite et uniforme, qui, loin de constituer la substance intime de notre être, en représente bien plutôt comme une sorte d'aberration. »
La mort se présente comme un événement biologique auquel chaque membre de l'espèce humaine ne saurait échapper, du fait de son appartenance au règne des vivants. C'est un événement naturel au double sens du mot : il s'inscrit dans la nature de l'homme, comme dans la Nature à laquelle il appartient.
Poséidon, qui est un peu trop colérique
Le mec, dès qu'on le contrarie un peu, il déchaîne les océans, il crée des tempêtes, il fait sortir de l'eau des créatures monstrueuses.
La Mort est alors connue sous le nom de « la Grande Faucheuse » ou tout simplement « la Faucheuse ». Ce symbole d'origine italienne est très présent durant tout le Moyen Âge et à la Renaissance, dans les peintures apocalyptiques et macabres comme celle de Pieter Brueghel l'Ancien (Le Triomphe de la Mort).
Comme Zeus gouverne le Ciel et Poséidon la Mer, Hadès règne sous la terre et pour cette raison il est souvent considéré comme le « maître des Enfers ». Il est marié à Perséphone. Il correspond au Sarapis ptolémaïque et au Pluton romain.
Les premiers concernés : le foie, puis le pancréas et les reins. Au bout d'une heure, une fois la plupart des organes arrêtés, la température du corps descend d'environ 1 degré de moyenne toutes les heures pendant les premières 24 heures.
Locution nominale - français
Dernier moment de la respiration, dernier souffle de la vie.
Prothèses, stérilets, pacemakers et surtout dents en or... Autant de reliquats qui ne brûlent pas lors de la crémation et qui sont revendus par les crématoriums à des entreprises de recyclage, déplore le magazine.